Le « NON » irlandais.

Le « NON » irlandais au traité de Lisbonne agace l’élite et les gouvernements qui se contrefichent de la démocratie.
Règne en Europe un mélange de servilité vis-à-vis des USA, avec de l’arrogance vis-à-vis des peuples.
Ni l’un, ni l’autre ne sont de mise.
La servilité à l’égard du yankee explique les pertes colossales en termes de subprime.
Une merde enveloppée du drapeau US était trouvée géniale, c’était la titrisation.
L’affirmation qui règne d’une puissance conjointe américano-européenne est farfelue.
Aujourd’hui, ce qui est frappant, c’est la dislocation de la puissance, US, comme UE.

Le scrutin populaire est nié, sali.
Pourtant, on est en plein dans le domaine de ce qui nous agite ici, la crise immobilière.
En effet, la bulle, puis son éclatement, ne sont pas des accident, mais l’aboutissement normal de l’économie telle qu’ organisée actuellement.
« Les banquiers veulent les avantages de l