(27 commentaires)

  1. 05/02/2010 – 20h59min
    Para Lula, vazamento do novo preço do Rafale prejudica negócio
    Agência Estado
    O presidente Luiz Inácio Lula da Silva ficou muito irritado com o vazamento da informação da redução do preço do pacote de 36 aviões que está sendo negociado para a Força Aérea Brasileira. Para o presidente Lula, o valor apresentado « ainda é insuficiente » para fechar o contrato. Por isso o Palácio do Planalto, embora insista que há uma « assumida preferência » pelo modelo francês Rafale, quer continuar negociando e insiste que só fechará o contrato se o preço cair ainda mais.
    « Tem de reduzir mais. Tem de melhorar as condições », afirmou um auxiliar direto do presidente Lula ao ressaltar que esta questão « é muito mais do que preço e contra-preço ». Por conta desta insatisfação que chamou de « plantação de informação », que poderia levar os franceses « a se acomodarem », o presidente Lula avisou e reiterou que o contrato não está fechado e que as negociações ainda estão em curso, podendo levar ainda algum tempo.
    O argumento do governo é que este negócio tem de ser bom para os dois lados. O Brasil precisa do avião, quer comprá-lo, quer a transferência de tecnologia. Além disso, o presidente Lula já classificou a França como o « parceiro estratégico » do Brasil, revelando a preferência pelo caça da empresa francesa Dassault. Mas, por outro lado, o governo brasileiro tem reiterado que a França, para deslanchar o seu projeto, precisa que o avião seja comprado pelo Brasil, já que o caça não ganhou nenhuma outra concorrência no mundo e que outros países estão à espera da decisão brasileira para encaminharem suas decisões. O Brasil tem o trunfo ainda maior para baixar o preço do pacote.

  2. Le Rafale serait « une belle aventure » pour le Brésil (ministre brésilien)
    PARIS, 24 mars 2010 (AFP)
    Le ministre brésilien des Affaires stratégiques, Samuel Pinheiro Guimaraes, a affirmé que l’acquisition du Rafale par son pays serait le point de départ d’une « belle aventure » pour le Brésil et son industrie de défense, dans une interview à la revue Défense à paraître début avril.
    « Dans la mesure où certaines pièces seront produites au Brésil, le programme Rafale nous fait accomplir des progrès substantiels en matière scientifique, technologique et commerciale sans compter toutes les retombées en matière de sous-traitance », fait-il valoir.
    Une décision brésilienne est attendue très prochainement sur l’acquisition du Rafale. L’avion de combat du français Dassault Aviation, qui n’a jamais encore été vendu à l’étranger, est en compétition avec le F/A-18 Super Hornet de l’Américain Boeing et le Gripen NG du suédois Saab pour un contrat de plusieurs milliards de dollars avec le Brésil, portant sur 36 appareils.
    Samuel Pinheiro Guimaraes souligne que « l’option Rafale correspond tout à fait » à la « gestion » du vaste espace aérien brésilien, dans cet entretien accordé au bimestriel des anciens auditeurs de l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN).
    Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a déclaré à plusieurs reprises que la décision finale serait politique et qu’il aurait le dernier mot alors qu’une solution suédoise aurait la préférence de l’armée de l’air, selon la presse brésilienne.
    Le contrat fait l’objet d’intenses négociations. Ainsi, Aake Svenssonle PDG du suédois Saab, fabricant du Gripen, a dit redouter « une décision politique » alors qu’il se trouve au Brésil avec une délégation emmenée par le roi Carl XVI Gustaf et la reine Silvia.
    « Lorsque le président Lula dit qu’il +achète un savoir plus qu’un avion+, il veut signifier toute l’importance qu’il accorde à l’échange de formation pour les pilotes et les mécaniciens mais aussi pour les ingénieurs », précise pour sa part le ministre brésilien des Affaires stratégiques.
    « C’est une belle aventure ! », s’exclame-t-il, soulignant qu’elle s’inscrirait dans un « partenariat stratégique franco-brésilien qui concerne aussi des hélicoptères, des transports de troupes terrestres, des sous-marins classiques et une participation à la conception du SNA brésilien (sous-marin nucléaire d’attaque) à l’horizon 2020 ».
    Samuel Pinheiro Guimaraes insiste sur l’importance des « transferts de technologie » promis par le président Nicolas Sarkozy à l’occasion d’une visite en septembre à Brasilia.
    « Le défi de la maîtrise de notre industrie de défense est capital pour l’ensemble de notre économie », insiste-t-il.
    « Nous devons impérativement nous autonomiser vis-à-vis des Etats-Unis », souligne le ministre, rappelant qu’il s’agit d’une nouvelle « priorité stratégique » de son pays. Est-ce que le programme Rafale s’inscrirait dans cette stratégie ? « Certainement, certainement », répond-il.

  3. Brésil: une demande d’enquête sur la sélection d’avions de chasse acceptée
    BRASILIA, 7 avr 2010 (AFP)
    Le ministère public de Brasilia a accepté une demande d’enquête d’un particulier sur le processus de sélection des avions de chasse américain, français et suédois visant à moderniser la flotte de l’armée de l’air, et la préférence pour le Rafale affichée par le gouvernement.
    Une source du parquet a indiqué mercredi à l’AFP que le procureur José Alfredo de Paulo Silva avait accepté la demande présentée par un Brésilien qui affirme que la préférence de Brasilia pour le Rafale heurte « le principe visant à réaliser des économies » puisque les avions concurrents sont moins chers.
    Le Rafale du Français Dassault, qui n’a encore jamais été vendu à l’étranger, est en lice avec le F/A-18 Super Hornet de l’Américain Boeing et le Gripen NG du suédois Saab pour fournir 36 avions de combat multi-rôles au géant sud-américain, un contrat de plusieurs milliards de dollars.
    « Le gouvernement brésilien, en raison de critères de politique extérieure, a décidé de choisir le Rafale, écartant les concurrents Gripen et Super Hornet dont les propositions ont des prix inférieurs. Cela heurte le principe visant à réaliser des économies », affirme le Brésilien.
    Le procureur va maintenant « recueillir des informations pour décider s’il classe le dossier ou s’il y a de fait des raisons pour une action de responsabilité civile », a dit le porte-parole du ministère public à l’AFP.
    Cette enquête peut prendre un an, selon lui.
    Lundi, le ministre de la Défense, Nelson Jobim, avait déclaré que le président Luiz Inacio Lula da Silva devrait annoncer son choix après la mi-mai, et non en avril comme prévu initialement.
    Le ministre avait réitéré sa préférence pour le Rafale tout en précisant être encore « au milieu (de l’élaboration) du rapport » technique sur les avions qu’il doit soumettre à Lula.
    « L’enquête n’est pas encore ouverte, parce que le procureur est en vacances. Quoi qu’il en soit, si le gouvernement formule son annonce sur le modèle vainqueur, cela n’arrêtera pas l’enquête », a précisé le porte-parole du ministère public de Brasilia.
    Lula a déclaré à plusieurs reprises que le Rafale avait plus d’avantages pour le Brésil en raison des transferts de technologie promis sans restriction par le président français Nicolas Sarkozy lors d’une visite en septembre 2009 à Brasilia.
    Le Gripen a reçu lundi l’appui du puissant syndicat des métallurgistes de Sao Paulo, qui a affirmé que le projet suédois pourrait créer 28.000 emplois au Brésil. Ce syndicat avait été dirigé par Lula à la fin des années 70, en pleine dictature militaire.

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