Le journal Le Parisien – Aujourd’hui en France a renoncé à publier sur sa version papier de samedi une interview de Nicolas Sarkozy, en vue de se conformer aux textes régissant l’élection présidentielle.
De véhémentes protestations des directeurs de campagne de Ségolène Royal ont néanmoins été nécessaires pour que la rédaction se plie à la loi.
Le Parisien a renoncé à publier samedi une interview de Nicolas Sarkozy sur décision de la Commission nationale de contrôle de la campagne électorale (CNCCEP), jugeant qu’une telle publication à la veille du scrutin présidentiel serait assimilable à de la propagande. Cet entretien a été toutefois mis en ligne par le quotidien vendredi soir à 21h30 (19h30 GMT) avec l’accord de la CNCCEP et quelques extraits figurent samedi dans la version papier du journal. Sous le titre « L’histoire d’une interview hors la loi », le quotidien explique avoir voulu publier cette interview dans un souci d’équilibre, Ségolène Royal ayant eu la parole la veille dans les mêmes conditions.
Le journal a en effet publié vendredi une interview avec Ségolène Royal et avait annoncé pour samedi une interview de son rival. L’entretien avec le candidat à la présidentielle a été mis en ligne sur le site du quotidien vendredi soir à 21h00.
Le Parisien ajoute avoir été alerté sur le caractère illégal d’une telle publication vendredi après-midi par le directeur de cabinet de la candidate socialiste, Christophe Chantepy. Peu après, Gilles Bachelier, rapporteur général de la CNCCEP, a joint le quotidien pour confirmer que la loi ne permet pas, à la veille du scrutin, la publication d’une telle interview qui serait assimilable à de la propagande.
Jean-Louis Bianco et François Rebsamen, directeurs de campagne de Ségolène Royal, s’étaient étonnés quant à eux vendredi en début de soirée d’un projet de publication de l’interview du candidat UMP, alors que « les règles applicables à l’élection présidentielle prévoient que toute campagne électorale est interdite à compter de vendredi 24H00 ».
MM. Bianco et Rebsamen avaient demandé au candidat Nicolas Sarkozy de « respecter les règles démocratiques, auxquelles tout postulant à la présidence de la République se doit spécialement de se conformer », et au Parisien – Aujourd’hui en France de renoncer à la publication de l’interview.
« L’Etat impartial exige une exemplarité en tout premier lieu de celle ou de celui qui souhaite exercer les fonctions de président de la République« , avaient-ils ajouté.
La clôture de la campagne intervenait vendredi à minuit (22h00 GMT). Informée, l’équipe de Nicolas Sarkozy a jugé préférable, dans ces conditions, de ne pas publier l’interview. « Nous avons choisi de respecter la loi pour ne pas mettre en porte-à-faux l’un des deux candidats qui aurait pu, de ce fait, avoir des comptes à rendre au Conseil constitutionnel« , souligne Le Parisien.
Source : AFP, Reuters
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Un bug je n’y crois pas trop !
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Le site d’Amaury Sport Organisation
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Sarkozy : Je ne suis pas un fasciste (même si j
merci bp mp , ce sont les infos que je cherchais !!!!
no comment
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De Gaulle et Sarkozy : contradiction totale avec « affaire » sur OAS ,
pour rappel
si » Il a rappelé à la foule que le plus grand héros politique moderne de la France, Charles de Gaulle, avait aussi été accusé d
Il a toujours été de notoriété publique que le quotidien Le Parisien est et a toujours été pro-sarko.
Il suffit d’en juger en comparant les titres des articles concernant ségo, et ceux concernant sarko.
Sur l’affaire des déclarations du 1er ministre algérien sur sarko, je dirais que le verbe « réhabiliter » l’OAS ne signifie pas « recréer » l’OAS, mais « valider » les thèses de l’OAS . Le premier ministre fait allusion au terme « repentance » souvent utilisé par les anciens d’algérie (ils refusent toute « repentance ») .
Je signale que dans le film « l’exorciste » , c’est au diable que l’on demande de « faire repentance ». Les rapatriés n’utilisent pas ce mot par hasard, ils se sentent diabolisés et comptent bien le souligner afin de se victimiser.
Quant au quotidien El Watan, qui affirme que les USA ont fait de la rétention d’information afin de rendre possible les attentats d’alger, il serait plus professionel de se taire lorsqu’aucune preuve n’existe pour étayer de telles affirmations.
Source:
http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=48784&archive_date=2007-05-05
Le 5 mai 2007.
Belkhadem assure que l’Algérie souhaite toujours un traité :
«Que l’on ne compte pas sur nous pour nous taire sur la colonisation»
par L’un De Nos Correspondants A Paris: S. Raouf
Le propos s’apparente à une passe d’armes à distance. Pour sa première sortie dans un média français à grande audience, le chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, ne s’est pas gêné outre mesure pour répliquer sèchement à Nicolas Sarkozy.
Alger ne restera pas de marbre devant toute valorisation du passé colonial. C’est, en gros, le sens du message qu’il a voulu envoyer en direction de Paris à la faveur d’une interview au journal «Le Monde». Sur le ton de la mise en garde, il a rappelé qu’un remake de l’épisode du 23 février 2005 -loi vantant le «rôle positif» de la colonisation- sera inacceptable. Et ne manquera pas de susciter, à Alger, des réactions courroucées.
Les propos de Belkhadem ont été recueillis alors que les Français s’apprêtaient à choisir qui de Ségolène Royal ou de Nicolas Sarkozy a vocation à siéger à l’Elysée. Le chef du gouvernement suit-il la joute hexagonale? «On ne peut pas être indifférent à ce qui se passe en France, même si nos relations sont des relations d’Etat à Etat».
Les Français sont «libres» de mettre en oeuvre les choix et les politiques «qu’ils souhaitent», souligne Belkhadem. Qui avertit aussitôt: «que l’on ne compte pas sur nous pour nous taire dès lors qu’il s’agit de porter un jugement sur une tragédie que nous avons vécue», allusion à la colonisation. «Nous ne pouvons pas rester silencieux».
A une remarque de Jean-Pierre Tuquoi, l’envoyé spécial du «Monde» qui lui rappelait que Sarkozy veut «tourner le dos à la repentance», le SG du FLN a usé d’une réponse sous forme de tacle contre le président de l’UMP. «Il veut aussi réhabiliter l’OAS», accuse-t-il dans une allusion à la teneur d’une lettre adressée par le candidat à un collectif d’associations de rapatriés. «L’OAS était une organisation criminelle, une organisation terroriste du même type qu’Al-Qaida aujourd’hui».
Dans son évocation de la relation algéro-française, le chef du gouvernement ne se projette pas dans l’après-Chirac. Pour tout élément de réponse, il assure que l’Algérie souhaite «toujours» la signature d’un traité d’amitié avec la France. A condition, s’empresse-t-il de préciser, que la France officielle se démarque des «crimes de la France coloniale».«La colonisation a été abominable. On ne peut pas se contenter de gestes symboliques pour la condamner. Il faut que ce soit écrit noir sur blanc. Parce qu’un écrit reste», dit-il, le ton exigeant. Belkhadem confirme le constat du «Monde» selon lequel la charge contre la colonisation n’est «plus» au menu du discours officiel algérien. «Il ne sert à rien d’en rajouter», explique-t-il. Pour autant, «nous gardons en mémoire tout ce qui a été dit en France. Nous n’avons rien oublié et, pour nous, on ne peut pas parler d’aspect positif de la colonisation. Prétendre le contraire, c’est dire des insanités». Le devenir du traité d’amitié a été brièvement évoqué lors de la présidentielle française. Après avoir observé que l’amitié n’avait pas besoin d’être consignée dans un traité, Sarkozy a affirmé qu’il n’y était pas favorable, dans sa lettre aux rapatriés. Royal n’en a pas soufflé mot, mais son conseiller spécial, Jack Lang, s’est dit convaincu qu’elle en fera un de ses chantiers, une fois installée à l’Elysée.
Tout au long de la campagne hexagonale, l’Algérie officielle s’est gardée de tout choix -même allusif- entre les deux prétendants. Elle avait reçu Sarkozy dans les habits de ministre de l’Intérieur – et néanmoins candidat- ainsi que Jack Lang, conseiller spécial de Ségolène Royal. L’un et l’autre avaient été reçus longuement à El-Mouradia par le Président Abdelaziz Bouteflika.
Au plus fort de la période «boumédieniste» et des années Chadli, l’Algérie, sans s’en cacher, avait «voté» socialiste. En 1974, elle avait soutenu -en vain
Détail du sondage IFOP 28/04/2007 :
Ségolène Royal en tête dans toutes les tranches d’âge sauf dans les plus de 65 ans (où Nicolas Sarkozy rafle 75% des votes et fait pencher la balance de son côté).
http://www.ifop2007.fr/photo/File/IntentionDeVote/JDD-PRESI20-28-04-2007-16263A.pdf
El gringo,
ne te fie pas aux sondages, le meme institut 2 jours apres et tu as des resultats completement differents
http://www.ifop2007.fr/photo/File/IntentionDeVote/PM-PRESI21-30042007-16265.pdf
cela depend du groupe qui le commande …
no comment