Xerfi, son directeur baissier, conseille de vendre vite !

876587787Comme le fait remarquer La Vie Immo, cette étude de Précepta a déjà fait couler beaucoup d’encre. Voici une intervention d’Alexandre Mirlicourtois, Directeur des Etudes Economiques chez Xerfiqui fera sûrement couler la nôtre.

« Et puis le marché immobilier ne connaît jamais de correction modérée. (…). En terme d

(10 commentaires)

  1. C’est bien beau de crier qu’il faut vendre et pas acheter.
    Mais pour pouvoir vendre il faut bien que certain achetent. Ouarf! ouarf!

  2. Tu n’as pas compris : le conseil s’adresse à ceu qui peuvent vendre et attendre 3 ou 5 ans sur le yatch de leurs amis le temps que les prix redeviennent acceptables.

  3. Vendre maintenant c’est possible, le chomage est bas et l’economie est toujours sur ces rails.
    Maintenant la question est de savoir pour combien de temps « la fenetre » restera ouverte? Certains bon fondamentaux economiques sont etirés a l’extreme.
    Certains desiquilibres mondiaux risque de ce reajuster dans les mois voir a venir, un futur tres proche. Bref est ce que les Etats Unis ou l’Europe peuvent continuer a s’endetter a cette vitesse? Personne ne connait la reponse, que des hypothese..mais dans ces temps incertain, il vaut etre prudent:
    Ce qui peuvent vendre maintenant a un prix raisonable (-10% apres 100% d’augmentation c’est raisonable)..bien ils ont l’opportunité de le faire.
    Ce qui peuvent atteindre quelques années pour acheter, c’est aussi raisonable…
    L’euro va probablement chuter dans les mois a venir entrainant avec elle l’inflation et une montée des taux long…

  4. « Mais pour pouvoir vendre il faut bien que certain achetent » : il doit toujours rester quelques pigeons

  5. J’adore Phil !
    Moi aussi je me suis dit que ce directeur de Xerfi se piège un peu, comme Lucien hier (cliquez sur ma signature pour lire l’intervention de Lucien), s’il dit de ne pas acheter, les gens ne vont pas acheter, même si c’est le moment de vendre et de ne plus acheter.
    Le réservoir de « pigeons », pour citer adnstep, s’est réduit, regradez comme on nous matraque avec la baisse, avec les conseils – de ne plus acheter – et les histoires des surendettés…

  6. Les acheteurs semblent avoir déserté et les vendeurs sont de plus en plus nombreux.
    Depuis maintenant bientôt un an , je suis le marché de l’immobiler sur ma ville et ses enivrons
    les annonces PAP ont culiminé à 18 avant l’été, nous en sommes à 26. Le site ACB immo proposent 1127 soit 25 biens en l’espace de deux semaines. Le stock gonfle, gonfle

  7. Même phénomène dans le 78, dans certains villages chics il n’y avait que 2 ou 3 maisons mal fichues à vendre l’été 2004 et 2005.
    En ce moment, les stocks atteignent des records (pas partout, c’est très bizzare). Mais les grands appartements ne se vendent pas du tout, les maisons sont assez recherchées.

  8. Logique d’une baisse annoncée.
    Lorsque j’ai acheté un appartement en 93 juste après l’inversion du cycle immobilier, je n’ai pas demandé la baisse mensuelle de 1 %communiquée par la FNAIM ou attendu que le vendeur (promoteur) baisse son prix de 1 %.
    Je n’ai pas non plus repris cette valeur pour établir ma proposition de prix.
    J’ai simplement appliqué le montant de baisse que j’estimais réaliste pour établir nom offre de prix : une baisse de plus de 600 000 Francs sur un appartement avec terrasse dans le neuf haut de gamme à plus de 2 000 000 de Francs, soit une baisse de l’ordre de 25 %.
    Sans la disposition d’une terrasse j’aurais sûrement pu obtenir une baisse plus conséquente.
    Voilà la réalité des transactions. Elles se font avec de vrais baisses de prix qui paradoxalement ne se matérialise pas dans la communication de la FNAIM ni des médias. Bizarre non ?

  9. Merci pour ce dernier témoignage. J’ai rencontré un AI auj. et visité une maison. La note arrive.

  10. ET PASSEZ LE A VOS FAMILLES, AMIS, PROCHES…
    Il semble qu’il y ait encore un faible pourcentage de gens qui n’ont pas entendu parler de la baisse.
    Je pense que la belle-mère qui ne comprend rien (mais pourquoi ma fille elle est encore locataire, qu’est-ce qu’il attend mon gendre pour acheter), n’osera plus jamais aborder la question de l’immobilier sous le même angle.

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