« Le constat est sans appel : les prix de l’ancien à Paris ont enregistré une hausse de 145 % en huit ans et l’ensemble du pays de 125 %. »
Une moyenne située à environ 135 %, est donc plus plausible, c’est le chiffre que « j’avance » depuis quelques mois. Les banques ont joué et gros, mais le taux variable est le filet de sécurité des banquiers moins imprudents qu’il n’y paraît. Souvenez-vous de la mise en garde du sénateur Karoutchi, et de son opinion sur les banques, exprimées ici même il y a plus d’un an. Source : Les dangers des prêts de longue durée
N’ayant pas de visibilité sur une période aussi longue, et voulant des garanties au delà des x dizaines d’années (le prêt moyen étant de 22 ans), les banquiers ne prêtent qu’à taux variable, le risque est reporté sur l’emprunteur. La formule du cocktail explosif est connue d’avance.
« Pour revenir dans « les clous », l’allongement de la durée des prêts a été l’oeuf de Colomb découvert à l’étranger. L’évidence du binôme : durée plus longue = dangers en hausse – avec la possibilité pour un emprunteur en cas de baisse des prix de marché d’une obligation de vendre son logement pour un montant inférieur à sa dette – doit dissuader de s’endetter pour un demi-siècle. Pourquoi pas à perpétuité ? Heureusement, en France, cette offre relève davantage d’une opération marketing que de la réalité. »
Immobilier : exemples de baisses, Meaux
Des meurtrières ont organisé la mort accidentelle de sans domiciles fixes après leur avoir fait signer un contrat d