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  2. Dernièrement, notre cher gouvernement se proposait d’inclure l’histoire de l’art dans le parcours solaire de nos chers têtes blondes, histoire de renforcer le bataillons de accompagnateurs touristiques, une bonne idée de notre première dame, peut-être.
    L’histoire de l’art représente un apport culturel personnel indéniable, mais de là, à en faire une débouchée professionnel à grande échelle !!!
    Si ces annonces voient réellement le jour, alors elles permettront peut-être un sursaut national et conduiront peut-peut être à préserver l’industrie du bâtiment, voir à induire une ré industrialisation. je m’en explique.
    Prenez à titre d’illustration l’exemple du petit commerce de proximité.
    Vous augmentez progressivement les loyers, le locataire augment ces prix pour maintenir ces marges.
    Les acheteurs se font moins nombreux, le commerçant continu à augmenter ses prix, pour au final déposer son bilan, les clients ayant fini par déserter son magasin.
    Penons maintenant l’exemple d’un jeune diplômé qui débute sa vie professionnel. il cherche a se loger proche de son (futur / nouvel ) emploie.
    Le loyer lui grève une par importante de ses revenus. l’argent qui lui reste ne lui permet plus de s’offrir quelques achat plaisir nécessaire au maintien de sa performance professionnel (ce type d’étude est faite dans les entreprises anglo-saxonnes : qualité de vie pour un même niveau).
    Lors de ces tests la France est rarement gagnante du fait du coût prohibitif de l’immobilier.
    Combien d’emplois perdu du fait d’un immobilier hors de prix.
    Ces mesures ont de nature à sauver le BTP : nouvelles constructions et réhabilitation du parc.
    Nous avons besoin en France de deux actions de grandes envergures :
    – Réhabiliter rapidement le parc existant, afin de nous préparer au prochain choc pétrolier et énergétique, cette action pour être viable économiquement en période prolongée de faible croissance nécessite un coût du foncier et du bâtis plus réaliste.
    – Lancer une campagne de logement sociaux de qualité, soucieuse de valoriser notre environnement , nos villes et nos banlieues, car il faut être lucide la France hormis quelques sites prestigieux , c’est plus que moche.
    Chaque nouvelle construction doit offrir une belle esthétique, et s’insérer dans des espaces naturels préservés, le tourisme ne pourra que s’en porter mieux. cette action pour être viable économiquement en période prolongée de faible croissance nécessite un coût du foncier et du bâtis plus réaliste.
    Le grand Paris, peut représenter un enjeux d’avenir, mais il n’nécessite d’énorme moyens financiers. Mais là aussi, s’il s’agit de multiplier les banlieues, de bétonner le peu d’espace vert qu’il reste, et de multiplier les ghettos, alors le résultat sera inverse au but recherche. Comme Monaco, nous sommes désormais en concurrence avec d’autres destinations. l’immobilier trop cher est un réel frein à notre développement économique et touristique.
    Nous avons besoin de façonner l’avenir, de recomposer nos paysage, normaliser et humaniser la périphérie de nos villes et de nos banlieues.
    Cet avenir ne sera possible que si les mairies ont la capacité de préempter. Cela ne peut se faire qu’avec un prix d’immobilier en phase avec le niveau de revenu des jeunes générations.
    Pour l’heure les délocalisation sont à l’

  3. Ce qui est aussi impressionnant, c’est que ce type de mesures, au delà de l’économie qu’elles peuvent générer en facial, ont trop souvent des coûts cachés notamment sur l’emploi.
    C’est certain que le secteur de l’immobilier est favorisé et continue de l’être, aujourd’hui rejoint pas le « vert » et il y en a bien besoin. Mais il ne faut pas oublier qu’il s’agit là d’un besoin primaire.
    En tous cas, il reste quand même de bonnes nouvelles, pas de hausse des taux pour l’instant.

  4. Il y aura bien conjointement :
    – Un arrêt progressif de toute forme d’aide à l’immobilier, car l’argent ne rentre plus dans les caisses de l’état et notre déficit commercial se creuse toujours plus.
    – Une augmentation progressive des taux, si suffit de voir l’évolution de l’euribor. La dégradation de la note de l’état Françaisest proche.

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