« L’Express fait le point sur l’immobilier à Paris, et mes amis, malgré les beaux jours qui arrivent et les velléités des vendeurs, qui profitent chaque année du retour des hirondelles pour ajouter quelques %, généralement calqués sur les 8-9-10 % claironnés par la FNAIM, le marché se bloque là aussi ! Tant mieux, il est temps de retrouver des prix humains dans notre capitale, une des plus chères, je vous le rappelle, malgré les mythes, et les mensonges : Location/achat : enfin la vérité, Paris est hors de prix.
« Alors que l’immobilier ne cesse de s’envoler depuis dix ans, L’Express vous propose un dossier de 16 pages. L’occasion de faire le point – avec l’aide du Conseil supérieur du notariat – sur l’évolution des prix dans 80 quartiers de Paris, 261 communes d’Ile-de-France et 529 villes de province. Source : L’Express, 2007, l’année de la rupture ? (quelle question naïve, me direz-vous !, mais les dossiers de Corinne Schémama sont souvent fort intéressants).
Mais aussi, de se pencher sur les prêts à cinquante ans, à l’heure où de nouveaux acquéreurs – jeunes en tête – songent à devenir propriétaires. L’an dernier, les prix, dans l’ensemble, ont continué de grimper. Mais la hausse s’est ralentie, voire arrêtée dans certains arrondissements parisiens, et le marché donne des signes d’essoufflement. Question : et si l’atterrissage, tant attendu, était plus brutal que prévu ?«
Image d’archives : Borloo parle de l’accélération de la baisse des prix dans « Le Parisien »
Personnellement, je crois ce scénario « d’atterissage, plus brutal que prévu », tout à fait possible, pour exemple, une de mes connaissances vient d’acquérir un appartement de belle suface à Paris(dans les beaux quartiers), elle m’a avoué avoir obtenu une négociation significative, par sa seule solvabilité, le vendeur du bien ayant été très échaudé, par 3 refus bancaires successifs. A SUIVRE
à immobilis: Ok pour ton exemple, mais n’aie pas peur d’annoncer des chiffres ! la remise consentie?
😉
J
De toute façon, ce ne sera pas un « krack » sur une année… On est certain de rien, mais la probabilité est forte pour que se soit un dégonflement « moyen » les 4 à 5 prochaines années (5 à 10% de baisse par an). Bref, autant dire qu’il ne sert à rien de s’enerver sur tel ou tel autre article « FNAIM ». Il faut rester attentif aux mouvement du marché immobilier pour recaler ses objectifs vis à vis de ces délais. Puis préparer ses finances pour une acquisition optimisée vers 2010 – 2012.
L’immobilier est un marché « pepère »… Rien à voir avec un portefeuille actions.
Il faut tenir compte de cette « lenteur » dans les mécanismes fondamentaux.
Pour preuve, ce sont les jeunes qui n’ont pas de recul qui alimentent le marché actuellement…
Vu l’alongement des durées des pr^ts il est raisonnable d’attendre 5 ans pour faire une acquisition. D’ailleurs, je suis amusé de penser que dans 5 ans, je pourrai achater un bien sur une durée de 15 ans et finir de rembourser 5 ans plus tôt que ceux qui ont acheté maintenant !!!
Sans vouloir me vanter, je pourrais presque acheter comptant dans 1 ou 2 ans !
NB; post volontairement anonyme 😉
Jambon, tu sais comme il est encore difficile de nos jours de parler d’argent, je parle dans mon exemple d’une connaissance pas d’une amie, cette personne a des moyens conidérablement superieurs au miens et ce minimum de tact pour essayer de ne pas me le faire sentir. Crois-tu que moi, si cette personne ne me donne pas de chiffres, je puisse vraiment lui tirer les vers du nez? Je retranscris ce qui m’a été dit, plutôt que de donner des chiffres que je ne connais pas, sinon ce serait de la désinformation.
« De toute façon, ce ne sera pas un krack sur une année »
Ca dependra quand meme de l’ampleur de la canicule de l’été prochain, ainsi que notre capacité à y faire face.
Le krack en immobilier est impossible si l’on veut faire un rapport avec la bourse.
Le mécanisme des prix en bourse est un ratio de la capitalisation totale en valeur et du nombre d’actions émises sur le marché, ainsi en bourse, tout achat fait grimper la valeur de l’action et toute vente fait baisser la valeur de l’action, c’est mathématique et palpable en direct sur les bourses mondiales chaque jour.
Le mécanisme des prix en immobilier rejoint le même théorie mais elle ne se traduit pas en direct live comme à la bourse car nous avons un marché potentiel de vendeur et un marché potentiel d’acheteur. Même s’il y a une baisse des prix conséquentes ou des transactions « en cours », il faut du temps aux vendeurs pour qu’ils revoient leur prétentions en terme de prix et donc voir un effet sur les prix, il faut cumuler l’effet de boule de neige à cette théorie comme en bourse (les vendeurs mettent de + en + de biens à vendre et les acheteurs prennent de + en + de temps à acheter à cause des facteurs Prix/Stocks).
Voila le pourquoi du long dégonflement d’une bulle qui prendra quelques années mais elle a débuté …. La surconstruction dans certains zones accélérera ce phénomène face à une demande insolvable dans tous les sens du mot…
L’immobilier= un marché peu liquide en somme …
Si je puis me permettre une réflexion sur la relation d’Immobilis qui a bénéficié d’une bonne ristourne. Du fait de ce marché qui n’en est plus un , les vendeurs conservent une marge de négo de plus en plus importante. C’est le véritable soukh : » i li missieu y veut un appartement pour sa gazelle.pas chère plaisir des yeux. »
A laurentAI, c’est sur mais malgré tout si la marge de négo est trop importante, les candidats à l’accession on de moins en moins envie de visiter(trop cher pour nous) et les 3 refus bancaires ne sont pas du pipo.
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