Voilà qui pourrait certes – peut-être – calmer les « foules » mais ne devrait pas stopper la spéculation et la course aux profits boursiers, génératrices en grande partie de la crise actuelle.
Selon le le Financial Times, le directeur général de Goldman Sachs, Lloyd Blankfein, envisage d’accroître la part des rémunérations versées en actions et non par en argent frais, sonnant et trébuchant. Objectif affiché : tenter de calmer l’ire des citoyens américains quelqeu peu remontés à l’idée que des primes pour le moins généreuses soient octroyées aux cadres de la banque.
Selon le journal anglo-saxon, les hauts dirigeants de l’établissement pourraient recevoir l’intégralité de leurs primes de fin d’année sous la forme d’actions Goldman Sachs.
Lloyd Blankfein lui-même étant « prédisposé » à montrer l’exemple.
D
cf.
Le déficit public de la Grèce inquiète la zone euro
Le jeu toujours gagnant de Goldman Sachs
LEMONDE.FR | 24.12.09 | 13h00
oldman Sachs est une des rares banques américaines à avoir très peu souffert de la crise des subprimes. Le New York Times a peut-être découvert pourquoi, mercredi 23 décembre. Selon le quotidien, Goldman Sachs et quelques autres banques