Si la sempiternelle question du gaz russe rebondit, comme toujours, avec Gazprom, si la devise dégringole tellement vite que l’on pourra bientôt se chauffer avec, si la classe politique est un conglomérat, comme le pays d’ailleurs, sans unité, tirant à hue et à dia, il ne manquait que la touche finale, l’explosion de la bulle immobilière Ukrainienne, qui, a son échelle, était bien burnée aussi.
1.5 millions d’emplois, le M2 à Kiev qui a atteint les 4230 $, avant de dégringoler aujourd’hui à 3600, 40 % des chantiers à l’arrêt, dans un pays en dépression démographique.
Circonstance aggravante, les Ukrainiens se sont endettés aussi, en devises étrangères.
Les chantiers arrêtés ne reprendront pas, l’argent venait de l’étranger, la production industrielle se contracte fortement et même le prêt, obtenu auprès du FMI (16.5 milliards) est terriblement court, surtout s’il sert à sauver des banques condamnées.
Les Ukrainiens, eux, se serreront la ceinture, et si Soros n’est pas là pour financer une nouvelle « révolution orange », les manifestations quasi-quotidiennes, complètement ignorées par les médias occidentaux, pourraient en faire figure.
Le président se « Elstinise » à toute allure, désormais, sa côte de popularité doit être du même ordre (2 %) et pendant que le pays va voir son approvisionnement en gaz coupé, monsieur fait du ski.
Carte : La nouvelle Ukraine.
vendredi 2 janvier 2009
Bingo,
Le dieu (qu
a voir la carte, je ne savais pas que c’était en ukraine que j’allais chercher mon pastis………..
dis moi patrick.as tu des infos sur la situation economique du portugal dont tu ne parles jamais?