En voilà une histoire…
Le marché allemand n’est pas concerné par la bulle immobilière et pour longtemps !
En effet, la population décroit et continuera à décroître. Le non renouvellement de la population est un phénomène de société outre rhin et devient une cause nationale.
Comme lieu de villégiature pour riches retraités étrangers, l’Allemagne n’est pas vraiment l’endroit le plus recherché.
En csque, si vous voulez investir dans l’immobilier chez nos amis d’outre rhin, allez-y, ce n’est pas cher mais je doute fort que cela monte beaucoup dans les décennies qui viennent.
C’est ma vision macro du marché allemend et évidemment il y a des endroits qui se vendent mieux que d’autres..
Les investisseurs allemands profitent de l’euphorie des étrangers, qui se radinent avec de fausses idées (les allemands vont devenir propriétaires, les loyers vont augmenter, les prix vont augmenter, etc.) auxquelles aucun allemand ne croit.
Les détenteurs allemands d’actifs immobiliers y voient une belle occasion de vendre à perte limitée leur portfolios. Les étrangers, venus dans la foulée des très grands investisseurs (lots de dizaines de milliers d’appartements), commencent à repartir, à cause des conditions de crédit plus difficiles et du rafraichissement de leur immobilier domestique. Les grands investisseurs essaient en ce moment de revendre par lots plus petits, mais avec peu de succès.
Par ailleurs, dans un contexte de surcapacité, très importante à l’est (30% de vacance en moyenne et près de 10% à Berlin), un investisseur newbie pourrait penser qu’une opportunité d’acheter à bas prix se profile, et que l’immobilier de mauvaise qualité (constructions en plaques de béton de l’ex-RDA et ruines permettra de réduire la vacance et d’équilibrer le marché). Erreur, des allemands développent en ce moment avec succès « l’habitat Aldi »: le principe est de racheter quelques milliers de logements dans des barres en plaques de bétons (à 25
En voilà une histoire…
Le marché allemand n’est pas concerné par la bulle immobilière et pour longtemps !
En effet, la population décroit et continuera à décroître. Le non renouvellement de la population est un phénomène de société outre rhin et devient une cause nationale.
Comme lieu de villégiature pour riches retraités étrangers, l’Allemagne n’est pas vraiment l’endroit le plus recherché.
En csque, si vous voulez investir dans l’immobilier chez nos amis d’outre rhin, allez-y, ce n’est pas cher mais je doute fort que cela monte beaucoup dans les décennies qui viennent.
C’est ma vision macro du marché allemend et évidemment il y a des endroits qui se vendent mieux que d’autres..
Les investisseurs allemands profitent de l’euphorie des étrangers, qui se radinent avec de fausses idées (les allemands vont devenir propriétaires, les loyers vont augmenter, les prix vont augmenter, etc.) auxquelles aucun allemand ne croit.
Les détenteurs allemands d’actifs immobiliers y voient une belle occasion de vendre à perte limitée leur portfolios. Les étrangers, venus dans la foulée des très grands investisseurs (lots de dizaines de milliers d’appartements), commencent à repartir, à cause des conditions de crédit plus difficiles et du rafraichissement de leur immobilier domestique. Les grands investisseurs essaient en ce moment de revendre par lots plus petits, mais avec peu de succès.
Par ailleurs, dans un contexte de surcapacité, très importante à l’est (30% de vacance en moyenne et près de 10% à Berlin), un investisseur newbie pourrait penser qu’une opportunité d’acheter à bas prix se profile, et que l’immobilier de mauvaise qualité (constructions en plaques de béton de l’ex-RDA et ruines permettra de réduire la vacance et d’équilibrer le marché). Erreur, des allemands développent en ce moment avec succès « l’habitat Aldi »: le principe est de racheter quelques milliers de logements dans des barres en plaques de bétons (à 25
interessant, comment savoir si c’est vrai?