(6 commentaires)

  1. Bush veut consommer moins d’essence
    Bush prévoit d’imposer de nouvelles normes aux voitures et 4×4 [Keystone]14.05.2007 21:54
    Le président George W. Bush a ordonné lundi au gouvernement américain de prendre les premières mesures pour atteindre son objectif de réduire la consommation de carburant de 20% en 10 ans.
    La nouvelle réglementation pour atteindre cet objectif doit être en place d’ici à fin 2008, a-t-il dit dans une déclaration à la Maison Blanche.
    George W. Bush a déclaré avoir donné pour instruction à l’Agence de protection de l’environnement et aux ministères du Transport, de l’Energie et de l’Agriculture « de prendre les premières mesures pour une réglementation qui réduirait la consommation d’essence et les émissions de gaz à effet de serre en utilisant comme base de départ (son) plan +20 en 10+ ».
    -20% en dix ans
    Ce plan, annoncé par George W.Bush en janvier, vise à diminuer la consommation de carburant de 20% en 10 ans. Il prévoit d’imposer de nouvelles normes de consommation de carburant aux automobiles particulières et de renforcer encore celles des 4X4.
    Il imposerait aussi la production de l’équivalent de 35 milliards de gallons de carburants alternatifs et renouvelables d’ici à 2017. « Mises ensemble, ces réformes économiseraient des milliards de gallons de carburant et réduiraient nos émissions nettes de gaz à effet de serre sans compromettre la sécurité de nos emplois », a-t-il dit.
    Pressions nombreuses
    George W.Bush est soumis à différentes pressions: celle du prix de l’essence aux Etats-Unis, les implications de l’approvisionnement américain dans des régions sensibles comme le Golfe, mais aussi la volonté des alliés des Etats-Unis qui les poussent à agir face au réchauffement climatique.
    George W. Bush a indiqué avoir signé le jour même un décret ordonnant à toutes les agences du gouvernement de coopérer à son plan, en consultant le public et en prenant en compte les technologies et les exigences de sécurité, mais aussi les répercussions financières de la nouvelle réglementation.
    « Dépendance pathologique »
    Il a redit que ce qu’il appelle la « dépendance pathologique » des Etats-Unis au pétrole représentait un risque pour son économie mais aussi pour la sécurité du pays, « vulnérable face à des régimes hostiles et aux terroristes qui pourraient attaquer les infrastructures pétrolières ». Il a aussi évoqué le tort causé à l’environnement.
    Mais George W. Bush a aussi déclaré être poussé par la récente décision de la Cour suprême selon laquelle l’Agence pour la protection de l’environnement était tenue d’agir contre les émissions de gaz à effet de serre des véhicules.

  2. Désolé, je ne sais pas ou placer cette blague.
    Je la trouve superbe.
    Elections françaises
    >
    > Jean-Marie, Ségolène et le petit Nicolas sont aux portes du Paradis.
    > Et Dieu les interroge: « Que croyez-vous? »
    >
    > Je crois, dit Jean-Marie, que la France sera sauvée!
    > Bien, dit le Tout Puissant, assieds-toi à Ma Droite, Jean-Marie!
    >
    > Et toi, Ségolène, que crois-tu?
    > Moi, je crois tout ce que Vous voulez, du moment que Vous votez pour
    > moi!
    > Viens, Ségolène, assieds-toi à Ma Gauche!
    >
    > Et toi, Mon petit Nicolas, que crois-tu?
    > Excusez-moi, mais je crois que vous êtes assis à ma place!
    >

  3. Génial !!!!
    d’autant plus que certains journaux (etrangers, je crois)estiment que dorenavant, comme il a « eu » la France , il devrait « logiquement » s’interesser à être le roi du monde

  4. Forte remontée du prix du pétrole aujourd’hui : 70$ à le baril de Brent à Londres et 65$ à New York.
    http://www.boursorama.com/cours.phtml?symbole=CLJN07
    Le pétrole monte fortement, inquiétude sur les réserves US d’essence
    LONDRES – Les cours du pétrole ont fortement grimpé jeudi à Londres et New York, le marché s’inquiétant des réserves américaines d’essence et des capacités de production des raffineries aux Etats-Unis au moment d’aborder la haute saison de consommation de carburant.
    Vers 16H00 GMT (18H00 à Paris) sur l’IntercontinentalExchange (ICE) de Londres, le cours du Brent de la mer du Nord pour l’échéance de juillet (premier jour de ce contrat) gagnait 1,25 dollar à 69,22 dollars.
    Il a grimpé jusqu’à 69,44 dollars, un plus haut depuis un mois.
    Le baril de « light sweet crude » pour l’échéance de juin prenait pour sa part 1,10 dollar à 63,65 dollars à New York.
    Les échanges étaient par ailleurs assez limités pour cause de jour férié (Ascension) dans plusieurs pays d’Europe.
    Suite à l’annonce d’une progression plus importante que prévu des réserves de pétrole aux Etats-Unis la semaine dernière, les cours avaient terminé en baisse mercredi.
    « Si l’on a une vue à plus long terme, le rapport (sur les stocks) ne peut suffire à rassurer le marché sur l’approvisionnement », a déclaré Mike Fitzpatrick, analyste chez Man Financial, pour expliquer le renversement de tendance survenu jeudi.
    Selon lui, « les facteurs de hausse persistent », notamment les attaques récurrentes que connaît le Nigeria, premier producteur de brut africain, qui affectent la production du pays, ou encore les incidents à répétition subis par les raffineries américaines depuis plusieurs mois.
    Dans ce domaine, les dernières informations font état de réductions de production dans les installations de Conoco Phillips au Texas et en Oklahoma, pour des raisons de maintenance.
    BP pourrait également retarder d’une semaine le redémarrage d’une unité de production d’une capacité de 52.000 barils par jour de sa raffinerie de Toledo, dans l’Ohio, selon les analystes de la banque Barclays Capital, qui ajoutent que Valero devrait interrompre la semaine prochaine et pour une semaine la production de 64.000 barils par jour dans sa raffinerie de Houston.
    « La tendance baissière du rapport sur les stocks est modérée par une hausse moins importante que prévue du taux d’utilisation des raffineries, qui reste sous les 90% et qui est donc toujours une source d’inquiétude au moment où l’on approche du pic de la demande », notent à ce sujet Michael Davies et Andrey Kryuchenkov, analystes chez Sucden. La haute saison de consommation d’essence débute fin mai aux Etats-Unis.
    Les raffineries américaines tournaient à 89,5% de leurs capacités la semaine dernière, soit 0,5 point de pourcentage de plus que la précédente, mais moins que les attentes de 89,8%.
    « Le brut est tiré par l’essence », a renchéri Mike Wittner, analyste chez Calyon.
    Les investisseurs ont également noté que les violences se poursuivaient au Nigeria, perturbant toujours la production alors que le marché s’attendait à ce qu’elle reparte après l’élection présidentielle du mois dernier.
    Le dernier incident en date s’est terminé mercredi après-midi avec le départ de manifestants qui occupaient une installation de la compagnie pétrolière anglo-néerlandaise Royal Dutch Shell, qui avait dû interrompre temporairement la livraison de 170.000 barils par jour.
    La production du Nigeria, sixième producteur mondial et premier en Afrique, reste amputée de quelque 25%.
    http://www.romandie.com/infos/news/070517161719.giyc78n4.asp

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