L’immobilier parisien, ou les prix à Paris, quel défi !

Les prix à Paris ont atteint des sommets, que l’on ne s’attendait pas à voir dans notre capitale. A la limite à Londres où à New York, mais pas dans l’Hexagone, qui distribue des salaires… français. Certains prennent la fuite…

Pas étonnant de constater que nos compatriotes quittent Paris pour Bruxelles, la moins chère des capitales de l’UE en ce qui concerne le m², et où les impôts sont « amicaux ». Le dernier en date serait notre Polonais-Belge-Français Johnny Hallyday, qui chercherait à retourner vers ses racines du Nord.

Comment parvenir à se faire une idée précise des prix parisiens ? Il y a tellement de sources, les unes plus contradictoires que les autres. Comment séparer le bon grain de l’ivraie et vous donner le « juste chiffre », le prix n’étant plus juste pour le bon peuple de Paris depuis belle lurette ?

Les données disponibles sur les différents sites, officiels ou ceux de la presse, sont des panels ou des échantillons et présentent souvent les chiffres avec quelques mois de retard. Qu’est-ce qui est pris en compte dans ces résultats : le prix réel de vente ou la promesse à peine signée ?

Certaines sont annulées parce que le coup de foudre tiédit avant l’échéance légale de rétractation qui s’élève à 7 jours ouvrés, ou pour cause de refus de prêt de la part de la banque (refus qui se multiplient comme votre banquier pourra en attester si vous l’interrogez), ce qui fausserait les résultats.

Pour commencer, voici les données de la section immobilière de MSN, chiffres que nous allons décortiquer et commenter tous ensemble pendant les semaines qui viennent. Je vous invite à poster ici même tous les liens vers toutes les sources que vous connaissez, qu’il s’agisse de Paris de la province ou des Dom-Tom, pour ne citer qu’eux.

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