Thierry Gaubert, 55 ans, titulaire d’une maîtrise de sciences économiques, a également poursuivi des études au sein de la Société française d’analystes financiers. Après avoir exercé des responsabilités dans le monde des entreprises et au sein de cabinets ministériels, il rejoint le Groupe Crédit Foncier en 1995 (qui sera privatisée en 1999 et deviendra une filiale du Groupe Caisse d’Epargne) comme vice-président de Foncier-Habitat. En 1998, il devient directeur du développement puis vice-président du groupe Perexia.
Depuis 2001, Thierry Gaubert est directeur de cabinet de Charles Milhaud, président du directoire de la Caisse Nationale des Caisses d
Thierry Gaubert avait connu Sarkozy vingt ans plus tôt, en 1979, lorsque ce dernier n
Ouh là là là, ca se corse , il faut que l’info passe car les médias sont bien muselés
merci à vous
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Une information judiciaire a été ouverte en janvier 2003 pour abus de biens sociaux, complicité et recel, ainsi que pour publication de fausses informations. Huit dirigeants, dont les deux membres fondateurs d’Altran, Alexis Kniazeff et Hubert Martigny, l’ex-directeur général Frédéric Bonan et l’ex-directeur financier Alain Rougagnou ont été mis en examen pour l’un de ces délits. Alexis Kniazeff était le seul membre de la direction à ne pas avoir encore démissionné.
En marge de l’enquête sur la falsification des comptes (qui aurait conduit à 70 millions d’euros de fausses factures), des réquisitions supplétives visant des faits de délit d’initié ont été présentées par le parquet. Alexis Kniazeff et Hubert Martigny sont soupçonnés d’avoir, pour leur compte personnel, réalisé des opérations financières sur l’action Altran en 2002. Les deux hommes auraient ainsi vendu simultanément 510 000 actions Altran en février 2002 pour un montant de 27,7 millions d’euros avant l’effondrement du titre en bourse. Ils en auraient transféré le produit sur plusieurs comptes dont celui d’UBS (Union des banques suisses).
Dans l’entretien accordé à la Tribune, le P-DG du groupe récuse cette accusation et précise que les autorités du marché avaient autorisé ces ventes et qu’elles s’inscrivaient dans « un programme de désengagement des deux fondateurs qui se renouvelait à l’identique tous les ans ». Pour lui, il ne s’agit donc pas d’un délit d’initié. Il précise également, que « les virements de compte à compte ont été faits sur les conseils d’UBS. D’ailleurs, j’ai été contrôlé par le fisc et je n’ai pas été redressé ».
Récapitulatif des principaux événements dans l’affaire Altran
24-09-2004 Les dirigeants d’Altran ne sont plus soutenus par leur banque suisse UBS qui fait état de soupçons à l’égard de certains mouvements de comptes.
22-09-2004 Démission de Hubert Martigny (administrateur), Michel Friedlander (directeur général) et Jean-Michel Martin (directeur général adjoint). Kniazeff reste à la tête du groupe.
21-07-2004 Mise en examen d’Alexis Kniazeff et d’Hubert Martigny.
09-07-2004 Frédéric Bonan, ancien DG d’Altran qui a démissionné en avril 2003, est mis en examen.
22-06-2004 Premières mises en examen d’Herbert Massenet, l’ex contrôleur de gestion, et d’Alain Rougagnou, ex-directeur financier.
11-03-2003 Altran porte plainte contre trois anciens dirigeants
30-01-2003 Ouverture de l’information judiciaire. http://solutions.journaldunet.com/0410/041004_altran.shtml
Altran : des fausses factures, évidemment
Selon la justice, Kniazeff et Martigny, dirigeants de l’ombre, savaient tout des manipulations de comptes.
Forcément, ils savaient. La conclusion des experts judiciaires est accablante. Malgré leurs dénégations, les fondateurs d’Altran, Alexis Kniazeff (ex-PDG) et Hubert Martigny (ex-DG), étaient au courant des fraudes commises au sein de leur entreprise. A savoir la rédaction de fausses factures pour 100 millions d’euros en 2001 et 2002. Dans leur rapport, finalisé le 16 janvier et révélé hier par la Tribune, Michel Bruyas et Gérard Harmand, les experts missionnés par le juge d’instruction Philippe Courroye pour décrire le système de fraude en place dans le groupe de conseil en technologies, écrivent ainsi : «Les constats [effectués] ne permettent pas de croire que messieurs Alexis Kniazeff et Hubert Martigny aient pu être les seuls à ignorer les dysfonctionnements et anomalies émaillant les comptes, alors que plus d’une centaine de personnes connaissaient l’existence de l’incorporation de chiffres d’affaires fictifs dans la comptabilité.»
Nouveauté. Les conclusions de ce rapport, que nous avons pu consulter, décrivent Altran (1,3 milliard d’euros de chiffres d’affaires en 2002) comme une entreprise tournée vers la réalisation de fausses factures. Un constat déjà effectué par Courroye au début de son instruction, en 2004. Sous les ordres de Frédéric Bonan, ex-directeur général délégué, plus d’une centaine de cadres avaient été mis à contribution pour gonfler le chiffre d’affaires du groupe affecté par le ralentissement économique.
La nouveauté du rapport, c’est la description du sommet d’Altran entre 2000 et 2002. Un exercice assez compliqué d’ailleurs : les experts n’ont retrouvé aucun organigramme, sans doute parce que des «destructions massives d’archives sociales» ont été ordonnées. Le résultat de leur travail dessine un Altran à deux visages. Officiellement, Kniazeff et Martigny avaient confié la conduite des affaires à deux directeurs délégués, Michel Friedlander et Frédéric Bonan, mais dans les faits, ils étaient toujours à la manoeuvre. Et les experts d’égrener : «Ils avaient conservé l’intégralité de leurs mandats» ; ils «étaient présents au comité de direction», qui se réunissait toutes les semaines ; ils recevaient régulièrement le «flash Hebdo et l’Altran Business Trend», deux documents de gestion. Pis, ils ont eu de multiples occasions de s’inquiéter : les documents remis faisaient «apparaître des incohérences, des discordances, des anomalies» qui ne pouvaient «manquer d’attirer leur attention», des articles de presse faisaient état de «doutes des analystes sur la pertinence des communiqués d’Altran dès 2001». Et ils ont reçu des lettres des commissaires aux comptes les alertant sur l’ «insuffisance de la qualité des comptes» … Conséquence, Kniazeff et Martigny étaient forcément au courant des irrégularités. http://www.liberation.fr/actualite/economie/232525.FR.php
15-12-2006
Le dernier « grand » fabricant de pianos français ferme son site d’Alès, victime de la concurrence chinoise.
L’ACTIONNAIRE des pianos Pleyel, Hubert Martigny (Salle Pleyel, Altran Technologies), a présenté hier aux délégués du personnel son projet de fermeture de la manufacture d’Alès qui depuis trente ans fabrique des pianos droits (520 en 2006) et quelques pianos à queue ou d’exception. Sur les 65 personnes employées par le site, seulement 19 postes de travail pourraient être sauvegardés pour rejoindre un atelier de fabrication de pianos d’exception à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) dans l’un des entrepôts de la marque créée voici deux cents ans par Ignaz Pleyel, élève de Haydn, et développée avec son fils Camille. « Nous sommes aujourd’hui confrontés à la concurrence chinoise et japonaise qui occupe 80 % du marché du piano droit. Nous ne pouvons plus lutter. Un piano chinois sorti d’usine coûte 500 euros. C’est à peine le prix du meuble en France. Le piano assemblé à Alès revient à 5 000 euros. Cette distorsion vient essentiellement de la différence des coûts salariaux, puisque sa fabrication reste une industrie de main-d’oeuvre et d’assemblage », explique Arnaud Marion.
Un stock impressionnant
Ce gestionnaire de crise a été délégué par l’actionnaire lassé de perdre beaucoup d’argent pour maintenir un produit largement concurrencé au niveau du prix et sans perspective crédible de retournement de tendance financière, y compris à long terme. Le salaire moyen d’un salarié à Alès atteint les 1 700 euros brut quand le même ouvrier chinois coûte moins de 100 euros. Pour maintenir la dernière fabrique française de pianos droits, après la débâcle des autres marques (Gaveau, Rameau…), Hubert Martigny dit avoir investi 16,5 millions d’euros depuis l’an 2000, essentiellement pour combler les pertes abyssales. Sur les seize mois de l’exercice exceptionnel de 2006, le déficit d’exploitation atteindrait les 2,8 millions d’euros pour un chiffre d’affaires de 5 millions avec un stock impressionnant de 345 pianos finis et prêts à être livrés.
« La nouvelle de la fermeture du site nous a abasourdis. Nous ne nous attendions pas à une mesure aussi radicale. Nous redoutions une restructuration comme en 2002 qui avait occasionné le départ de 29 personnes. Nous comprenons l’actionnaire, mais nous l’avions alerté voici déjà plusieurs années sur la situation de l’entreprise », explique de son côté Favel Lamrani, le secrétaire CGT du comité d’entreprise.
En riposte à l’annonce patronale, la CGT a présenté un plan alternatif qui promet la fabrication sur le site de 1 000 pianos. « Ce qu’il faut, c’est le recrutement d’une force de vente pour pouvoir accompagner la commercialisation de nos produits et la prospection pour placer des produits d’entrée de gamme », estime Favel Lamrani. « Leur proposition n’a été ni chiffrée ni financée », répond Arnaud Marion qui prévoit un arrêt définitif de la production en février ou mars prochain. http://www.lefigaro.fr/eco/20061215.FIG000000112_le_declin_de_pleyel_sonne_le_glas_du_piano_francais.html
D’après Le Canard Enchaîné, le candidat UMP se serait engagé, en cas d’élection, à limiter à dix ans la durée maximale d’une instruction judiciaire, en échange du soutien de Jacques Chirac à sa candidature.
Le Canard Enchaîné révèle, dans son édition du mercredi 11 avril, un accord que Nicolas Sarkozy et Jacques Chirac auraient passé il y a quelques semaines, qui devrait permettre au président sortant d’éviter toute poursuite judiciaire. D’après l’hebdomadaire satirique, le candidat de l’UMP s’y est officiellement engagé, s’il est élu à la présidence de la République, en échange du soutien de Jacques Chirac à sa candidature.
Concrètement, le nouveau projet de loi sur la lutte contre la délinquance, promis par Nicolas Sarkozy pour juillet s’il est élu, comportera un article qui imposera aux juges de clore leurs dossiers au plus tard une dizaine d’années après les faits, pour les simples délits. Le Canard Enchaîné cite un proche de Jacques Chirac, sous couvert d’anonymat: « Les dossiers trop anciens, encore à l’instruction, seront purement et simplement annulés. Le tout, au nom d’une bonne administration de la Justice
ne pas oublier l’affaire Stern qui pourrait être une vraie bombe , parait-il
et affaire Rhodia
je comprends mieux maintenant les « recents appuis » de Bernadette ….
« Bienvenue à « Sarkoland »
S’il est un lieu qui porte bien son surnom, c’est le siège de la Caisse nationale des caisses d’épargne (CNCE), rebaptisé « Sarkoland » dans le réseau de l’Ecureuil. Bon nombre de postes y sont tenus par des anciens collaborateurs directs du président de l’UMP ou des personnes de son entourage » … ca ressemble quand même bigrement à méthode Poutine, oligarques et ex KGB …
pour rappel, Poutine defend ouvertement Sarko.
Moscou défend le candidat Sarkozy… et ses intérêts
Les pantouflards UMP de l
UFC-Que choisir accuse les banques d’avoir détourné 11,5 milliards d’euros depuis dix ans, au détriment des titulaires de prêts immobiliers.
Au terme d’une enquête commencée il y a six mois, sur la base de révélations du Canard enchaîné, l’association de consommateurs affirme, par la voix de son président, Alain Bazot, avoir mis la main sur « une grave affaire de spoliation et de violation de la loi ». Huit millions de ménages seraient concernés. M. Bazot a écrit, le 22 mai, au nouveau ministre de l’économie, des finances et de l’emploi, Jean-Louis Borloo, pour obtenir réparation du préjudice supposé.
Ces détournements de fonds présumés auraient été opérés sur les contrats d’assurance couvrant le décès, l’incapacité et l’invalidité, exigés par les banques pour tout prêt immobilier et souscrits, pour le compte des clients, auprès d’un assureur. Les primes versées étant supérieures aux sinistres, ces contrats sont bénéficiaires.
Mais alors que la loi (le code des assurances) oblige à reverser aux assurés les bénéfices réalisés sur ces contrats collectifs, en cas de trop-perçu, les banques auraient conservé dans leurs comptes les sommes reversées par leurs compagnies d’assurance. Les assureurs auraient joué le jeu, pas les banques. L’UFC-Que choisir a calculé que, pour un emprunt immobilier de 48 000 euros sur 20 ans, couvert par une assurance à 0,409 %, les bénéfices à restituer à l’assuré approchent 1 800 euros.
LA JUSTICE SAISIE
« C’est du détournement de fonds, les banques captent des sommes dont elles ne sont pas destinataires, accuse M. Bazot, la loi est formelle : si les primes sont trop élevées par rapport aux risques, les assurés perçoivent des bénéfices. » M. Bazot attend une intervention rapide de M. Borloo.
« Il y a un problème de régulation du secteur, estime-t-il. Comment des sommes aussi considérables ont-elles pu ne pas être identifiées par la tutelle des banques et le ministère de l’économie ? » Et de revenir sur l’opacité des banques, qui, depuis 2002, « sans doute averties de l’illégalité de leurs pratiques », juge-t-il, ont changé l’appellation comptable de ces bénéfices, requalifiés en « commissions ».
En marge de cette interpellation politique, l’UFC-Que choisir saisit la justice. L’association vient ainsi de porter plainte, aux côtés d’un consommateur, contre la CNP et les Caisses d’épargne, devant le tribunal de grande instance de Paris, pour « violation du principe légal de la participation des assurés aux bénéfices ». Une démarche isolée, en raison de l’impossibilité de lancer des actions de groupe en France, mais visant à obtenir une décision de principe.
Enfin, l’UFC-Que choisir incite les consommateurs à « exiger de leur banque le reversement des sommes dues au titre de leur assurance emprunteur ».
Les banques attendaient la conférence de presse de l’UFC-Que choisir, mardi en fin de matinée, avant de réagir. Mais déjà, plusieurs d’entre elles invoquaient un arrêté du 23 avril 2007 excluant, selon elles, l’assurance emprunteur du régime de la participation aux bénéfices, pour justifier leurs rémunérations. D’autres contestaient l’interprétation même de la loi par l’UFC-Que choisir, arguant que les contrats étant souscrits pour leurs clients mais en leur nom auprès des assureurs, les bénéfices leur reviennent en tant qu’assurées. http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3234,36-913317,0.html
Mardi 08 Mai 2007
Un palace appartenant à un «ami»
Nicolas et Cécilia Sarkozy passant leur nuit de dimanche à lundi au Fouquet’s, l’image a pu choquer ceux qui avaient retenu du candidat son ode à la France qui se lève tôt. Mais le nouveau couple présidentiel était en terrain ami.
Le patron du palace et PDG du groupe Lucien Barrière, Dominique Desseigne, a connu Sarkozy à Neuilly en 1981 par des amis communs et est un habitué des footings à La Baule de l’ex-candidat.
Sa femme, Diane Barrière, morte en 2001 des suites d’un accident d’avion, était une amie d’enfance de Cécilia, avec qui elle jouait sur les plages de Deauville.
Le premier mari de Diane Barrière était Thierry Gaubert, un proche de Sarkozy. Desseigne dit avoir eu besoin du soutien de Sarkozy quand il a pris la tête du groupe Barrière, après l’accident de sa femme. «Il est là pour les amis, même quand ça va mal», témoignait-il dans un ouvrage .
Sources Libération
NANTERRE, 25 mai 2007 (AFP) –
Le maire UMP de Sannois et son épouse mis en examen pour abus de faiblesse
Le maire UMP de Sannois (Val-d’Oise), Yanick Paternotte, et son épouse, ont été mis en examen jeudi à Nanterre pour « abus de faiblesse », dans une enquête concernant une donation faite par une personne âgée au maire, a-t-on appris vendredi de source judiciaire.
Comme le révèle vendredi le Parisien, M. Paternotte avait été placé en garde à vue mardi à la brigade financière de la direction régionale de police judiciaire (DRPJ) de Versailles, sur commission rogatoire d’un juge d’instruction de Nanterre, Régine Capra.
A l’issue de la garde à vue, il a été déféré jeudi devant le parquet de Nanterre, ainsi que trois autres suspects, dont son épouse, le notaire chargé des formalités de la donation, et une autre personne dont l’identité n’a pas été précisée.
Tous quatre ont été mis en examen, selon une source judiciaire: le notaire pour « complicité d’abus de faiblesse », M. Paternotte, son épouse et la quatrième personne pour « abus de faiblesse ».
Ils ont été placés sous contrôle judiciaire. L’enquête avait commencé en 2005, après une plainte auprès du parquet de Pontoise portant sur les conditions de la donation.
« Il s’agit d’une donation immobilière, portant sur une partie d’une maison à Sannois », une ville de 25.000 habitants proche d’Argenteuil, a indiqué une source judiciaire.
Selon la même source, Yanick Paternotte, intéressé par l’acquisition du bâtiment, avait fait plusieurs propositions à la propriétaire, une dame âgée, qui avait fini par faire une donation d’une part de la maison au maire, dans des conditions ayant déclenché la plainte, puis l’enquête.
Dans un communiqué, M. Paternotte, vice-président du conseil général du Val d’Oise et candidat UMP aux législatives dans la 9e circonscription, a expliqué vendredi: « Voici quelques années, une amie sannoisienne (…) a souhaité me faire une donation à titre privé. J’ai accepté cette donation par amitié et non par besoin, car j’ai toujours honorablement gagné ma vie ». « Aujourd’hui une personne se présentant comme ayant-droit indirect conteste cette donation. J’attends avec sérénité la décision de la justice », a ajouté M. Paternotte.
Le maire ayant « des relations institutionnelles » avec le parquet de Pontoise, ce dernier avait décidé en 2006 le « dépaysement » de l’affaire à Nanterre, « pour une bonne administration de la justice », a précisé une source judiciaire.
Cela fait depuis les années 1990, queMonsieur Paternotte pratique de cette façon. Il se croit au dessus des lois, il se sert de banquier sur sannois
Cela fait depuis les années 1990, queMonsieur Paternotte pratique de cette façon. Il se croit au dessus des lois, il se sert de banquier sur sannois
tous des pourris et magouilleurs
Paternotte est un franc maçon, il se croit au dessus des lois. Il est méprisant avec les gens et coureurs de femme
Il y en a marre de ce PATERNOTTE, il était chez les verts puis après à l’UDF puis chez LEOTARD, puis à l’UMP il va ou le vent tourne
Je comprends mieux pourquoi Thierry gaubert est très « recherché » sur Google actuellement …
————-
L’ancien président d’un collecteur du 1 % logement mis en examen
LE MONDE | 11.02.08 | 14h20
merci, je pense en faire un article car c’est important
voire très important, Carlyle est oin d’être tout blanc, et c’est tout de même l’aliance Bush / ben laden, quoiqu’on en dise
Carlyle a 5 % de France Telecom
super , merci.
A lire
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Sarkozy aurait-il le gène de l’irresponsabilité ?
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36-892092@51-823374,0.html
Thierry Gaubert, 55 ans, titulaire d’une maîtrise de sciences économiques, a également poursuivi des études au sein de la Société française d’analystes financiers. Après avoir exercé des responsabilités dans le monde des entreprises et au sein de cabinets ministériels, il rejoint le Groupe Crédit Foncier en 1995 (qui sera privatisée en 1999 et deviendra une filiale du Groupe Caisse d’Epargne) comme vice-président de Foncier-Habitat. En 1998, il devient directeur du développement puis vice-président du groupe Perexia.
Depuis 2001, Thierry Gaubert est directeur de cabinet de Charles Milhaud, président du directoire de la Caisse Nationale des Caisses d
Thierry Gaubert avait connu Sarkozy vingt ans plus tôt, en 1979, lorsque ce dernier n
Voir aussi l’affaire de la Salle Pleyel achetée en 1998 9 millions d’euros par Hubert Martigny qui engagera en 2003 Christian Ciganer (frère de Cécilia Sarkozy) comme ingéneur financier pour la revendre 90 millions d’euros à l’Etat en 2004 alors que Nicolas Sarkozy était ministre de l’économie.
http://tempsreel.nouvelobs.com/speciales/politique/elysee_2007/20070330.OBS9822/questions_sur_le_roledun_beaufrere_de_sarkozy.html
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36-889874,0.html
Ouh là là là, ca se corse , il faut que l’info passe car les médias sont bien muselés
merci à vous
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Une information judiciaire a été ouverte en janvier 2003 pour abus de biens sociaux, complicité et recel, ainsi que pour publication de fausses informations. Huit dirigeants, dont les deux membres fondateurs d’Altran, Alexis Kniazeff et Hubert Martigny, l’ex-directeur général Frédéric Bonan et l’ex-directeur financier Alain Rougagnou ont été mis en examen pour l’un de ces délits. Alexis Kniazeff était le seul membre de la direction à ne pas avoir encore démissionné.
En marge de l’enquête sur la falsification des comptes (qui aurait conduit à 70 millions d’euros de fausses factures), des réquisitions supplétives visant des faits de délit d’initié ont été présentées par le parquet. Alexis Kniazeff et Hubert Martigny sont soupçonnés d’avoir, pour leur compte personnel, réalisé des opérations financières sur l’action Altran en 2002. Les deux hommes auraient ainsi vendu simultanément 510 000 actions Altran en février 2002 pour un montant de 27,7 millions d’euros avant l’effondrement du titre en bourse. Ils en auraient transféré le produit sur plusieurs comptes dont celui d’UBS (Union des banques suisses).
Dans l’entretien accordé à la Tribune, le P-DG du groupe récuse cette accusation et précise que les autorités du marché avaient autorisé ces ventes et qu’elles s’inscrivaient dans « un programme de désengagement des deux fondateurs qui se renouvelait à l’identique tous les ans ». Pour lui, il ne s’agit donc pas d’un délit d’initié. Il précise également, que « les virements de compte à compte ont été faits sur les conseils d’UBS. D’ailleurs, j’ai été contrôlé par le fisc et je n’ai pas été redressé ».
Récapitulatif des principaux événements dans l’affaire Altran
24-09-2004 Les dirigeants d’Altran ne sont plus soutenus par leur banque suisse UBS qui fait état de soupçons à l’égard de certains mouvements de comptes.
22-09-2004 Démission de Hubert Martigny (administrateur), Michel Friedlander (directeur général) et Jean-Michel Martin (directeur général adjoint). Kniazeff reste à la tête du groupe.
21-07-2004 Mise en examen d’Alexis Kniazeff et d’Hubert Martigny.
09-07-2004 Frédéric Bonan, ancien DG d’Altran qui a démissionné en avril 2003, est mis en examen.
22-06-2004 Premières mises en examen d’Herbert Massenet, l’ex contrôleur de gestion, et d’Alain Rougagnou, ex-directeur financier.
11-03-2003 Altran porte plainte contre trois anciens dirigeants
30-01-2003 Ouverture de l’information judiciaire.
http://solutions.journaldunet.com/0410/041004_altran.shtml
Altran : des fausses factures, évidemment
Selon la justice, Kniazeff et Martigny, dirigeants de l’ombre, savaient tout des manipulations de comptes.
Forcément, ils savaient. La conclusion des experts judiciaires est accablante. Malgré leurs dénégations, les fondateurs d’Altran, Alexis Kniazeff (ex-PDG) et Hubert Martigny (ex-DG), étaient au courant des fraudes commises au sein de leur entreprise. A savoir la rédaction de fausses factures pour 100 millions d’euros en 2001 et 2002. Dans leur rapport, finalisé le 16 janvier et révélé hier par la Tribune, Michel Bruyas et Gérard Harmand, les experts missionnés par le juge d’instruction Philippe Courroye pour décrire le système de fraude en place dans le groupe de conseil en technologies, écrivent ainsi : «Les constats [effectués] ne permettent pas de croire que messieurs Alexis Kniazeff et Hubert Martigny aient pu être les seuls à ignorer les dysfonctionnements et anomalies émaillant les comptes, alors que plus d’une centaine de personnes connaissaient l’existence de l’incorporation de chiffres d’affaires fictifs dans la comptabilité.»
Nouveauté. Les conclusions de ce rapport, que nous avons pu consulter, décrivent Altran (1,3 milliard d’euros de chiffres d’affaires en 2002) comme une entreprise tournée vers la réalisation de fausses factures. Un constat déjà effectué par Courroye au début de son instruction, en 2004. Sous les ordres de Frédéric Bonan, ex-directeur général délégué, plus d’une centaine de cadres avaient été mis à contribution pour gonfler le chiffre d’affaires du groupe affecté par le ralentissement économique.
La nouveauté du rapport, c’est la description du sommet d’Altran entre 2000 et 2002. Un exercice assez compliqué d’ailleurs : les experts n’ont retrouvé aucun organigramme, sans doute parce que des «destructions massives d’archives sociales» ont été ordonnées. Le résultat de leur travail dessine un Altran à deux visages. Officiellement, Kniazeff et Martigny avaient confié la conduite des affaires à deux directeurs délégués, Michel Friedlander et Frédéric Bonan, mais dans les faits, ils étaient toujours à la manoeuvre. Et les experts d’égrener : «Ils avaient conservé l’intégralité de leurs mandats» ; ils «étaient présents au comité de direction», qui se réunissait toutes les semaines ; ils recevaient régulièrement le «flash Hebdo et l’Altran Business Trend», deux documents de gestion. Pis, ils ont eu de multiples occasions de s’inquiéter : les documents remis faisaient «apparaître des incohérences, des discordances, des anomalies» qui ne pouvaient «manquer d’attirer leur attention», des articles de presse faisaient état de «doutes des analystes sur la pertinence des communiqués d’Altran dès 2001». Et ils ont reçu des lettres des commissaires aux comptes les alertant sur l’ «insuffisance de la qualité des comptes» … Conséquence, Kniazeff et Martigny étaient forcément au courant des irrégularités.
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15-12-2006
Le dernier « grand » fabricant de pianos français ferme son site d’Alès, victime de la concurrence chinoise.
L’ACTIONNAIRE des pianos Pleyel, Hubert Martigny (Salle Pleyel, Altran Technologies), a présenté hier aux délégués du personnel son projet de fermeture de la manufacture d’Alès qui depuis trente ans fabrique des pianos droits (520 en 2006) et quelques pianos à queue ou d’exception. Sur les 65 personnes employées par le site, seulement 19 postes de travail pourraient être sauvegardés pour rejoindre un atelier de fabrication de pianos d’exception à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) dans l’un des entrepôts de la marque créée voici deux cents ans par Ignaz Pleyel, élève de Haydn, et développée avec son fils Camille. « Nous sommes aujourd’hui confrontés à la concurrence chinoise et japonaise qui occupe 80 % du marché du piano droit. Nous ne pouvons plus lutter. Un piano chinois sorti d’usine coûte 500 euros. C’est à peine le prix du meuble en France. Le piano assemblé à Alès revient à 5 000 euros. Cette distorsion vient essentiellement de la différence des coûts salariaux, puisque sa fabrication reste une industrie de main-d’oeuvre et d’assemblage », explique Arnaud Marion.
Un stock impressionnant
Ce gestionnaire de crise a été délégué par l’actionnaire lassé de perdre beaucoup d’argent pour maintenir un produit largement concurrencé au niveau du prix et sans perspective crédible de retournement de tendance financière, y compris à long terme. Le salaire moyen d’un salarié à Alès atteint les 1 700 euros brut quand le même ouvrier chinois coûte moins de 100 euros. Pour maintenir la dernière fabrique française de pianos droits, après la débâcle des autres marques (Gaveau, Rameau…), Hubert Martigny dit avoir investi 16,5 millions d’euros depuis l’an 2000, essentiellement pour combler les pertes abyssales. Sur les seize mois de l’exercice exceptionnel de 2006, le déficit d’exploitation atteindrait les 2,8 millions d’euros pour un chiffre d’affaires de 5 millions avec un stock impressionnant de 345 pianos finis et prêts à être livrés.
« La nouvelle de la fermeture du site nous a abasourdis. Nous ne nous attendions pas à une mesure aussi radicale. Nous redoutions une restructuration comme en 2002 qui avait occasionné le départ de 29 personnes. Nous comprenons l’actionnaire, mais nous l’avions alerté voici déjà plusieurs années sur la situation de l’entreprise », explique de son côté Favel Lamrani, le secrétaire CGT du comité d’entreprise.
En riposte à l’annonce patronale, la CGT a présenté un plan alternatif qui promet la fabrication sur le site de 1 000 pianos. « Ce qu’il faut, c’est le recrutement d’une force de vente pour pouvoir accompagner la commercialisation de nos produits et la prospection pour placer des produits d’entrée de gamme », estime Favel Lamrani. « Leur proposition n’a été ni chiffrée ni financée », répond Arnaud Marion qui prévoit un arrêt définitif de la production en février ou mars prochain.
http://www.lefigaro.fr/eco/20061215.FIG000000112_le_declin_de_pleyel_sonne_le_glas_du_piano_francais.html
D’après Le Canard Enchaîné, le candidat UMP se serait engagé, en cas d’élection, à limiter à dix ans la durée maximale d’une instruction judiciaire, en échange du soutien de Jacques Chirac à sa candidature.
Le Canard Enchaîné révèle, dans son édition du mercredi 11 avril, un accord que Nicolas Sarkozy et Jacques Chirac auraient passé il y a quelques semaines, qui devrait permettre au président sortant d’éviter toute poursuite judiciaire. D’après l’hebdomadaire satirique, le candidat de l’UMP s’y est officiellement engagé, s’il est élu à la présidence de la République, en échange du soutien de Jacques Chirac à sa candidature.
Concrètement, le nouveau projet de loi sur la lutte contre la délinquance, promis par Nicolas Sarkozy pour juillet s’il est élu, comportera un article qui imposera aux juges de clore leurs dossiers au plus tard une dizaine d’années après les faits, pour les simples délits. Le Canard Enchaîné cite un proche de Jacques Chirac, sous couvert d’anonymat: « Les dossiers trop anciens, encore à l’instruction, seront purement et simplement annulés. Le tout, au nom d’une bonne administration de la Justice
ne pas oublier l’affaire Stern qui pourrait être une vraie bombe , parait-il
et affaire Rhodia
je comprends mieux maintenant les « recents appuis » de Bernadette ….
« Bienvenue à « Sarkoland »
S’il est un lieu qui porte bien son surnom, c’est le siège de la Caisse nationale des caisses d’épargne (CNCE), rebaptisé « Sarkoland » dans le réseau de l’Ecureuil. Bon nombre de postes y sont tenus par des anciens collaborateurs directs du président de l’UMP ou des personnes de son entourage » … ca ressemble quand même bigrement à méthode Poutine, oligarques et ex KGB …
pour rappel, Poutine defend ouvertement Sarko.
Moscou défend le candidat Sarkozy… et ses intérêts
Les pantouflards UMP de l
UFC-Que choisir accuse les banques d’avoir détourné 11,5 milliards d’euros depuis dix ans, au détriment des titulaires de prêts immobiliers.
Au terme d’une enquête commencée il y a six mois, sur la base de révélations du Canard enchaîné, l’association de consommateurs affirme, par la voix de son président, Alain Bazot, avoir mis la main sur « une grave affaire de spoliation et de violation de la loi ». Huit millions de ménages seraient concernés. M. Bazot a écrit, le 22 mai, au nouveau ministre de l’économie, des finances et de l’emploi, Jean-Louis Borloo, pour obtenir réparation du préjudice supposé.
Ces détournements de fonds présumés auraient été opérés sur les contrats d’assurance couvrant le décès, l’incapacité et l’invalidité, exigés par les banques pour tout prêt immobilier et souscrits, pour le compte des clients, auprès d’un assureur. Les primes versées étant supérieures aux sinistres, ces contrats sont bénéficiaires.
Mais alors que la loi (le code des assurances) oblige à reverser aux assurés les bénéfices réalisés sur ces contrats collectifs, en cas de trop-perçu, les banques auraient conservé dans leurs comptes les sommes reversées par leurs compagnies d’assurance. Les assureurs auraient joué le jeu, pas les banques. L’UFC-Que choisir a calculé que, pour un emprunt immobilier de 48 000 euros sur 20 ans, couvert par une assurance à 0,409 %, les bénéfices à restituer à l’assuré approchent 1 800 euros.
LA JUSTICE SAISIE
« C’est du détournement de fonds, les banques captent des sommes dont elles ne sont pas destinataires, accuse M. Bazot, la loi est formelle : si les primes sont trop élevées par rapport aux risques, les assurés perçoivent des bénéfices. » M. Bazot attend une intervention rapide de M. Borloo.
« Il y a un problème de régulation du secteur, estime-t-il. Comment des sommes aussi considérables ont-elles pu ne pas être identifiées par la tutelle des banques et le ministère de l’économie ? » Et de revenir sur l’opacité des banques, qui, depuis 2002, « sans doute averties de l’illégalité de leurs pratiques », juge-t-il, ont changé l’appellation comptable de ces bénéfices, requalifiés en « commissions ».
En marge de cette interpellation politique, l’UFC-Que choisir saisit la justice. L’association vient ainsi de porter plainte, aux côtés d’un consommateur, contre la CNP et les Caisses d’épargne, devant le tribunal de grande instance de Paris, pour « violation du principe légal de la participation des assurés aux bénéfices ». Une démarche isolée, en raison de l’impossibilité de lancer des actions de groupe en France, mais visant à obtenir une décision de principe.
Enfin, l’UFC-Que choisir incite les consommateurs à « exiger de leur banque le reversement des sommes dues au titre de leur assurance emprunteur ».
Les banques attendaient la conférence de presse de l’UFC-Que choisir, mardi en fin de matinée, avant de réagir. Mais déjà, plusieurs d’entre elles invoquaient un arrêté du 23 avril 2007 excluant, selon elles, l’assurance emprunteur du régime de la participation aux bénéfices, pour justifier leurs rémunérations. D’autres contestaient l’interprétation même de la loi par l’UFC-Que choisir, arguant que les contrats étant souscrits pour leurs clients mais en leur nom auprès des assureurs, les bénéfices leur reviennent en tant qu’assurées.
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3234,36-913317,0.html
Mardi 08 Mai 2007
Un palace appartenant à un «ami»
Nicolas et Cécilia Sarkozy passant leur nuit de dimanche à lundi au Fouquet’s, l’image a pu choquer ceux qui avaient retenu du candidat son ode à la France qui se lève tôt. Mais le nouveau couple présidentiel était en terrain ami.
Le patron du palace et PDG du groupe Lucien Barrière, Dominique Desseigne, a connu Sarkozy à Neuilly en 1981 par des amis communs et est un habitué des footings à La Baule de l’ex-candidat.
Sa femme, Diane Barrière, morte en 2001 des suites d’un accident d’avion, était une amie d’enfance de Cécilia, avec qui elle jouait sur les plages de Deauville.
Le premier mari de Diane Barrière était Thierry Gaubert, un proche de Sarkozy. Desseigne dit avoir eu besoin du soutien de Sarkozy quand il a pris la tête du groupe Barrière, après l’accident de sa femme. «Il est là pour les amis, même quand ça va mal», témoignait-il dans un ouvrage .
Sources Libération
NANTERRE, 25 mai 2007 (AFP) –
Le maire UMP de Sannois et son épouse mis en examen pour abus de faiblesse
Le maire UMP de Sannois (Val-d’Oise), Yanick Paternotte, et son épouse, ont été mis en examen jeudi à Nanterre pour « abus de faiblesse », dans une enquête concernant une donation faite par une personne âgée au maire, a-t-on appris vendredi de source judiciaire.
Comme le révèle vendredi le Parisien, M. Paternotte avait été placé en garde à vue mardi à la brigade financière de la direction régionale de police judiciaire (DRPJ) de Versailles, sur commission rogatoire d’un juge d’instruction de Nanterre, Régine Capra.
A l’issue de la garde à vue, il a été déféré jeudi devant le parquet de Nanterre, ainsi que trois autres suspects, dont son épouse, le notaire chargé des formalités de la donation, et une autre personne dont l’identité n’a pas été précisée.
Tous quatre ont été mis en examen, selon une source judiciaire: le notaire pour « complicité d’abus de faiblesse », M. Paternotte, son épouse et la quatrième personne pour « abus de faiblesse ».
Ils ont été placés sous contrôle judiciaire. L’enquête avait commencé en 2005, après une plainte auprès du parquet de Pontoise portant sur les conditions de la donation.
« Il s’agit d’une donation immobilière, portant sur une partie d’une maison à Sannois », une ville de 25.000 habitants proche d’Argenteuil, a indiqué une source judiciaire.
Selon la même source, Yanick Paternotte, intéressé par l’acquisition du bâtiment, avait fait plusieurs propositions à la propriétaire, une dame âgée, qui avait fini par faire une donation d’une part de la maison au maire, dans des conditions ayant déclenché la plainte, puis l’enquête.
Dans un communiqué, M. Paternotte, vice-président du conseil général du Val d’Oise et candidat UMP aux législatives dans la 9e circonscription, a expliqué vendredi: « Voici quelques années, une amie sannoisienne (…) a souhaité me faire une donation à titre privé. J’ai accepté cette donation par amitié et non par besoin, car j’ai toujours honorablement gagné ma vie ». « Aujourd’hui une personne se présentant comme ayant-droit indirect conteste cette donation. J’attends avec sérénité la décision de la justice », a ajouté M. Paternotte.
Le maire ayant « des relations institutionnelles » avec le parquet de Pontoise, ce dernier avait décidé en 2006 le « dépaysement » de l’affaire à Nanterre, « pour une bonne administration de la justice », a précisé une source judiciaire.
Cela fait depuis les années 1990, queMonsieur Paternotte pratique de cette façon. Il se croit au dessus des lois, il se sert de banquier sur sannois
Cela fait depuis les années 1990, queMonsieur Paternotte pratique de cette façon. Il se croit au dessus des lois, il se sert de banquier sur sannois
tous des pourris et magouilleurs
Paternotte est un franc maçon, il se croit au dessus des lois. Il est méprisant avec les gens et coureurs de femme
Il y en a marre de ce PATERNOTTE, il était chez les verts puis après à l’UDF puis chez LEOTARD, puis à l’UMP il va ou le vent tourne
Je comprends mieux pourquoi Thierry gaubert est très « recherché » sur Google actuellement …
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L’ancien président d’un collecteur du 1 % logement mis en examen
LE MONDE | 11.02.08 | 14h20
je ne sais pas où poster cette info:
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article6044
merci, je pense en faire un article car c’est important
voire très important, Carlyle est oin d’être tout blanc, et c’est tout de même l’aliance Bush / ben laden, quoiqu’on en dise
Carlyle a 5 % de France Telecom
super , merci.
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