C’est pour placer en bourse.
Un petit article de « valeurs actuelles« , qui nous parle de « pôvres propriétaires » qui achètent un appartement 680 000 (francs, il y a 8 ans)) et souffrent bien de ne le remettre en vente QUE 300 000 zeuros, pour acquérir dans un quartier plus côté et qui doivent redevenir prolos, pardon, locataires.
Dépenses d’entretien, frais de syndics, locataires, tout y passe…
En plus, se greffe la crainte de l’ ISF (pourtant, ils devraient être content et heureux d’être riche ?).
On atteint typiquement le seuil de l’indécence.
Le cas en question aura pourtant fait une jolie culbute financière, mais, on dit que le riche vit dans deux hantises, celui de perdre sa fortune et celle de ne pas voir celle-ci progresser.
Dans un cas, il faut être offensif, dans l’autre défensif.
C’est pour cela qu’il est si facile d’escroquer les 10 % les plus riches.
Il suffit de leur présenter du « sans-risque », qui rapporte gros.
Là, le problème présenté, a fait l’objet d’une fable.
L’âne de buridan avait tellement faim et soif, qu’il ne su jamais choisir sa priorité entre l’eau et la nourriture, et qu’il mourût de faim ET de soif.
Quand on a gagné, il ne faut guère se poser de question.
Si l’on souhaite lever la plus-value, on lève la plus-value, tant qu’elle est là.
En tout cas, cet article est une belle tranche de rigolade, les « problèmes » des plus nantis…
Je fais une suggestion à (-manque de-) » Valeurs actuelles » : il faut regarder, non seulement ceux qui ont plus que nous, mais ceux qui ont moins aussi, et se dire, qu’on pourrait en faire parti.
Souvent, d’ailleurs, c’est très facile, il suffit de naitre.
Du bon aussi dans le Fig Mag de la semaine dernière : « Le boum des résidences secondaires » sous-titré « pourquoi l’immobilier ne vas pas baisser », vraisemblablement rédigé par la collective des autistes du 92.