(15 commentaires)

  1. Entièrement d’accord.
    Moi, j’ai acheté deux fois. Et je reconnais que ce n’est pas une preuve d’intelligence : J’ai acheté à un moment (2001 et 2004) ou cela était encore presqu’abordable (2001) et parce que j’ai trouvé un bien très correct (2004). J’ai juste eu de la chance. Mon propriétaire en 2001 me demandait de partir car il avait besoin de loger son beau père, et je savais qu’en tant que profession libérale, j’allais encore galèrer pour trouver un appart en location. Personne ne nous fait confiance. Alors j’ai décidé qu’acheter serait plus facile, et c’etait vrai. Aujourd’hui,j’ai mis mes deux studios en location et j’aimerais acheter ma résidence principale (un deux-pièces) et je ne peux pas, comme toi. Parce que ce n’est plus le bon moment. Et j’enrage, comme toi parce que cela fait trois ans que j’attends et qu’il faudra attendre encore un peu, le temps que cela baisse suffisamment. MAIS LE FAIT DE NE PAS ACHETER MAINTENANT EST UNE PREUVE D’INTELLIGENCE. Autant la première fois j’ai juste eu de la chance (avoir besoin d’acheter au bon moment), autant cette fois, ne pas acheter est le fruit d’une reflexion, qui a mûri avec votre blog, d’aileurs.
    Un mauvais achat est un boulet que l’on traine toute sa vie. Et je te donne un exemple : Mon petit cousin, en dépit de tous mes avertissements, vient d’acheter une maison avec énormément de travaux dans une toute petite ville du nord. Il a payé 86 000

  2. Pour ma part, j’ai été mobile, et du coup je n’ai pas pu acheter au bon moment.
    Comme quoi la mobilité ça ne paye pas en France!

  3. Exact, ma femme et moi sommes également très mobile (3 changements de région en 4 ans) afin de saisir toutes les opportunités professionnelles qui se présentent.
    La propriété (chère!) ne va pas avec le dynamisme. Tant pis pour votre programme mister Sarko…

  4. La mobilité n’empêche pas l’achat immobilier si celui-ci est à but locatif. De fait, il peut être intéressant d’acheter un bien pour le mettre en location pendant sa vie professionnelle de façon à capitaliser et à pouvoir le revendre pour acheter sa résidence princiaple lorsque la mobilité cesse ou lorsqu’on prend sa retraite. Comme toujours, l’important estd ene pas acheter n’importe quoi à n’importe quel prix.

  5. Acheter au bon moment est chose possible, il suffit de suivre les marchés et d’anticiper les crises. C’est d’autant plus facile quand vous êtes baissier (« spéculateur » à la baisse).
    En 30 ans j’ai acheté trois fois (en pleine crise), la première fois (à peine majeur) j’ai acheté à crédit et depuis j’ai toujours revendu avec bénéfice. La dernière fois que j’ai vendu c’était fin 2005 début 2006 (vendu 10 fois plus que la valeur d’achat). Ceux qui disent que depuis 2006 les prix n’ont pas baissé, sont aveugles, en beaucoup d’endroit (province) les prix de biens comparables ont, entre ces deux époques, baissé de 20% voir plus!.
    … seulement souvent j’ai souvent vécu en dessous de mes moyens, en étant la risée des autres (du genre: « c’est un fauché, sinon il aurai déjà acheté ») durant certaine période c’était l’angoisse (La peur de se tromper).
    Conclusion pour réussir: Ne pas acheter 2

  6. La Bourse de Paris a clôturé en baisse de 6,83%, sa plus forte chute en une seule séance depuis le 11 septembre 2001.
    LA CRISE DE L’IMMOBILIER va continuer et s’amplifier.

  7. à cause des difficulté liés à la location que j’ai acheté .les propriétaires sont trés exigeant et pratiquent la discrimination.à cause (grace à ces idiots),j’ai du acheté pour me loger et c’est tombé sur la bonne période la premiere fois .muté ensuite ,j’ai vendu en faisant une plus value .j’ai recherché une location et rebelotte pas de possibilité et quelques propriétaires un peu raciste (malgré 150000euros en banque et fonctionnaire impossible de trouver une location vide)et j’ai réinvesti en achetant une deuxieme fois .avec le recul ,je me dis que si j’avais eu une location ,je n’aurai pas acheté et que les problemes discriminatoires sont moindre pour un acheteur que pour un locataire .

  8. Entièrement d’accord avec le post précédent.
    Accrochez-vous aux branches parceque ça risque de souffler fort….
    Planche à billets = Bon du trésor => Faible taux + endettement = liquidités au top.
    Maintenant l’argent manque.
    Pour rappel le CAC 40 était à 6168 en 2007, là il est 4745 – 29% en 12 mois..
    Au fait c’est pas Michel Mouillard qui avait prédit « La France ne sera pas touchée par la hausse des taux d’interêts car les acheteurs ont empruntés à taux fixes ».
    Pov Michou…T’es qu’une buse.

  9. S’il est vrai que certains ont fait de bonnes affaires un peu par hasard, il n’en demeure pas moins qu’il est posible d’acheter au bon moment. Ce que je dis là est vrai quelque soit le marché. Que vous interveniez en bourse, dans l’immobilier, sur les marchés des matières premières la technique reste la même. Il faut s’informer et se limiter à ce que l’on sait. On ne s’improvise pas investisseur. Point n’est besoin pour autant d’avoir fait de longues études en économie, gestion et finances. Croyez en mon expérience, si vous voulez faire des affaires, anticipez le mouvement et ne soyez pas suiveur. Facile me direz vous si on a une boule de cristal ! Mais quand on en a pas on observe ce qui se passe autour de soi.
    Quelques exemples récents : La bulle internet avait été annoncée plus de six mois avant qu’elle n’éclate. Personne ne voulait la voir ou chacun se croyait asez malin pour s’en sortir au bon moment. La présente crise boursière était annoncée depuis juin 2007. Celui qui est piégé aujourd’hui a pêché par manque d’humilité !
    La bulle immobilière voilà presque 3 ans qu’on en parle sur un site très bien documenté http://www.bulle-immobilière.org. Je ne parle pas de leur forum où on peut lire du bon et du moins bon, je parle des documents et analyses qui se trouvent sur ce site. Si on prend la peine de les lire il apparaissait évident de ne pas acheter à partir de fin 2005 et pour ceux qui, comme moi était engagé dans l’immobilier, de vite commencer à vendre.
    Pour l’avenir sans être devin et rien que sur ces deux secteurs que je connais très bien il est assez facile de déceler le bon moment.
    Pour la bourse sur du MT et LT il faudra entrer long lorsque le CAC aura fait un retracement au-delà de 5250 points avec des volumes d’échange importants. Cette limite n’est pas issue de mon imagination mais ressort d’analyses graphiques basées sur l’expérience et des historiques. Elle est d’ailleurs confirmée sur des sites de conseils financiers payants ou gatuits.
    En ce qui concerne l’immobilier, quoiqu’en dise les professionnels (dont le souci est de vous refourguer leurs patates chaudes), le pire est devant nous. Il serait imprudent de s’aventurer sur ce marché avant 2010. Ce n’est pas là encore de la donnée pifométrique, c’est ce qui ressort de l’analyse graphique de l’indice du secteur.
    maintenant vous pouvez ne pas être d’accord avec moi. Mais vous ne pouvez pas affirmer gratuitement que ceux qui investissent au bon moment le font par hasard. En ce qui me concerne, j’ai une stratégie qui m’est propre, et je ne m’en vante jamais.

  10. Acheter, louer…un débat sans fin. Pour ma part, j’ai pris le parti d’acheter après avoir enfin trouvé le bien de mes rêves. Pour cela, j’ai décidé de m’appuyer sur les services d’un chasseur immobilier que j’ai trouvé sur (pas de pub dans les commentaires merci – C. Yanes) Un site que je recommande car il rassemble à la fois l’ensemble des professionnels de ce métier si nouveau en France et qui, en plus, compare les honoraires qu’ils pratiquent!

  11. J’ai acheté un appart en 2003, un 3 pieces alors que nous etions en couple avec ma femme. le prix etait bas, 40% de moins qu’aujourdhui.
    Nous attendons notre deuxieme enfant il nous faut donc demenager a regret, et donc vendre (la location est perilleuse avec un credit sur le dos) car nous n’avons pas les moyens de faire un autre pret.
    Plutot que de tenter de faire une plus-value déraisonnable et d’etre trop gourmands, nous avons vendu notre bien a un prix un peu en deça du prix du marché, directement entre particuliers. Bilan, le bien est parti en 2 semaines, nous nous retrouvons avec une belle somme d’argent (100.000 euros)que nous allons placer intelligemment, donc surtout pas dans l’immobilier.
    En attendant des jours meilleurs, nous allons donc nous mettre en location .. et patienter tranquillement, scrutant le bon moment pour reinvestir.
    En effet ma femme et moi sommes mobiles, donc investir dans un achat serait une erreur. un exemple : une maison a 250.000 euros, rien que de frais de notaire, ca fait plus de 20.000 euros, gaspillés … 2 ans de loyer en loc .. Sans compter les interets enormes de debut de pret, les taxes, assurances … A ce jour, acheter ne vaut plus du tout le coup … ca valait le coup tant qu’une plus value etait envisageable. En 2008, je pense que le temps de la hausse a 2 chiffres est revolu, on est en fin de cycle. Jeunes acquereurs, prenez garde !!
    Tout n’est qu’affaire de bon moment avec l’immobilier. Attendez. Patience est mere de toutes les vertus !!!

  12. Comme Christophe
    Mobile professionnellement =>
    – Pas d’achat immobilier
    – D’énormes dépenses pour enriochir les fonctionnaires de la SNCF (où en tant que chien de client nous ne sommes que des « usagers »)
    – Précarité des situations profs
    – Tracasserie de l’administration envers les gens qui déménage où change d’employeur pour survivre
    – Des gagnants: mes employeurs respectifs qui ont appréciés cette mobilité pour dynamiser leur entreprise.
    lA FRANCE DE PROPRIO C’EST LA FRANCE IMMOBILE QUI S’APPAUVRIT
    Salutations
    IFRSé
    – En revanche nos employeurs

  13. Le marché est moins dynamique, mais le logement reste un probleme structurel et démographique en France, selon les régions, et il faut comparer au cas par cas et non pas France entière, il y a plus de demandes que d’offres.
    Maintenant partons du principe ou les prix sont figés voir descendent un peu, un meme bien aujourd’hui a 150.000 euros qui se revend pareil a 150.000 euros dans deux trois ans, c’est une question de choix, en etre le propriétaire et faire ce que l’on veut car l’on est chez soi, ou bien payer plus ou moins les memes dépenses car les loyers sont loin d’etre donné, pour moi le choix est fait je suis propriétaire meme si les mois sont durs, impossible d’avoir la meme chose en location a un prix raisonnable, trouver moi des locations correctes, abordable, cela ne cours pas les rues, ou peut etre dans des vieux quartiers non sécurisés.

  14. @unlecteur,
    je tiens à te signaler que je ne partage pas ton point de vu. En fait je le trouve non fondé. De là, j’hésite. Soit tu es resté sur des dogmes de l’immobilier, ou bien tu cherches à te rassurer, ou pire, tu cherches à tromper ton prochain

  15. Entierement d’accord avec Benjamin,a l’adresse d’ « unlecteur », tu essayes de tromper ton monde ou tu restes les yeux clos devant la realité immobiliere de 2008.
    « Maintenant partons du principe ou les prix sont figés voire descendent un peu, un meme bien aujourd’hui a 150.000 euros qui se revend pareil a 150.000 euros dans deux trois ans, c’est une question de choix, en etre le propriétaire et faire ce que l’on veut car l’on est chez soi, ou bien payer plus ou moins les memes dépenses » :
    Sans etre un expert en Maths, sur 3 ans on gagne rien du tout a acheter par rapport a la location si on vend au même prix, loin de là. Demonstration:
    1) A l’achat :
    – 150.000

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