Le marché de la résidence secondaire est à la peine

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Stmalo A Saint-Malo, les acheteurs (parisiens et provinciaux) de résidences secondaires ne comprennent pas pourquoi en arrivant dans cette jolie ville, ils devraient payer pour des logements à prix parisiens. Et ils ont bien raison ! Résultat, c’est mou sur la côte et surprenant concernant les vacances de février auparavant si propices aux agents immobiliers pour engranger des ventes. Car les vacances précédents l’été sont les meilleures pour vendre ce type de produit. Résultat, les vacances d’avril sont un peu le dernier espoir d’agents immobiliers qui voient le vent malouin tourner. Il faut deux mois pour faire un acte, juste ce qu’il faut avant les grandes vacances. Je laisse la parole à un A.I. du coin en conclusion : « « De toute façon, les appartements qui ne se vendent pas sont ceux qui sont surcotés. Les biens qui rentrent en ce moment sont au prix du marché et ça va ». Maville.com : « Le marché du logement secondaire peine aussi« 

(15 commentaires)

  1. Si les prix ont augmenté de facon abrupte sur la cote du sud ouest, cela risque d’entrainer certaines imbalances:
    -Les loyers devront augmenter pour justifier cette hausse spectaculaire. Les consequences sont alors multiple:
    ->les locaux non prorietaires (i.e les jeunes ou ceux avec un emploi precaire ou ceux qui se sont endetter sur plus de 25 ans) vont voir leur pouvoir d’achat s’effriter, donc l’economie local risque de s’efondrer…
    ->si les loyers sont elevés, on va se retrouver avec des villes fantomes durant l’ete et l’hiver…l’economie local s’effondre
    Je pense qu’il y a un gros probleme pours ces zones la…si la speculation ne disparait et si la tendance ne se reoriente pas vers la baisse alors la region risque de plonger dans une recession economique…

  2. Je ne vois pas bien l’intérêt des résidences secondaires : charges à payer toute l’année, entretien à réaliser à chaque fois que l’on s’y installe (car pas d’entretien régulier…)…
    Quand on voit des semaines en pension complète en Tunisie ou au Maroc pour 300 euros, en République Dominicaine pour 700 euros…, je me dis qu’il faut beaucoup de semaines pour atteindre les 150,000 euros qu’il faut souvent pour un petit appartement au bord de la mer.
    Et encore, il faudra ajouter : les frais pour se rendre au bord de la mer, la bouffe sur place…

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