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  1. Nasdaq achète le groupe suédois OMX
    Après une tentative infructueuse pour acheter le London Stock Exchange (LSE), la firme Nasdaq Stock Market a mis la main sur la bourse nordique OMX pour 3,7 G$ US.
    Le Nasdaq n’abandonne pas pour autant ses visées londoniennes après l’achat de la cinquième bourse européenne, basée à Stockholm. Les deux entreprises ont assuré, vendredi, qu’elles souhaitaient être présentes dans la capitale économique européenne et poursuivre leurs acquisitions.
    Une tentative d’acquisition hostile lancée par Nasdaq avait été rejetée plus tôt cette année par les actionnaires du LSE, mais l’entreprise américaine contrôle toujours 30 pour cent des actions de se rivale britannique. En 2001, OMX avait aussi tenté, en vain, d’acquérir le LSE.
    « Ce qui est impressionnant avec OMX, c’est qu’ils pensent d’une façon très compétitive », a déclaré le chef de la direction du Nasdaq, Robert Greifeld.
    Selon des analystes, les deux entreprises pourraient préparer une nouvelle offre pour le LSE, mais cette fois-ci elles proposeraient une entente pour devenir partie intégrante d’une plus importante organisation.
    Une porte-parole du LSE n’a pas voulu commenter l’acquisition d’OMX par Nasdaq, mais la chef de la direction du LSE, Clara Furse, qui a rejeté cinq offres d’acquisiton, a déjà indiqué qu’elle souhaitait explorer les possibilités de développement indépendant pour le marché londonien.
    D’autres bourses nationales européennes pourraient faire partie de projets de consolidation, notamment la Deutsche Boerse, la Bolsas y Mercades Espanoles et la Borsa Italiana de Milan.
    M. Greifeld et le chef de la direction d’OMX, Magnus Bocker, pourraient aussi s’établir à Londres comme concurrent au LSE grâce à un projet conjoint avec sept banques d’investissements européennes, le Projet Turquoise
    « Nous en sommes maintenant à vouloir hausser nos efforts à Londres, a indiqué M. Bocker qui deviendra le président du groupe Nasdaq OMX. Avec le Projet Turquoise, les banques pourraient profiter de nos connaissance en matière d’échanges. »
    Le groupe pourrait aussi regarder vers une expansion en Europe de l’Est ou en Asie, OMX opérant déjà des bourses dans les pays baltes.
    http://www.lesaffaires.com/article/0/grande-entreprise/2007-05-25/441326/nasdaq-achete-le-groupe-suedois-omx-.fr.html

  2. merci , je n’avais pas fait le lien !
    pour info : je pars en conges mercredi soir jusqu’au samedi 9 juin,
    donc ne vous inquietez pas si pas d’articles durant la période 😉
    je pense d’ailleurs si j’ai le temps faire un article pour alerter sur pb très grave auquel est confronté le pays ou je me rends : pb de sécheresse en Roumanie
    le gouvernement roumain est en état d’alerte maximum tandis que les experts laissent entendre que 2007 sera l’année la plus chaude dans le monde!

  3. La Bourse de Dubaï vient contrer l’offre du Nasdaq sur OMX
    La Bourse de Dubaï a lancé une contre-offre de plus de 4 milliards de dollars sur la Bourse nordique OMX. Le Nasdaq, qui avait fait une offre amicale en mai dernier, pourrait bien abandonner le projet devenu onéreux. Ce serait le deuxième échec de la bourse électronique américaine cette année, après le LSE
    La Bourse de Dubaï sort du bois sur le dossier OMX. Alors que le Nasdaq était sûr de mettre la main sur la Bourse nordique, la place financière émiratie essaie de rafler la mise à son concurrent américain en lançant une contre-offre. La Bourse de Dubaï a surenchéri sur l’offre amicale de la célèbre bourse électronique américaine en proposant 230 couronnes suédoises par titre, soit plus de 4 milliards de dollars et une prime de 11% sur l’offre concurrente.
    En mai dernier, le Nasdaq avait proposé 3,7 milliards de dollars à OMX, dont une part seulement en numéraire. La plate forme boursière du nord de l’Europe, fondée en 1985, regroupe les Bourses de Suède, du Danemark, de Finlande, d’Islande et des Pays Baltes.
    Cette contre-offre a une condition minimale : la plate-forme financière de Dubaï se retirera du projet si elle ne réussit pas à obtenir au moins 25 % du capital, soit un niveau particulièrement bas pour un tel projet (généralement, l’acheteur veut au moins détenir 50% de sa cible et c’est pour cela qu’il paie une prime de contrôle). La Bourse de Dubaï souligne en tout cas que la place nordique pourrait lui apporter beaucoup, notamment des informations et de l’expérience.
    Elle annonce également qu’elle détient déjà 4,9% de sa cible scandinave et qu’elle détient des accords pour mettre sur la main sur 22,5% supplémentaires du capital, ce qui voudrait dire qu’elle serait d’ores et déjà sûre d’avoir franchi la limite basse de son projet.
    Le Nasdaq est resté sur la réserve après cette annonce. L’américain a seulement rappelé aux actionnaires d’OMX que son offre était amicale et approuvée par le conseil d’administration. Son PDG, Robert Greifeld, a ensuite glissé que la structure de cette offre était « souple » et qu’il pourrait envisager des « alternatives »?
    Mais pour les analystes, le Nasdaq aura du mal à faire mieux que Dubaï. C’est une nouvelle épreuve pour le Nasdaq qui a vu le London Stock Exchange (LSE, dont il détient 30%) lui échapper des mains à deux reprises cette année. Et depuis le mariage LSE- Bourse de Milan validé mardi, la proie européenne risque d’être trop grosse désormais pour la bourse électronique américaine.
    Toute cette affaire profite en tout cas au titre OMX qui a bondi de 6,22 %, à 230,50 couronnes en milieu d’après midi à la Bourse de Stockholm.
    http://www.latribune.fr/info/La-Bourse-de-Dubai-vient-contrer-l-offre-du-Nasdaq-sur-OMX-~-ID23F74134CDEC98C3C125733200520C74

  4. LSE: le Qatar aurait renforcé sa participation à 24%
    Le Qatar aurait acheté 3% supplémentaires de la Bourse de Londres pour porter sa participation à 24%. Le relèvement des parts du Qatar dans LSE signifie que cet émirat du Golfe et son voisin, Dubaï, ont à eux deux la majorité des parts du capital de la bourse londonienne.
    Le Qatar aurait porté sa participation dans le London Stock Exchange (LSE), la Bourse de Londres, à près de 24%, en acquérant 3% d’actions supplémentaires, rapportait dimanche un journal qatari. Citant des sources du LSE, le quotidien Ach-Charq affirme que le riche émirat gazier du Golfe aurait acquis les nouvelles parts vendredi, au lendemain de l’annonce par l’Autorité d’investissement du Qatar de l’achat de 20% de la plus ancienne Bourse d’Europe.
    Le relèvement des parts du Qatar dans LSE signifie que cet émirat du Golfe et son voisin, Dubaï, ont à eux deux la majorité des parts du capital de la bourse londonienne. Selon le journal, l’Autorité d’investissement du Qatar (AIQ) avait initialement acquis 20,8% des parts du LSE, et la nouvelle acquisition porte la participation du Qatar à près de 24%. Une source proche du dossier avait indiqué jeudi que le Qatar avait acquis les 20% des parts du LSE auprès d’investisseurs américains différents du Nasdaq, la Bourse électronique de New York.
    Le groupe émirati Borse Dubai a pour sa part donné son accord pour racheter 28% du capital de LSE à Nasdaq en vertu d’un accord de partenariat pour le contrôle de l’opérateur boursier nordique et balte OMX.
    La Bourse new-yorkaise, qui possède 31% du capital du LSE, avait annoncé le mois dernier vouloir s’en séparer, apparemment en prévision du combat contre Borse Dubai pour le contrôle d’OMX. Elle en conservera donc 3%.
    Le groupe émirati était en rivalité depuis des mois avec le Nasdaq pour prendre le contrôle d’OMX qui gère les Bourses de Copenhague, Stockholm, Helsinki, Reykjavik, Riga, Tallinn et Vilnius. L’Autorité d’investissement du Qatar avait annoncé jeudi avoir aussi acquis 9,98% des parts dans OMX.
    http://www.latribune.fr/info/LSE–le-Qatar-aurait-renforcer-sa-participation-a-24–~-ID75E3033E0A8796FFC12573600016259A
    Nasdaq Stock Market : l’offensive se poursuit sur OMX, avec la bourse de Dubaï
    En réponse sans doute à la montée en puissance du Qatar au capital du nordique OMX, la bourse de Dubaï et le Nasdaq Stock Market américain ont annoncé ce mercredi un relèvement de leur offre sur OMX. La bourse de Dubaï et son allié le Nasdaq ont sécurisé 47,6% de participation au sein d’OMX, par participation directe et accords divers. La bourse de Dubaï offre désormais 265 couronnes suédoises par titre OMX en cash, ce qui représente un montant total voisin de 4,9 Mds$ (32 Mds de couronnes suédoises).
    La bourse de Dubaï et le Nasdaq disent avoir sécurisé des engagements irrévocables d’Investor, Nordea Bank, Olof Stenhammar, Didiner & Gerge, Nykredit et Magnus Bocker, qui vont apporter au moins 22,4 millions d’actions OMX à l’offre, soit l’équivalent de 18,5% du capital de la place nordique. 57,4 millions de titres OMX, 47,6% du capital, seraient donc désormais sous le contrôle de la bourse de Dubaï. Le niveau d’acceptation de l’offre de la bourse de Dubaï est par ailleurs ramené de plus de 90% à plus de 50%.
    Le Nasdaq et la bourse de Dubaï jugent que la transaction proposée fournit la meilleure opportunité pour favoriser la croissance des marchés de capitaux nordiques et baltiques. Les partenaires s’engagent également à ce que le siège européen du futur « Nasdaq OMX » soit localisé à Stockholm, tout comme le centre technologique mondial de Nasdaq OMX. Quatre administrateurs d’OMX doivent également être recommandés au Board de Nasdaq OMX.
    http://www.boursier.com/vals/US/nasdaq-stock-market-l-offensive-se-poursuit-sur-omx-avec-la-bourse-de-dubai-news-252881.htm

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