Le cours du pétrole sur la route des 66 dollars … tout un symbole.
Les prix du brut ont en effet nettement progressé jeudi, clôturant à New-York au-dessus d’un niveau qu’ils n’avaient pas atteint à nouveau depuis début septembre.
Alors qu’une très légère baisse de la tension qui prévaut actuellement entre Londres et Téhéran, suite à la détention des quinze marins britanniques, avait pu un instant être espérée mercredi via une perspective de libération de la seule femme parmi les militaires interpellés, de mauvaises nouvelles concernant le dossier ont fait craindre aux courtiers une escalade de la situation.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de « light sweet crude » pour livraison en mai a progressé de 1,95 dollar, clôturant à 66,03 dollars. Sur l’IntercontinentalExchange (ICE) de Londres, le baril de Brent de la mer du Nord a gagné 2,10 dollars pour terminer à 67,88 dollars sur l’échéance de mai.
Les cours, en léger repli dans la matinée, ont rebondi après l’annonce par Téhéran de son refus de libérer Faye Turney, seule femme du groupe de 15 marins britanniques capturés le 23 mars dans le Golfe Persique. Ali Larijani, secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale iranien, a justifié cette décision par « l’attitude incorrecte » de Londres. Pourtant la veille, quelques espoirs étaient permis. En effet, mercredi, le ministère iranien des Affaires étrangères avait annoncé la libération « d’ici un ou deux jours » de la captive.
Compte tenu de la mauvaise tournure prise par la situation, le Premier ministre britannique Tony Blair s’est engagé jeudi à « accentuer la pression » sur l’Iran, affirmant disposer « de toute une série de mesures« .
La plupart des analystes semblent confirmer que la moindre nouvelle ou rumeur qui suggère que la situation se dégrade entre l’Iran et l’Occident a un effet haussier sur les cours. Certains estiment même que si l’Iran souhaite user de la
Armees.com
Les
différentes sources font état « la première quinzaine d
NEW YORK, 30 mars 2007 (AFP) –
Les cours du pétrole ont atteint des plus hauts depuis sept mois vendredi à Londres, au terme d’une semaine marquée par l’escalade des tensions avec l’Iran, quatrième producteur mondial d’or noir, où étaient toujours détenus les marins britanniques capturés la semaine dernière.
A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord a clôturé en hausse de 22 cents à 68,10 dollars, après avoir progressé jusqu’à 69,14 dollars, son plus haut niveau depuis sept mois. A New York, le baril de « light sweet crude » a fini en baisse de 16 cents à 65,87 dollars, après avoir grimpé jusqu’à 66,78 dollars en séance. « Personne ne veut être à court de pétrole avant le week-end, étant donné la situation dans le Golfe, et alors qu’une résolution imminente de la crise paraît improbable », a indiqué Ed Meir, de Man Financial.
NEW YORK, 30 mars 2007 (AFP) –
Les cours du pétrole ont atteint des plus hauts depuis sept mois vendredi à Londres, au terme d’une semaine marquée par l’escalade des tensions avec l’Iran, quatrième producteur mondial d’or noir, où étaient toujours détenus les marins britanniques capturés la semaine dernière.
A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord a clôturé en hausse de 22 cents à 68,10 dollars, après avoir progressé jusqu’à 69,14 dollars, son plus haut niveau depuis sept mois. A New York, le baril de « light sweet crude » a fini en baisse de 16 cents à 65,87 dollars, après avoir grimpé jusqu’à 66,78 dollars en séance. « Personne ne veut être à court de pétrole avant le week-end, étant donné la situation dans le Golfe, et alors qu’une résolution imminente de la crise paraît improbable », a indiqué Ed Meir, de Man Financial.
NEW YORK, 30 mars 2007 (AFP) –
Les cours du pétrole ont atteint des plus hauts depuis sept mois vendredi à Londres, au terme d’une semaine marquée par l’escalade des tensions avec l’Iran, quatrième producteur mondial d’or noir, où étaient toujours détenus les marins britanniques capturés la semaine dernière.
A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord a clôturé en hausse de 22 cents à 68,10 dollars, après avoir progressé jusqu’à 69,14 dollars, son plus haut niveau depuis sept mois. A New York, le baril de « light sweet crude » a fini en baisse de 16 cents à 65,87 dollars, après avoir grimpé jusqu’à 66,78 dollars en séance. « Personne ne veut être à court de pétrole avant le week-end, étant donné la situation dans le Golfe, et alors qu’une résolution imminente de la crise paraît improbable », a indiqué Ed Meir, de Man Financial.