C’est bien ce qui s’appelle découvrir la Lune.
Je sais bien que ce n’est pas « politiquement correct » sur ce blog de parler de la lutte des classes, mais c’est de cela qu’il s’agit.
Le but de la classe dirigeante, celle qui a l’argent et le pouvoir est de ce débarrasser de la classe moyenne, dont les enfants pourraient concurrencer ses rejetons. Et elle est en train d’y arriver.
Ceci dit, les gens qui ont préféré Le Pen à Jospin, qui ont voté pour Sarkozy, c’est à dire pour la pire droite, revancharde, haineuse, n’ont qu’à assumer…
Ils seront bientôt réduits à aller habiter en HLM dans le 93…
Je pense que les mécanismes de hausse en jeu sont à la fois plus simples (la baisse des taux de crédit a eu un impact majeur), et beaucoup plus complexes que votre approche (un complot des classes dirigeantes pour protéger leurs rejetons…:-))) ). Les classe moyennes sont « à la dérive » parce qu’elles sont de plus en plus segmentées, vers le haut, et le bas pour certaines. C’est peut-être la rançon de la hausse du niveau de vie général: c’est une population en forte croissance. Est-ce une mauvaise chose ? Là aussi la réponse est complexe.
Alfred, quelle belle analyse politique tu nous fait là. Pourras-tu développer ton idée parce que je ne comprends pas
L’ancien président de la Réserve fédérale Alan Greenspan a déclaré vendredi que les prix de l’immobilier aux Etats-Unis allaient continuer à baisser.
« Les marchés prennent conscience du fait que le repli des prix de l’immobilier aux Etats-Unis se poursuit. Et cela se produit à un rythme jamais vu depuis les 50 dernières années », a dit Greenspan lors d’une conférence organisée à Oslo par First Securities.
L’ancien patron de la Fed a estimé que la bulle immobilière avait certes éclaté, mais que le marché était encore loin d’avoir atteint le pic de ses ventes – le moment où les vendeurs abaissent le plus fortement leurs prix afin de s’aligner sur le niveau des offres.
source: http://www.boursorama.com/international/detail_actu_intern.phtml?&news=4860897
L’explication est simple. Depuis le milieu des années 80 la classe dirigeante a financiarisé l’économie. Exit le travail vive la finance…
avec quelle conséquence? l’apauvrissement des classes moyenne et basse et l’enrichissement des plus riches…
Mais il ne faut pas blamer que la droite de notre roquet national car la gauche est à l’origine du mouvement…
Et avec la tournure que prend la réforme du PS nous ne sommes pas prêt de voir l’économie être recentrée sur son coeur de cible : l’homme et non le profit!
Dans le même sens en d’autres termes ça donne:
« Quand la gauche caviar et la droite saumonée de l’UMPS se rejoignent pour avaler avec gloutonnerie leur part du gâteau, c’est le peuple -les classes moyennes- qui reste sur sa faim ! »
🙁
C’est bien ce qui s’appelle découvrir la Lune.
Je sais bien que ce n’est pas « politiquement correct » sur ce blog de parler de la lutte des classes, mais c’est de cela qu’il s’agit.
Le but de la classe dirigeante, celle qui a l’argent et le pouvoir est de ce débarrasser de la classe moyenne, dont les enfants pourraient concurrencer ses rejetons. Et elle est en train d’y arriver.
Ceci dit, les gens qui ont préféré Le Pen à Jospin, qui ont voté pour Sarkozy, c’est à dire pour la pire droite, revancharde, haineuse, n’ont qu’à assumer…
Ils seront bientôt réduits à aller habiter en HLM dans le 93…
Je pense que les mécanismes de hausse en jeu sont à la fois plus simples (la baisse des taux de crédit a eu un impact majeur), et beaucoup plus complexes que votre approche (un complot des classes dirigeantes pour protéger leurs rejetons…:-))) ). Les classe moyennes sont « à la dérive » parce qu’elles sont de plus en plus segmentées, vers le haut, et le bas pour certaines. C’est peut-être la rançon de la hausse du niveau de vie général: c’est une population en forte croissance. Est-ce une mauvaise chose ? Là aussi la réponse est complexe.
Alfred, quelle belle analyse politique tu nous fait là. Pourras-tu développer ton idée parce que je ne comprends pas
L’ancien président de la Réserve fédérale Alan Greenspan a déclaré vendredi que les prix de l’immobilier aux Etats-Unis allaient continuer à baisser.
« Les marchés prennent conscience du fait que le repli des prix de l’immobilier aux Etats-Unis se poursuit. Et cela se produit à un rythme jamais vu depuis les 50 dernières années », a dit Greenspan lors d’une conférence organisée à Oslo par First Securities.
L’ancien patron de la Fed a estimé que la bulle immobilière avait certes éclaté, mais que le marché était encore loin d’avoir atteint le pic de ses ventes – le moment où les vendeurs abaissent le plus fortement leurs prix afin de s’aligner sur le niveau des offres.
source: http://www.boursorama.com/international/detail_actu_intern.phtml?&news=4860897
L’explication est simple. Depuis le milieu des années 80 la classe dirigeante a financiarisé l’économie. Exit le travail vive la finance…
avec quelle conséquence? l’apauvrissement des classes moyenne et basse et l’enrichissement des plus riches…
Mais il ne faut pas blamer que la droite de notre roquet national car la gauche est à l’origine du mouvement…
Et avec la tournure que prend la réforme du PS nous ne sommes pas prêt de voir l’économie être recentrée sur son coeur de cible : l’homme et non le profit!
Dans le même sens en d’autres termes ça donne:
« Quand la gauche caviar et la droite saumonée de l’UMPS se rejoignent pour avaler avec gloutonnerie leur part du gâteau, c’est le peuple -les classes moyennes- qui reste sur sa faim ! »
🙁