Stalingrad pour l’Euro…

Pour rompre l’armée allemande à Stalingrad, Joukov porta son effort sur l’armée roumaine au nord de la ville. Elle fut battue en une journée.
Ensuite, pour donner un second coup de massue, sur l’armée roumaine au sud de la ville.
Les tenailles soviétiques encerclèrent alors la ville.
Les allemands préparèrent une contre-offensive de dégagement, pour la contrarier, c’est une offensive sur l’armée italienne, au nord de l’armée roumaine du Don qui fut lancée.
Et après celle là, ce fut l’armée hongroise qui fut battu encore plus au nord de l’armée italienne.

Après la dette italienne, la dette grecque, c’est au tour de la dette hongroise d’être attaquée.
Bien sûr, le florint n’est pas l’euro, mais il y a peu, il était rattaché étroitement à celui-ci.
Depuis quelques temps, il flotte.
La crise immobilière et financière attaque par vagues, comme l’armée soviétique à Stalingrad.
Toujours sur le point le plus faible, toujours le plus loin de l’armée allemande la plus forte.
C’est ainsi qu’on battit Napoléon en 1813 en Saxe.
On battit un à un tous ses généraux, tout en se dérobant quand lui arrivait.
Finalement, en fin de compte, que restera t’il de la zone euro ? L’Allemagne, avec son annexe des pays-bas, et le Monténégro-Kosovo ?
 » spreads hitting post-EMU highs of 53 versus Greece,  44 for  Portugal, 38 for  Belgium and 36 for Spain   « …(55 pour l’Italie)…
Les « petites armées alliées », les généraux de Napoléon sont en train d’être battues les uns après les autres.