Le peg (lien fixe entre certaines monnaies et le dollar) menace d’éclater.
Il avait été rompu avec le Yuan, celui-ci montant (très peu vite), eu égard aux déséquilibres d’échanges Chine-USA.
Le lien cette fois qui risque d’éclater, c’est le Peg entre le dollar et les monnaies du golfe.
La crise des subprimes ayant eu pour conséquence la baisse des taux d’intérêts, la baisse du dollar s’en est trouvé accéléré.
Les pays du golfe voient fondre avec cette baisse leurs revenus, leurs réserves monétaires, libellées en $, et se voient importer l’inflation US.
C’est, de plus en plus, une atmosphère de fin de rêgne qui prévaut.
Le dollar semble mort, mais il n’y a pas véritablement de remplaçant.
L’Euro semble monter, mais c’est une victoire par défaut, non pour ses qualités.
En effet, la déroute de l’immobilier US, car maintenant, il faut bien parler de déroute, augure la déroute de l’immobilier mondial, qui, par effet de domino est en train de faire s’effondrer le château de cartes de la globalization.
Le problème se situe dans l’inertie des politiques, dans un pilotage de la crise par des « autorités » complètement illégitimes, les banques centrales, et par leurs « moyens » absolument ridicules.
On n’administre pas une société par la planche à billet et/ou la manipulation des taux d’intérêts.
On devrait donc assister à une crise d’une rare importance, sans doute supérieure à celle de 1929.
Les français ne s’y trompent pas.
47 % d’entre eux ont la crainte de devenir SDF. (le problème du logement serait donc réglé).
L’échec des politiques en place est donc total.
je serais assez content de la fin de cet periode de fou…. mais attention : après 1929 il y eu 1933 et 1939. une bonne préparation de la prochaine géopolitique mondiale me semble primordial. On ne laisse pas un vieux système aussi mauvais soit’il s’effondré dans la joie sans savoir par quoi on va le substitué
on ne sort pas du systeme, il se desagrege. 1929 a été 1929 par inertie des acteurs. pareil aujourd’hui. Ou par activisme débile comme la politique bruning qui consistait à taper sur les plus modestes.
Dans le bon vieux temps, lors de crises économiques, une petite (ou une grande) guerre permettait de relancer l’économie et surtout de se débarrasser des ouvriers revendicatifs, des chômeurs récalcitrants, des contestataires en tout genre, des jeunes un peu trop pressés de prendre la place des vieux…
C’était fort pratique, on faisait cela tout les vingt ans, mais depuis l’invention de la bombe atomique, on doit y regarder à deux fois…
Mais bien sur Alfred, calmer les chomeurs était LA raison pour laquelle « ils » déclenchaient la guerre, et maintenant, ils sont bien emmerdés, car la bombe atomique, ça craint…
Mais c’est pas un peu fini de raconter n’importe quoi !
Mais bien sur Alfred, calmer les chomeurs était LA raison pour laquelle « ils » déclenchaient la guerre, et maintenant, ils sont bien emmerdés, car la bombe atomique, ça craint…
Mais c’est pas un peu fini de raconter n’importe quoi !
Mais bien sur Alfred, calmer les chomeurs était LA raison pour laquelle « ils » déclenchaient la guerre, et maintenant, ils sont bien emmerdés, car la bombe atomique, ça craint…
Mais c’est pas un peu fini de raconter n’importe quoi !
Bon, je crois que nous sommes d’accord avec Patrick, c’est une crise systémique. Avec comme épicentre imprévu les defauts de paiements de pauvres américains. On a beau jeu de le présenter, mais qu’est ce que cela donne ensuite? Quel modèle viser pour répondre à toutes les defaillances qui s’enchainent les unes apres les autres. Les banques centrales ne pourront pas gérer l’effondrement. Vu la défiance qu’ont nos politiques envers elles, je les vois mal, main dans la main, s’organiser pour solutionner les crises. Pour être un peu caricatural dans le domaine de ce blog; Que fera un foyer endetté sur le long terme, contraint à de multiples aménagements couteux pour mettre sa maison aux nouvelles normes énergetiques, englué dans des frais de transport toujours plus lourd, le tout plombé par une banque pressante, et irrémediablement occupée de sa propre santée, voir de sa survie (c’est celon)? C’est fou ce que cette simple question de l’immobilier implique. Un changement obligatoire de paradigme, pur et simple. Prenant acte de l’inertie en cours, autant dire la deliquescence programmé du systeme vu le peu d’idée proposée par les « experts et dirigeants », et une période sombre qui reveillera le sens de depression economique pour les simples individus. C’est beau les concepts de fin de cycle, sauf quand ils prennent corps.
c’est pour cela que Nicolaï 1er a été choisi par ses pairs, afin de préparer la transition de 1929 à 1933…
le problème (pour lui) c’est qu’il prend la voie de bruning.