La fin du monde tel que nous le connaissons depuis le début des années 1970, et l’échec de la première privatisation, celle de la création monétaire et de la planche à billet.
En effet, au début des années 1970, un changement est subrepticement apparu dans le financement des états, ils ne font plus appel aux avances automatiques (et non remboursables) de leurs banques centrales pour couvrir les déficits, mais vont créer de la dette, et ainsi, par le jeu des intérêts, décupler cette même création.
La montée de la dette se fait partout, gommant ainsi les effets de la compression des salaires.
Mais on est arrivé à la fin de ce phénomène.
Des titres cotés « A », émis début 2007, se négocient à 12.72 % de leur valeur nominale.
Pendant ce temps là, la dette publique US, suit le sens inverse, elle explose.
Cela traduit la purge de la dette privée, et comme dans le cas nippon, le transfert sur la collectivité.
La dette publique US a augmenté en février de la bagatelle de 120 milliards de $.
« Nous ne sommes pas dans la situation des années 1970 », en effet, elle est bien pire.
» L
Quand on te lis on dirait du Gerald Celente dans le texte dit par Jim Cramer.
today je t’accorde 1 chance sur 3 d’avoir juste.
Avec l’apparition des tensions sur le cours du blé, amplifiées par la spéculation, l’analogie avec l’ancien régime est effectivement frappante.
Une question :
D’ou provient la dernière citation sur l’insécurité alimentaire ?
Cordialement
à corentin : La citation vient du programme alimentaire mondial.
Merci all.
à corentin : La citation vient du programme alimentaire mondial.
Merci all.