Merryl Lynch : pertes obligataires

Images_3 Les pertes obligataires du troisième trimestre devraient atteindre 7 milliards de $, non 8 maintenant, peut être 9 ou 10 ou 50 quand vous lirez l’article, cela bouge tellement vite !
Encore ne faut il voir que la partie visible de l’iceberg, la dépréciation massive des biens, entraine la dépréciation massive des créances.
On sait, de plus, que les américains déménagent énormément, il leur faut donc régler, quoi qu’il en coûte, le problème logement, même au prix d’une faillite personnelle.

La dépréciation de l’actif, et il est corsé (le prix médian est à 211 700 $ en septembre 2007, contre 224 400 $ en aout 2007) va rendre cataclysmique la tendance américaine à la faillite (pourquoi trainer l’hypothèque d’un bien qui ne vaut plus grand chose ?), et propager la faillite au secteur bancaire, ou du moins rendre aux banques survivante, leur tâche impossible : prêter…
Demain est un autre jour…

(2 commentaires)

  1. « Merrill Lynch » Patrick, tu te connais mieux en isolation.
    je connais bien j’y ai passé 3 jours d’entretiens pour me faire rejeter, j’aurais pas fait moins bien qu’eux je pense. Ils ont meme demenage derriere Saint Paul à Londres, ils etait pres de la Tamise en face du King Williams bridge je crois.
    Souvenir, souvenir, « the brightest minds of the financial industry » striving for excellence blablal fantastic carreer gnangnangnangngangna
    tiens Patrick, si tu as le temps tu pourrais pas nous faire une blague du meme style « We, the brightest people of the universe, we manage to lose 9billion dollars and are looking to reach even higher summits to be ranked among the best of the Financial galaxy. Take the bull by the « cornes » and subscribe to our MBS with 99.9% sales!!.

  2. « propager la faillite au secteur bancaire, ou du moins rendre aux banques survivante, leur tâche impossible : prêter… »
    Ce qui serait peu banal, les banques dans l

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