Et la Dordogneshire ?

Images_4 Jehanne n’aura plus besoin de revenir pour boutoit l’anglois hors de France, ils se boutoient eux-mêmes dehors.
Résumons leur situation : souvent retraités, ils perçoivent une retraite en £, se sont souvent endettés en euros (les taux étaient moindres).
Ciseau aujourd’hui, la livre dégringole (elle était passée de 1.4 euros à 1.73 pour redescendre pratiquement aujourd’hui à 1) et les fonds de pensions, qui complètent les misérables pensions de base, se sentent mal.
« Seulement, à cause de la crise de l

(5 commentaires)

  1. Et c’est là qu’on se rend compte du formidable bouclier que représente l’Euro. Chez nous, pas de dévaluation de la monnaie de 30%. Les Anglois, les Polonais, et les Hongrois doivent peut-être un peu regretter aujourd’hui de ne pas avoir voulu de l’Euro.
    Les Slovaques, eux, se félicitent de l’avoir adopté.
    Et les anti-euros sont tout d’un coup un peu moins bruyants.

  2. absolument pas de crise économique en Espagne, pas d’émeutes en grêce.
    la monnaie est une variable d’ajustement, quand ce n’est pas elle, c’est l’emploi et les salaires.

  3. « la monnaie est une variable d’ajustement, quand ce n’est pas elle, c’est l’emploi et les salaires. »
    Bonne remarque, Mr patrick, avec laquelle je suis d’accord.
    Mais pour ce qu’il est de la perfide Albion, je rajouterai: « Les deux, mon capitaine ; Union Jack n’est pas du genre à lésiner sur les variables d’ajustement – il opte pour les deux »

  4. Emeutes en Grèce : c’est pas la première fois, ni la dernière. Cette fois-ci, d’ailleurs, il n’y a pas eu d’attentats meurtriers, comme avant.
    Espagne : je croyais que c’était la faute de la spéculation immobilière, si leur économie s’écroulait ?

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