« We are truly going to rise or fall together « 

Clinton On peut dire que cette phrase d’Hillary Clinton en Chine est le baiser de la mort. On se sauve ensemble, ou on périt, ensemble.
Tout le monde a besoin d’argent, et notamment les pays de l’est européen. On peut noter, finalement, la même situation qu’au milieu de la décennie 1970.
A cette époque, les pays du bloc de l’est étaient globalement endettés envers l’ouest et globalement incapable de rembourser.
L’URSS faisait bande à part, en raison de ses ressources énergétiques, mais elle était incapable d’assister les pays sous sa coupe.
Aujourd’hui, trois pas en avant pour l’un, trois pas en arrière, pour l’autre, l’est européen agrandi à l’Ukraine s’est mis sous la dépendance de l’UE qui est globalement incapable financièrement de les sortir de leur marasme économique et immobilier.
Le FMI est aussi trop court monétairement, mis à part un peu de menu monnaie (200 milliards), montant qui fait rire à l’heure actuelle.

La solution serait d’avoir recours aux DTS (droits de tirages spéciaux), vieux DTS si oubliés et si anciens.
Reste que la règle pour pouvoir les utiliser est si compliquée et prêtera à tant de tractations que nous risquons de nous voir dans la situation de soeur Anne.
De plus, il faudrait compter sur l’abandon, par les pays riches, de leurs propres droits.
Dans la M… ouise, où ils sont actuellement, on peut deviner que cette situation aurait peu de succès.

Pour résoudre la situation, c’est finalement simple : il suffit que tout le monde deviennent aussi désintéressé que M. Soros, philanthrope bien connu.
J’ai tendance à croire on ne peut mieux la parole de Hillary Clinton. Nous sommes liés, mais visiblement pour le pire.
En Europe, il faut bien le reconnaitre, prêter 1600 milliards aux pays de l’est, cela ne relève plus de la finance, mais de la psychiatrie.

Dimanche 22 Février 2009

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