La distance, question cruciale.

Images_4 Que ce soit en Aveyron, que ce soit à 20 kilomètres de Nancy, la question posée est la même.
C’est la question de la distance qui devient lancinante aujourd’hui.
Néanmoins, à plus long terme, les villes sont invivables.
Leur simple existence demande un flux en constante augmentation de ressources naturelles : eau, énergie, denrées alimentaires.
Dans un premier temps, le schéma habituel se passe.
On privilégie sa distance aux commodités. Puis les commodités deviennent elles-mêmes incommodes.

En clair, il faudra beaucoup d’argent pour vivre dans les villes.
L’exemple aveyronnais est typique.
Un département endormi, avec une densité de population basse (30 habitants au km2), puis un boum immobilier, un afflux de clients anglais grâce à la ligne RODEZ-LONDRES (ligne stratégique bien connue).
Et paf.
On vous dit, que malgré la baisse de l’immobilier (20 %), la baisse de la livre, la montée des taux d’intérêts, tout est pour le mieux.
Le mode de vie actif-en-grande-Bretagne/ résident-aveyronnais, grâce à la ligne aérienne est intenable, sans une énergie absolument bon marché.
La population d’origine n’était pas partie sans avoir essayé d’ y rester, et elle était bien plus frugale que maintenant.
Humour : un article sur « la bonne santé » de l’immobilier lorrain en 2007. C’était en Janvier. Nostalgie.

mercredi 6 août 2008.

(4 commentaires)

  1. Toute la question est de savoir si les britaniques veulent voir s’ecrouler leur marche immobilier (et si relocaliser) ou ceux ou ils ont investis (et en partir)… A mon avis les britaniques se sont plus brules dans les pays de l’est qu’en France. Et en general ceux qui ont fait le choix de la France n’ont pas tant de besoins de transport vers la GB.
    La ligne aerienne peut s’adapter (3 vols par semaine au lieu de 6…)

  2. bonjour
    je lis votre site de temps en temps et même si on peut vous reconnaitre une certaine pertinence sur la crise immo à venir ( encore que…. jamais sûr . ) ,les fautes d’orthographe m’arrachent litteralement de votre site , je pars en fuyant , et je ne peux même plus penser que vous pourriez avoir raison . Salutations

  3. En introduction, je tiens à préciser que j

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