Alors que la crise de la dette bat son plein et que l’Union européenne – ou du moins la zone euro – semble être au bord de la faillite, la Commission européenne tente de faire le ménage parmi les spéculateurs et les « petits arrangements entre amis. »
La situation actuelle semblant aussi découler en grande partie de certains mouvements financiers que certains qualifieraient de peu catholiques.
La Commission européenne, a annoncé mercredi avoir perquisitionné la veille des sociétés financières actives sur les produits dérivés sur les taux de référence inter-bancaires libellés en euros (Euribor). Cette dernière soupçonne en effet qu’un cartel n’ait été mis en place.
« La Commission s’inquiète du fait que les entreprises concernées ont pu violer les règles anti-trust qui interdisent les cartels et les pratiques commerciales restrictives », a indiqué la Commission dans un communiqué … sans toutefois nommer les principaux concernés.
La Commission ne précise pas non plus si ces inspections ont été menées de sa propre initiative ou à la suite de la dénonciation du cartel par un de ses participants.
Rappelons que l’Euribor est, pour une échéance donnée, le fixing calculé chaque jour ouvré à 11h, heure française, publié par la Fédération bancaire de l’Union européenne (FBE), d’un taux moyen auquel un échantillon de 57 grandes banques établies en Europe prêtent en blanc (c’est-à-dire sans que le prêt ne soit gagé par des titres) à d’autres grandes banques.
Suite au communiqué de la Commission , Euribor-EBF s’est dit prêt à partager ses données avec les autorités.
Cédric Quemeneur, directeur d’Euribor-EBF, établissement qui compile le taux interbancaire apar ailleurs indiqué avoir « toute confiance dans la gestion de l’Euribor ».
« Avec le nombre de banques qui sont impliquées dans la détermination du taux, déterminer ce taux de manière artificielle serait impossible. Je pense que la Commission ne connaît pas bien la manière dont les taux de référence sont déterminés. Nous sommes prêts à l’aider« , a-t-il déclaré à Reuters.
Selon des sources proches du dossier sises à Francfort, les bureaux de la Deutsche Bank à Londres feraient partie des établissements perquisitionnés par les enquêteurs de la Commission européenne.
Information au sujet de laquelle Deutsche Bank s’est refusée à tout commentaire à l’heure actuelle.
Sources : Reuters, AFP
Jeudi 20 octobre 2011 :
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