Les fonds de pensions n’investissent plus dans l’immobilier français

(9 commentaires)

1. Sacré René!
   Ben oui c’est vrai il a raison, quand des groupes uniquement préoccupé par la rentabilité à court terme se retire d’un marché c’est qu’il va encore grimpé!
   je regrette que le « journaliste » n’ai pas plus insité sur cette question, d’autant que ce ne sont pas les premiers : souvenez vous de ce fond de pension qui a en début d’année soldé (-30%) ses immeubles achetés à la découpe dans Paris. C’est pareil, ils n’ont pas soldé parce que l’immobilier va baisser mais uniquement par altruisme.
   Ces fonds de pension sont vraiment trop gentil, ça les perdra.
   Jack

2. Sacré René!
   Ben oui c’est vrai il a raison, quand des groupes uniquement préoccupé par la rentabilité à court terme se retire d’un marché c’est qu’il va encore grimpé!
   je regrette que le « journaliste » n’ai pas plus insité sur cette question, d’autant que ce ne sont pas les premiers : souvenez vous de ce fond de pension qui a en début d’année soldé (-30%) ses immeubles achetés à la découpe dans Paris. C’est pareil, ils n’ont pas soldé parce que l’immobilier va baisser mais uniquement par altruisme.
   Ces fonds de pension sont vraiment trop gentil, ça les perdra.
   Jack

3. On gagne beaucoup d’argent surtout si on a le timing pour vendre au plus haut. Ca s »appele de la gestion et c’est leur métier!!! Si ils vendent c’est qu’il n’ya plus beaucoup de marge à venir!!!

4. On gagne beaucoup d’argent surtout si on a le timing pour vendre au plus haut. Ca s »appele de la gestion et c’est leur métier!!! Si ils vendent c’est qu’il n’ya plus beaucoup de marge à venir!!!

5. Ce n’est pas encore l’implosion du système, mais vous êtes très nombreux à m’envoyer des mails pour me dire que vous êtes inquiets.
   Au passage j’aembrasse Fred, et je le remercie pour ses infos

6. Bonjour,
   Suivant l’expression consacrée du 5eme element: Big Boom Big Boom Big Badaboom….
   http://fr.news.yahoo.com/rtrs/20070803/tbs-usa-immobilier-crise-7318940_1.html
   American Home Mortgage fermera ses portes ce vendredi
   NEW YORK (Reuters) – L’organisme de crédit immobilier American Home Mortgage Investment Corporation a confirmé jeudi soir la cessation de ses activités, ce qui entraîne le licenciement de près de 7.000 salariés.
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   Ce faisant, la société de Melville dans l’Etat de New York devient l’une des plus grosses victimes à ce jour du ralentissement du marché immobilier américain.
   Dans un communiqué, American Home précise qu’il conservera environ 750 emplois, à comparer à un effectif de 7.409 fin 2006. Les suppressions de postes sont effectives vendredi.
   American Home a émis l’an dernier des prêts de 59 milliards de dollars, pour la plupart à des clients présentant un profil moins risqué que dans le segment du « subprime » où les garanties demandées sont minimales. La moitié environ de ces crédits étaient à taux variable et donc susceptibles d’être ajustés à la hausse.
   « C’est avec une grande tristesse qu’American Home se voit contraint de prendre cette mesure qui touche durement son dévoué personnel », déclare dans le communiqué Michael Strauss, le directeur général.
   Il s’était refusé à dire quelques heures plus tôt si le groupe se placerait sous la protection du Chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites. Pour les analystes, ce devrait être chose faite d’ici lundi au plus tard.
   COUNTRYWIDE S’EFFORCE DE RASSURER
   Les déboires d’American Home montrent que le problème des prêts hypothécaires à risque affecte aussi désormais les prêteurs qui ont des clients dont la capacité de remboursements est correcte, par opposition au segment du subprime.
   American Home prête surtout à des particuliers dont le risque de défaut est plutôt faible. La société a toutefois consenti de nombreux prêts à des personnes ne pouvant justifier de leur revenu ou de leurs patrimoine.
   American Home avait indiqué cette semaine que des clients avaient rompu avec elle, qu’elle ne pouvait pas répondre à certaines échéances financières et qu’elle pourrait liquider des actifs. Elle disait aussi avoir cessé d’examiner des demandes de prêts.
   « La faillite est logiquement la prochaine étape pour eux », a déclaré Steve DeLaney, analyste chez JMP Securities à Atlanta.
   Fondée en 1987, American Home revendiquait l’an dernier la place de numéro dix américain du crédit hypothécaire aux particuliers.
   La société a notamment proposé de nombreuses formules dites « Alt-A », situées entre la qualité « prime » et subprime, ainsi que des prêts à taux variables.
   Plusieurs dizaines d’organismes de crédit immobilier ont fermé leurs portes ou remonté leurs exigences en matière de prêts au fur et à mesure de la baisse des prix de l’immobilier résidentiel et de la hausse du coût du crédit et que montait le niveau des défauts.
   Dans la journée de jeudi, un autre organisme de prêt, Accredited Home Lenders avait laissé entendre qu’il pourrait connaître « un sort similaire » à celui de ses concurrents qui ont cessé d’émettre du crédit ou ont déposé leur bilan.
   Countrywide Financial Corporation, le numéro un américain du crédit immobilier, a pour sa part indiqué jeudi que sa situation financière restait bonne. Dans un communiqué, Contrywide dit avoir près de 50 milliards de dollars de « de liquidités hautement fiables à court terme ».

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