Le massacre à la tronçonneuse des fonds de pension se continue, sans oublier le plus célèbre des fonds français : la Préfon.
Le seul inconvénient, avec ces fonds, c’est que leurs sous, il faut qu’ils les placent.
Là, ils n’échappent guère aux modes ambiantes. Même pas du tout. Donc la crise immobilière, comme l’éclatement de la bulle internet entraine une chute des rendements. Quand il n’y a pas purement et simplement faillite.
Pour un rendement dantesque. Un homme, né en 1965, prenant sa retraite à 60 ans aura « droit » à sa retraite à 276 zeuros mensuels (pour 100 000 zeuros placés) et une femme 246.
En résumé, on vous garantit le taux du livret A (moi, je savais bien que c’était un truc révolutionnaire le livret A), avec en moins, la perte de capital (rente viagère)… 1 % de rendement après l’inflation officielle…
Les fonds de pensions diverses qui n’ont pas déjà tiré le rideau aux USA voient poindre les difficultés, comme le fond de pension de l’état de Floride qui se retrouve avec moults placement « illiquides » (lire : torche-cul).
Le fond de pension espère 5 % de rendement à long terme (soit 1 % après inflation « officielle », moins 5 après l’inflation « officieuse »).
Mais le plus gonflé était encore le conseil d’administration de la General Motors, qui proposait il y a peu au syndicat UAW, d’alimenter le fond de pension avec des titres GM (situation nette : MOINS 80 milliards de $)…
Pr
Il n’intervient plus, Patrick Reymond ? C’est dommage, il arrachait bien !
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Dites, el Gringo (ou quelqu’un d’autre) : pourquoi n’a -t-on pas ce genre de probl
Le probl