Les 1 000 milliards, c’est pour bientôt.

Berezina Le cout de la crise a bientôt atteint les 1000 milliards de $, pour le FMI.
Exactement 945 milliards, soit 600 en euros.
« La crise a dépassé les confins du marché américain du subprime, pour toucher concrètement les principaux marchés immobiliers d’entreprise et d’habitation, le crédit à la consommation et le crédit aux entreprises « .
Le montant de la note « subprime » est de 565 milliards de $.
Mais visiblement, le monde officiel ne sait quoi faire.
« Les événements survenus récemment sur le marché du crédit des pays développés ont montré que la stabilité financière nationale et internationale ne devait pas être considérée comme acquise « .
Mais d’un autre côté, (tiers monde), ça rigole visiblement : « Le Fonds n’a pas eu grand chose à dire de constructif sur cette crise et a été très prudent dans ses recommandations et justifie cette prudence en arguant du caractère inédit des problèmes  « .
Une manière de régler ses comptes…

En outre, le FMI a bien proposé des mesures, des mesures de relances.
Evidement, cela a surpris, et fait le lit du « deux poids, deux mesures », alors que les pays du tiers-monde dans la même situation ne se voyait proposer que réductions budgétaires et coupes dans les budgets sociaux.
Le même FMI, lui, vend son or « pour équilibrer ses comptes » et investir… dans quelque m… placement immonde. Alors que l’or flambe.
Mais pour le journal « les échos » (journal marxiste-léniniste bien connu) : la crise empire et « Dans un contexte aussi délétère la politique monétaire rencontre ses limites. L’économie mondiale a besoin d’acheteurs en dernier ressort, c’est-à-dire de puissantes relances budgétaires coordonnées parmi les grandes économies de la planète.  « 
C’est à dire que pour les échos, un gouvernement « faisant des économies » (je ne cite personne, trouvez vous même, pour vous guidez : NS et FF), ça fait, pour dire poliment, désordre…
Moins poliment, complétez vous même…

(2 commentaires)

  1. Enfin des chiffres !
    Mais il ne sont vraiment pas bon du tout. Et dire qu’ils va falloir sauver le culs de ces banquiers verreux si ont ne veux pas que tout parte de travers. Mais espérons que l’ont ne sauvera pas l’immobilier :))

  2. Grâce à Archer j’ai enfin compris pourquoi la bourse monte en ce moment….
    « Nous anticipons une année économique difficile pour la zone euro du fait d’un affaiblissement de l’environnement économique mondial, du resserrement des conditions de crédit, des turbulences sur les marchés financiers, de l’euro très fort et des prix élevés de l’énergie, des matières premières et des denrées alimentaires », commente Howard Archer, économiste en chef chez Global Insight.

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