Bruits d’arrière-cour…

Images Des bruits courent sur internet, bruit concernant Citi.
La banque serait lessivée.
Complètement, jusqu’au dernier dollar.
En attendant, les nouvelles officielles ne sont pas bonnes pour Citi, justement ( 20 000 licenciements annoncés pour 300 000 employés), Merrill Lynch et JP Morgan.
Merril Lynch procéderait à 1600 licenciements.
Citi, mais aussi la britannique HSBC, envisageraient de vendre ou de fermer des filiales de taille moyenne, dont certaines sont forts juteuses (crédit auto, crédit étudiant, cartes de crédit brésiliennes).

Mais la gravité de la crise est ailleurs. En effet, peu importe les employés dans la mentalité actuelle, ce qui montre la gravité de la crise est la diminution du dividende.
40 % pour Citi, c’est la preuve de leur coeur brisé.
Il ne pourrait y avoir qu’un signe plus grave de crise : la diminution du salaire du CEO.
Mais, apparemment, c’est toute la société qui se porte mal, caché par un écran de fumée statistique et médiatique, de moins en moins crédible.

(2 commentaires)

  1. Des banques de pays emergeants pourraient profiter de la situation ? En tous cas pour celles moins exposées à la crise actuelle.

  2. des banqsues ? non certainement pas, elles sont dans la même situation, mais des fonds souverains, utilisant des réserves de change dont on se méfie, appuyé par des états qui n’ont pas de banque centrale indépendante, et donc la disposition de la planche à billet peuvent aisément le faire.
    On refuse à l’état dans nos pays, ce que d’autres font, de l’extérieur.

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