C’est bien connu, dans une certaine idéologie, l’état fait toujours mal, le privé toujours bien. Il fallait « laisser faire », car cela résoudrait le problème.
Le « laisser faire » concernait d’abord les loyers, il fallait « laisser faire » la loi du marché. D’abord, pour les propriétaires en place, c’était l’aubaine, on pouvait augmenter tant et plus les loyers avec une clientèle captive. Si ce n’était l’un, c’était l’autre.
Les loyers augmentant, les taux diminuant, dans un premier temps les ménages les plus aisés firent leurs comptes et accédèrent à la propriété.
Rien de choquant. Comme les vides étaient peu répandus, on pu construire du locatif. Avec le résultat qu’on connait.
Les propriétaires, anciens et nouveaux, dans les difficultés, sauf bien sûr dans certains endroits plus tendus, avec un prix de l’immobilier qui s’effrite.
Ce prix de l’immobilier en baisse est ravageur politiquement. C’est le seul patrimoine, ou quasi le seul, appréciable, de 80 % des ménages propriétaires.
On aura donc des propriétaires ruinés, ou appauvris.
Bien sûr, les moins touchés sont les propriétaires de longue date qui n’ont plus d’emprunts, mais même eux apprécient à sa juste valeur ce fardeau, même s’il est moins conséquent.
Il ne reste plus qu’à attendre que le « marché » se régule. A vue de nez, 10 ans, c’est plutôt court, pour la plupart des endroits, ça serait plutôt une génération (25 ans), dans les plus contaminés, je pencherais pour l’éternité (Manière de parler, à plus de 2 siècles, je fais pas de pronostics).
Villes submergées par l’arrivée de Robiens neufs : Agen, Albi, Alès, Angoulême, Béziers,Brive / Tulle, Carcassonne, Charleville, Clermont-Ferrand, Colmar, Genevois-Français, Montauban, Mulhouse, Périgueux, Quimper, Roanne, Saint-
Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse !
Qui c’est qui te l’as dit ?