« Oubliant les saisons, les consommateurs achètent des fraises à Noël ou des cèpes au printemps, qui auront parcouru des milliers de kilomètres avant d’arriver sur leur table.
Seulement voilà, ces exigences devenues règles de vie ordinaire, ont un coût écologique élevé : elles entraînent des émissions toujours plus importantes de gaz à effet de serre. »
Et profitons-en pour dénoncer ces nouvelles habitudes qui ne conviennent pas forcément à nos organismes, mais qui ont pour but d’enrichir tel ou tel groupe agro-alimentaire. Vous je ne sais pas, mais moi je ne me sens pas plus mal quand je n’ai pas les fraises à portée de main 365 jours sur 365 jours. D’ailleurs, en dehors de la saison, elles ne sont pas vraiement savoureuses.
« Pour «manger citoyen», plaident les écologistes, il faut retrouver le temps des saisons, le goût de la consommation des productions de sa région. » C’est vrai que d’exporter nos produits alimentaires pour en importer d’autres quans cela ne se justifie pas est polluant, coûteux et suicidaire.
Source : Le Figaro, Des kilos de CO2 cachés dans nos assiettes
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Tout a fait d’accord ,il faut arreter de subventionner une agriculture productiviste d’exportation! Il faut revenir partout dans le monde a un concept d’agriculture paysanne contribuant aux besoins locaux d’abord. Nous consommateur avons un role a jouer et une responsabilte a assumer !
il faut arrêter de faire des raccourcis : ne pas acheter des produits maraicher d’afrique du nord ou d’egypte bloque leur développement. Vous voulez encore des bateaux plein de réfugiés ?
Aux antilles, ils importent tout, s’il n’y avait pas de bananes dans les calles des bateaux au retour, ils rentreraient vides et les antillais paieraient plus chers leurs exportations (sans parler emploi) et ça polluerait presque pareil.
Et une culture « lointaine » qui vient en transport peut couter moins cher en energie qu’une locale où on a du chauffer la serre.
Bien sur, le principe du commerce, c’est le transport. On peut arrêter de vivre aussi et ne cultiver que notre jardin.
Bno pour faire vite, il faut arrêter d’être con. Et arreter de demander l’absurde juste par envie comme ca. L’histoire des fraises et vrai, mais il en es de meme pour pleind’autre produits.
Pour ce qui concerne la production de s pays du sud, c est pas tant e fait de ne pas avoir de débouchés pou rleur prodiuit qui pose probleme, que le fait, meme que meme si ils les vendent, ils ne s’en sortiront pas vriament financièrement, ou péniblement, ce qui amène a faire travailler toute la famille, enfants femmes et parfois vieux inclus.
Non le spays « pauvres » ou du Sud, on besoin d epovuoir décider de leur dévenir de leur vie, de pouvoir récolter des fruit et legumes pour leur consommatio.
Par contre, nous avons nous une reposnsabilité, vis a vis d’eux caer nous les avons piller et nous sommes les premiers responsable de lepuisement des ressources et du dérèglement climatique actuel.
Maintenant, si on préfère faire l’autruche.
Plus que jamais, l’écologie politique re pose les bonnes kestion, et tente dy repodnre par l expérimentation et sans a priori non plus.
Penser global, agir local.
Tcho
Eh nico faudrait arreter de penser que les pays du sud ou les dom tom seraient infoutues d’avoir une agriculture vivriere leur permettant de se nourrir correctement! Tout ca se sont encore des arguments pour justifier l’exportations de produits subventionnes qui detruise les paysaneries du sud et nuisent a l’environnement! Les seuls cas ou l’importation est necessaire est al ou les terres cultivables n’existent pas!
Tout a fait d’accord Julien penser global agir local…
ce qui est top avec l’écologie, c’est que ça se transforme en protectionnisme… Il faut donc arrêter le commerce, puisque le commerce, c’est le transport. Arrêtons d’exporter.