Pourquoi nationalise t’on ? Parce que simplement, le capitalisme infaillible foire infailliblement, que personne n’en veut, et qu’il ne reste que le gouvernement pour empêcher la catastrophe.
Bien sûr, on peut faire appel aux « fonds souverains », mais qu’est ce que sinon qu’une nationalisation, au profit d’un état étranger ?
Dans n’importe quelle activité, un dépôt de bilan est à la charge de la collectivité, quoi qu’on en dise, et la différence entre une pme et une grande entreprise, c’est la politique.
En effet, la puissance publique peut admettre la disparition d’une petite entreprise, c’est juste une coup dur pour les autorités politiques locales, mais ne peut admettre la disparition d’un mammouth.
Trop gros, trop de dégâts.
Toujours est il que les atermoiements du gouvernements britanniques, pour cause d’idéologie (il intervient, comme le gouvernement US, massivement, mais avec des faux-nez), va couter fort cher à la collectivité britannique : 30 milliards de livres, soit 40 milliards d’euros.
Accordé plus tôt, la nationalisation eut été moins dispendieuse.
A côté, sa cession de « lifetime » à JP Morgan donne le « la » : il est possible de vendre le très rentable, mais le contribuable épongera les déchets toxiques.
Le secteur privé n’est jamais intéressé par la reprise des pertes.
Il faut dire qu’en matière économique, les gouvernements anglo-saxons sont des parfaits escrocs.
En effet, hors la sphère publique (T. Blair a crée plus d’un million d’emploi de fonctionnaires), c’est la débandade complète.
La balance commerciale est en déconfiture totale, l’endettement, soi-disant contenu, explose du fait d’engagements hors bilans (garanties gouvernementales), et des re-nationalisations auraient déjà eu lieu au Royaume-uni, s’il n’y avait cette garantie du gouvernement.
Les chiffres du chômage n’ont qu’un lointain rapport avec la réalité, ce qui fait du Royaume-uni, un état parfaitement soviétisé : inefficacité économique totale, statistiquement masquée.
Il ne restait plus que l’immobilier et la bourse en Grande-Bretagne. L’un et l’autre se porte mal.
Le pib français dépasse désormais de 70 milliards le pib britannique, comme on voit, les « succès » ou les « échecs » ne sont souvent que la marque des taux de changes.
Il jouit Patrick! cependant en tant que jeune diplomé des emplois on en trouve à la pelle à Londres et rien à Paris si ce n’est des stages c’est le chomage.
Deux petite précisions sur votre article:
le capitalisme a toujours été pour la nationalisation des pertes et la privatisation des gains.
quant aux statistiques anglaise le grand W churchill ne disait t’il pas : « je ne crois aux statistiques que lorsque je les aient falsifier moi même ».
tout est dit.
Arrètez Raymond !
Il a pété une durite le gars
Les stats anglaises sont peut etre falsifiees mais mon salaire est reel!! En france les stats ne sont jamais modifies apres relecture, et les stagiaires ne sont pas chomeurs etc etc etc
Question de generation peut etre mais je gagne ma vie en UK paie mes taxes en UK et ne suis pas pret de revenir en france (pas d’ emploi en france)
Quel modele est le mieux? En tant que fonctionnaire, pas de probleme le modele francais est le meilleur du monde.
Arrete tes conneries Patrick
Luc, tant mieux pour toi si tu te trouves bien à Londres. Moi j’ai des amis qui en reviennent: ils se sont mariés et ont eu un bébé. Ils ont calculé que l’immo coûtait le double à Londres, que se faire soigner une dent coûtait le triple, et faire vacciner bébé tous les mois coûtait la peau des fesses. Bref ils sont revenus,pour un salaire de – 30 % et ils vivent mieux(à Paris)
Dire que l’on ne trouve pas d’emploi est faux si tu es diplômé: j’ai deux enfants de 22 et 25ans qui se sont fait embauchés dès leur sortie de l’école d’ingénieurs à des salaires confortables. Moi j’ai 53 ans et mon mari vient d’être muté en région parisienne et je viens de retrouver un emploi de juriste mieux payé.Il y a 5 ans 250 000 personnes arrivaient chaque année sur le marché du travail, aujourd’hui ce sont 50 000 personnes. On va tendre au plein emploi ; ce n’est pas pour rien si la préoccupation première des français n’est plus le chômage mais le pouvoir d’achat!
Luc, tant mieux pour toi si tu te trouves bien à Londres. Moi j’ai des amis qui en reviennent: ils se sont mariés et ont eu un bébé. Ils ont calculé que l’immo coûtait le double à Londres, que se faire soigner une dent coûtait le triple, et faire vacciner bébé tous les mois coûtait la peau des fesses. Bref ils sont revenus,pour un salaire de – 30 % et ils vivent mieux(à Paris)
Dire que l’on ne trouve pas d’emploi est faux si tu es diplômé: j’ai deux enfants de 22 et 25ans qui se sont fait embauchés dès leur sortie de l’école d’ingénieurs à des salaires confortables. Moi j’ai 53 ans et mon mari vient d’être muté en région parisienne et je viens de retrouver un emploi de juriste mieux payé.Il y a 5 ans 250 000 personnes arrivaient chaque année sur le marché du travail, aujourd’hui ce sont 50 000 personnes. On va tendre au plein emploi ; ce n’est pas pour rien si la préoccupation première des français n’est plus le chômage mais le pouvoir d’achat!
Luc, tant mieux pour toi si tu te trouves bien à Londres. Moi j’ai des amis qui en reviennent: ils se sont mariés et ont eu un bébé. Ils ont calculé que l’immo coûtait le double à Londres, que se faire soigner une dent coûtait le triple, et faire vacciner bébé tous les mois coûtait la peau des fesses. Bref ils sont revenus,pour un salaire de – 30 % et ils vivent mieux(à Paris)
Dire que l’on ne trouve pas d’emploi est faux si tu es diplômé: j’ai deux enfants de 22 et 25ans qui se sont fait embauchés dès leur sortie de l’école d’ingénieurs à des salaires confortables. Moi j’ai 53 ans et mon mari vient d’être muté en région parisienne et je viens de retrouver un emploi de juriste mieux payé.Il y a 5 ans 250 000 personnes arrivaient chaque année sur le marché du travail, aujourd’hui ce sont 50 000 personnes. On va tendre au plein emploi ; ce n’est pas pour rien si la préoccupation première des français n’est plus le chômage mais le pouvoir d’achat!
Suis d’accord avec Patrick: l’économie et le niveau de vie est bien mieux à Cuba qu’à Londres.
Demain j’arrete la mondeuse.
j’abonde dans le sens de Patrick et de mitsouko69.
Les stats c’est bon pour les blaireaux et pour gagner les élections.
Quand au liberalisme … je ne dirai rien puisqu’il n’y a en fait rien à dire. Il n’y a qu’a constater ..
bon ben je file à Cuba alors? au moins pas de souci de travailler la bas, je piquerai une Cadillac et fumerai les cannes à sucre.
Personnellement j’ai galéré un an et demi à Paris et PLUS JAMAIS j’y remettrai les pieds!!
apres si on est pistonné pour des bons postes…enfin personnellement tous les provinciaux (apres Prepa, Grande Ecole; double diplome a l’etranger, stages en M&A (desole pour ce gros mot patrick) n’ont rien trouvé en France et sont partis un peu partout en Europe.
Alors le modele francais; j’en souris, mais c’est beau de croire!! continuer
Luc a raison. Nous avons vécu un an près de Londres (Richmond). Niveau de vie supérieur, des jobs faciles à trouver… Comme il y a moins la pression sur le chomage, les employeurs ne peuvent pas faire n’importe quoi avec les employés. Mais c’est sur, si vous foutez rien, les cartons sont vite prêt aussi.
Nous avons bcp d’amis là-bas, français, ils ne reviennent pas en France. Ils envisagent de le faire quand ils auront assez gagné d’argent là-bas. Les salaires n’ont rien à voir avec la France.
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