En 40 années, on est passée d’une société prospère, à une société, parait il encore plus prospère.
Du plein emploi à un chômage endémique, d’une société équilibrée à une société où la pauvreté explose.
Les bons emplois industriels ont été remplacé par des emplois « de service », beaucoup moins bien payés.
D’un logement globalement bon marché à un logement globalement cher.
Les salaires sont désormais quasiment bloqués.
Seuls les charges augmentent, en même temps que les inégalités, au profit du 0.1 % le plus riche.
Seulement cette politique a aussi ses limites.
On la récemment vu avec la fin du « compromis de Washington » entre FMI et Banque Mondiale.
Le pouvoir est visiblement dans le même état que le pouvoir argentin, il y a dix ans.
Les bolcheviques du libéralisme disent :
– il faut augmenter massivement le prix du gaz,
– il faut allonger les durées de cotisations pour la vieillesse,
– il faut réduire les fonctionnaires au lot commun,
– il faut, il faut, il faut…
Par contre, une simple remontée du taux de rémunération des livrets de caisse d’épargne est mal venue. Elle anéantirait « l’architecture des placements ». Pensez, pour 2 livrets complètement pleins, même 0.75 % de hausse représente 231 euros l’an soit 19.25/ mois…
Le libéralisme économique est l’empilage des serrages de ceintures.
Pendant des années, l’immobilier a été vu comme l’assurance contre les aléas.
Pensez, être propriétaire vous sort(ait) du prolétariat.
Aujourd’hui, bien venu au club. Il est appelé aux sacrifices « le ralentissement des prix est salutaire », et par un quasi blocage des loyers, là où ils peuvent encore augmenter, par la dégringolade ailleurs, là où l’offre est pléthorique.
En oubliant aussi que la plupart des bailleurs sont modestes (environ 75 % ont un appartement, pas plus).
Seulement, l’empilage de ces mesures, crée un nombre d’ennemis inimaginables…
« Seulement, l’empilage de ces mesures, crée un nombre d’ennemis inimaginables… »
Bush, Poutine ou Sarkozy ont en commun d
A toutes les époques, les pouvoirs finissant créent des unités de répression. Elles repriment effectivement un temps, mais jamais éternellement, et puis, elle ne sont pas assez nombreuses, pas assez motivées et en générale finissent toujours débordées.
Raymond t’es lourd. Retourne chez les cocos avec leur police politique et lache nous avec tes commentaires délirants.
Tu as en toi l’espoir du GRAND SOIR ou le peuple se soulevera pour lutter contre la classe bourgeoise dirigeant. On a vu ce que ça donnait!
Ici c’est un blog sur l’IMMOBILIER sur-évalué, pas un blog pour attardé révolutionnaire bloqué sur 1917.
Marie au secours. Aide notre ami Raymond
Signé: Un bolchevique du Libéralisme (sic! ça veut dire quoi un bolchevique du libéralisme, ça existe ça?)
Pourquoi tant de haine envers pat reymond. Ce site prouve qu’il existe encore une liberté d’expression en france même si cela dérange certains qui sentent en eux une culpabilité quand M.Ryamond s’exprime.
Il ne faut pas que ce site deviennent une tribune politique mais un article tous les 3 mois ça fait pas de mal. Chacun à le droit de s’exprimer.
@HFox,
Bonjour,
vous dites qu’ici, c’est un blog sur l’immobilier sur-évalué, mais c’est faux. C’est un blog sur l’immobilier en général.
Quand à Patrick Raymond, on peut être d’accord ou pas avec ses opinions (je me situe parfois à l’opposé), mais il a le droit de s’exprimer autant que vous. Nous ne sommes pas sur un blog « pensée unique », sinon je n’y participerai pas.
Cordialement
Ceux qui parlent du libéralisme devraient se renseigner avant.
le libéralisme ce n’est pas ce qui est décrit ici.
Patrick Remond confond liberalisme et prépondérance de l’idéologie financière sur l’économie.
Je lui recommande la lecture de deux livres :
– La société malade de la gestion de Vincent de Gaulejac
– Le libéralisme de Pascal Salin.
Sinon un site d’un auteur qui explique la pensée libérale :
http:\\www.bastiat.org\
les attaques contre le libéralisme sont des croyances que le système est mauvais parce que les dérives du systèmes ont été permises parce que certains en exploitaient les failles.
c’est comme ci on supprimait les récréations dans les écoles parce que certaines fois les enfants sont agités et se chamaillent.