Voici un lien vers l’Institut d’Epargne Immobilière et Foncière (IEIF).
D’emblée, nous apprenons que notre fécondité, tout comme notre culture, méritent une appellation qui surprend certains : « l’exception française ». Certes, nous nous en sortons mieux que d’autres européens. Mais avec un taux de fécondité à 1,89%, le renouvellement de la population n’est pas assuré. Et comme l’immigration semble être ralentie, la croissance de la population française dans quelques (dizaines) d’années semble tout sauf garantie.
Source : Institut d’Epargne Immobilière et Foncière (IEIF)
A EuroDisney, l’accalmie fait son show
Bonne nouvelle. Avec une France à 40 millions d’habitants, il sera plus facile de se loger.
la population est en dessous de son seuil de renouvellement sur 60 % de la planete, et ailleurs la natalité s’effondre. donc c’est une donnée mondiale
On prévoyait 70 millions d’habitants en France en 2050 il y a quelques mois.
Il faudrait d’abord définir exactement ce qu’on appelle le taux de fécondité. Depuis 50 ans, les femmes ont des enfants à des ages de plus en plus tardif. L’age moyen d’une mère pour son premier enfant est maintenant de 26 ans (c’est faux, on est à 31-32 ans, commentaire ajouté par Marie qui en 1994 avait reçu une brochure à la maternité précisant que l’âge moyen de la française qui met au monde son premier enfant est de 29 ans). Si toutes les décennies on perd un an, on constatera que le taux de fécondité baisse aussi de 10% et on aura donc un taux de fécondité de 1.8 car on aura eu 90 % des naissances attendues durant cette période.
Toujours aussi noire l’intervention de ce Patrick R. Franchement, c’est n’importe quoi, il y a des pays où la démographie progresse, dont la France.
Oui, mais les femmes ne pourront reculer éternellement ! Il est vrai que certaines mères atteignent désormais des âges canoniques, mais la plupart des candidates à la maternité ne souhaiteront pas dépasser une limite naturelle (40 ans ? 50 ?) Si les femmes ne font donc que reculer pour mieux sauter (à supposer qu’elles aient le choix), la natalité devrait finir par rattraper son retard.
Je précise que mes suppositions sont aussi creuses et inutiles que celles des prévisionnistes professionnels. On ne prévoit pas l’avenir en prolongeant une courbe, ni en invoquant des variables dont les précédents commentateurs n’avaient pas tenu compte.
Des chiffes plus à jour que les miens où l’on remarque le taux remonte et est en France l’un des plus élevés d’Europe.
http://www.insee.fr/fr/ffc/chifcle_fiche.asp?ref_id=CMPTEF02215&tab_id=37
http://www.social.gouv.fr/htm/dossiers/hcpf/rapptoulemon.htm
L’âge moyen à la maternité, pour sa part, continue de s’accroître, les femmes ayant généralement leur premier enfant à 29,4 ans en 2003, contre 28,9 en 1994, et le taux de fécondité progresse d’ailleurs de 1,5 % chez les plus que trentenaires, alors qu’il régresse de 1,5 % pour les moins de 30 ans.
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