Des budgets courants de 20 000 euros font des lots de chauffage pour la construction neuve le premier lot, le plus important, devant celui qui en avait traditionnellement la place : la maçonnerie.
Bien sûr, une économie est faite.
Mais, même avec cette technologie, on n’atteint pas le sommet de la maison à énergie positive.
Cette maison n’agit pas.
Elle se contente de garder la chaleur.
Et là, la greffe des nouvelles technologies en fait une solution viable.
Quelle est le principal problème rencontré actuellement ?
Les consommateurs, les clients, veulent absolument du renouvelable, même si celui-ci ne leur apportera pas l’effet escompté.
Car si on leur propose une chaudière à énergie fossile, ils pensent tout de suite qu’ils faudra la changer ultérieurement.
Nous sommes fin 2007.
Une chaudière peut-être amortie dans 5 ans. Quelquefois moins. Bien sûr la consommation d’énergie ne sera pas nulle. Mais le réflexe est de dire : « il faudra que je change ultérieurement ».
Mais une énergie renouvelable sera aussi obsolète dans 15 ans.
Dans le même cas de figure, un renouvellement de gamme sera nécessaire. La véritable alternative du choix est la suivante : vais-je investir dans un matériel solide et fiable qui aura un retour sur investissement (l’énergie fossile classique), où dans un matériel qui sera peut-être aussi de fort bonne qualité, mais qui dans les conditions actuelles ne donnera qu’une opération blanche.
Pour changer la donne, il faut que le matériel soit bon marché (c’est possible), et que les subventions ne concernent pas que les matériels installés par les professionnels.
On en est loin.
pour faire baisser les prix il faut arreter les credits d’impots massifs et encourager la production de ces materiels en france ou l’importation venant de pays proches…je vous le dis bientot on aura aussi dans ce domaine du made in china sans baisse de prix significative ,je vous laisse deviner qui profitera alors des ci et qui se fera des marges…