(9 commentaires)

  1. ne serait-ce que d’un point de vue eco et financier
    cf.
    GDF : Cirelli contredit Sarkozy au sujet de Sonatrach
    notamment

  2. « des propos proches de l’eugénisme » ? vraiment n’importe quoi . Le niveau intellectuel moyen des français est vraiment catastrophique . Des cerveaux lobotomisés , bêlant avec la majorité .

  3. Sarkozy est une bombe sur deux pattes et le support de Moscou en est le détonnateur. Cet arriviste est éminamment dangereux pour la France européenne, autnt aue la France africaine. Sarkozy est la version occidentale du terrorisme.

  4. « et le support de Moscou en est le détonnateur. » : merci d’insister , car c’est un des pbs majeurs , si ces deux hommes s’allient …

  5. Je m’occupe « des vrais problèmes », répond Royal à Rocard
    AP | 13.04.2007 | 13:15
    Interrogée vendredi sur l’appel de Michel Rocard en faveur d’une « alliance » Royal-Bayrou avant le premier tour, la candidate socialiste l’a balayée d’un revers de main en soulignant qu’elle s’occupe « des vrais problèmes ».
    « Mon énergie est tout entière tournée vers la conviction, vers la conquête de la confiance des Français pour redresser la France, pour répondre aux vraies questions », a-t-elle répliqué, citant la « précarité », le « chômage », la « baisse du pouvoir d’achat », la « difficulté d’accès au logement », le « délitement du droit à la santé » ou « la question du paiement des retraites ».
    « Je suis ici en campagne sur le terrain auprès des salariés, auprès des élus qui sont en première ligne. Je me bats pour faire comprendre le projet présidentiel. Ma préoccupation première, c’est la lutte contre le chômage, c’est de faire en sorte que la France se relève, qu’elle saisisse toutes ses chances », a-t-elle ajouté, en marge d’une visite à l’usine Alstom de Belfort (Territoire de Belfort) aux côtés du maire de la ville Jean-Pierre Chevènement, qui la soutient.

  6. Par Liberation.fr avec AFP et Reuters
    LIBERATION.FR : vendredi 13 avril 2007
    «Ca bouge!» Première réaction de François Bayrou, sur France Inter, après l

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