Je sais, tout le web, la blogosphère, la presse écrite, parlée ou visionnée va se faire encore le porte-parole des derniers données lissées pondérées de la Fnaim. Certains vont encore critiquer, d’autres relayer et moi, j’ai décidé de ne pas (plus) en parler car il m’est difficile de parler en permanence sur quelque chose qui ressemble a du vide et se base justement sur ce vide. Fut un temps (ça c’est du style en début de phrase), j’étais parti du principe qu’un moyen habile de parler des données de la Fnaim sans parler des données (si, ma phrase a un sens), c’était de comparer les titres des journaux pour voir ceux qui relayaient le communiqué de presse Fnaim comme des veaux, ceux qui pondéraient, et ceux qui commençaient à peine à douter.
Je laisse tomber cette technique, de toute façon je n’ai pas envie de me focaliser sur un réseau d’agences qui se fait matraquer par tout le monde, surtout par les « gros tirages » de la presse. Etre adhérent de la Fnaim, c’est de plus en plus remettre en question ce qui vient d’en haut, comme si la tête était totalement déconnectée de la base. Au revoir données faussées, l’immobilier mérite mieux que ces mêmes petits mensonges répétés tous les mois depuis des années avec une régularité version plan marketing bas de gamme.
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La FNAIM, c’est pas qu’un indice pourrri. C’est avant tout un sigle qui permet à un acquéreur de savoir que l’agence est garantie à hauteur de 120 000