On a tort de sortir de ce que l’on connait. la preuve, l’écureuil fait des C…eries avec des pertes sur des « classiques opérations de marché« .
Cela oscille entre la légèreté absolue de cervelle, la malhonnêteté et la psychiatrie. Sans doute un mélange des trois.
Pour qualifier ce monde, il n’y a pas de meilleurs maitres que Rabelais : des moutons suiveurs, privés de sens et de cervelle. Ils vont dans un sens parce que tout le monde y va, dans un autre pour le même motif, à l’inverse parce qu’on veut être le premier à changer de direction…
La seule chose qui soit totalement absente, c’est l’intelligence.
La structure de défaisance, appelée « société de refinancement », est confiée… à des banques…Choix judicieux, qui consiste à faire garder les moutons par les loups, et on fait appel au plus ancien dinosaure
connu de la création, le synonyme de l’incompétence, Michel Camdessus, l’homme qui ravagea la planète, et rata tout.
Il a laissé le FMI, pour l’avoir changé en représentant des créanciers, en gros rien du tout, et sa politique a été totalement abandonné, faute désormais, de pays demandeurs.
Aucun ne s’est remis, d’ailleurs « grâce » au FMI, mais CONTRE le FMI, les pays les plus vite sortis de crise, étant ceux adoptant une politique absolument et diamétralement opposée.
Ce foirage n’empêche pas le recyclage de M. Camdessus, à une place très bien payée, où, bizarrement cette fois, il ne mettra pas le couteau sous la gorge de ses ouailles.
D’ailleurs, une fois que ce sont les sacro-saints USA, et les pays occidentaux qui sont concernés, miraculeusement, les « potions amères » surtout destinées aux banquiers deviennent douceurs et roudoudous.
Suivant la dialectique Camdessusesque, les pays en Crise auraient du sabrer leurs budgets (les 1000 milliards du budget de la défense US, par exemple), pour rétablir leurs finances, licencier les fonctionnaires, supprimer les services de santé et de retraites.
Visiblement, il n’en est rien. Par contre, le citoyen est prié de se dé…mener tout seul, s’il est dans les difficultés immobilières et financières.
L’alibi de « l’équilibre des finances publiques » ne tient guère, quand on sait que les pays les plus touchées n’ont plus d’autre option, à très court terme, que la faillite : l’Islande et ses 500 000 $ de garantie par habitant, auquel on peut ajouter aujourd’hui, la Suisse, qui « s’islandise » à toute allure, avec la déconfiture d’UBS, la Hongrie elle aussi, est en coma dépassé, et l’interdiction de financement des états par la BCE vole en éclat, l’Ukraine se disloque (mais elle pourra toujours faire appel à Vladimir, toujours prêt).
Qui a vécu par la finance, périra par la finance. Même Bloomberg le dit.
Vendredi 17 octobre 2008
encore une victoire du Canard!
Sans oublier le petit scandale à la CNCE : plusieurs milliers d’opérations de compensations ont merdé et foutu un bordel pas possible…
ça chauffe à la caisse d’ep. en ce moment