Deux crises, affamer le voisin, flambée de l’énergie…

… qui risque, à partir de 2010, de s’aggraver.
Le monde devient, vous l’avez compris, charmant.
Avec, en prime, smicardisation de la société, temps partiel imposé, flambée des salaires dans le tiers monde et blocage trichetien des dits en Europe…
Comme si les salariés européens étaient responsables des augmentations à l’autre coin du monde, et de la flambée des matières premières.
Ils ne sont censés qu’endurer, avec en prime en  France un gouvernement  qui « fait des économies » (lire : précipite la crise).
On a vraiment le cocktail explosif.
Dans ce contexte là, l’immobilier devient extrêmement relatif.

C’est même la configuration des pires périodes qui s’installe.
Les deux crises sont les deux crises financières conjointes, l’une en Europe, l’autre aux USA.
Affamer le voisin, c’est la politique actuelle pour contrôler à l’intérieur des pays, l’inflation, en limitant, interdisant ou plafonnant les exportations alimentaires.
La flambée du prix de l’énergie risque de devenir exponentielle à partir de 2010…
On risque d’assister à la conjonction des « vieilles causes de troubles » (alimentaires) et des « jeunes causes de troubles » ( l’énergie), et cette deuxième cause sera particulièrement sensible dans le domaine de l’immobilier.
Investir risque de ne pas être très réaliste.
Certains avaient prévu « la fin de l’histoire ».
A mon humble avis, on risque plutôt désormais une période aussi agitée que vivante… C’est le moins qu’on puisse dire.