Les anglais divorcent moins en raison de la baisse de l’immobilier !

Divorcecake «Quand les prix montent, les propriétaires se sentent plus riches, et nous supposons qu’ils pensent pouvoir plus facilement financer un divorce», explique Lucian Cook, directeur de la recherche de Savills. Ce sera au moins ça de gagné face à la crise immobilière, me direz-vous… Un logement qui vous endette vous coince également, lorsque les prix de l’immobilier baissent alors que vous avez acheté en haut de cycle, c’est la moins-value et le risque de surendettement ajouté au coût du divorce. « Mieux vaut être seul que mal accompagné » : expression maintes fois utilisée par moi-même auprès de connaissances que la solitude rongeait. Oui mais une fois le patrimoine constitué, on pourrait plutôt dire : « Mieux vaut être mal accompagné que mal logé ».

Combien de couples ne tiennent plus que par la volonté de maintenir, (de la part de l’un ou de l’autre, voir des deux) le niveau de vie pour lequel ils se sont battus toute une vie professionnelle. Je n’avais pas encore pensé à cela avant de lire l’article du Figaro.fr mais effectivement l’immobilier oblige des couples qui ne s’aiment plus à continuer leur vie ensemble jusqu’à la fin ! L’argent gagne souvent…

Le Figaro.fr : « Avec la crise immobilière, les Anglais divorcent moins« 
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Un commentaire

  1. et bien je confirme que cela arrive..
    perso j’étais en loc avec des filles qui a la fin n’étaient plus qu’un demi loyer..on y vient sans s’en rendre compte et puis lorsqu’on habite paris ou nice …

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