(10 commentaires)

  1. J’ai de + en + l’impresssion que les etats petroliers se sont un peu trop endormis sur leurs lauriers , sans investir … et qu’ils en font actuellemnt les frais. (cf. Arabie saoudite)
    J’essaie donc de collecter des infos sur l’état des infrastructures petrolieres de ces différents pays pour en faire un synthèse.

  2. Comme quoi cela sert de « veiller » même à Noele : seul article en Français
    Articles sur presse iranienne en particulier :
    Development of 17 new oil blocs put on tender, NIOC
    Tehran, Dec 25, IRNA
    Iran-Oil Exploration
    Development of some 17 new oil blocs will be put on tender for domestic and foreign executives in Vienna on February 1-2, Director for Exploration Affairs of National Iranian Oil Company (NIOC) Mahmoud Mohades said on Monday.
    He said that 12 oil blocs have been explored in the land and five blocs in the waters of the Persian Gulf adding that the minimum investment for developing the blocs has been set at 460 million euros.
    He said that the 17 oil blocs spread across 129,000 square km in nine provinces.
    Mohades said that the tender papers for the package will be sold at 38,000 euros.
    « Announcements for the tenders to develop 17 oil blocs will be printed in several Iranian newspapers on Tuesday, » he said.

  3. Iran to tender 17 oil blocks
    Posted: Tuesday, December 26, 2006
    Tehran
    A senior Iranian Oil Ministry official said Iran has put exploration and development of 17 oil blocks on a tender deadlined June 20, official news agency IRNA reported on Monday.
    Mahmoud Mohaddes, director of exploration of National Iranian Oil Company (NIOC), had said in September that Iran was planning to put 24 blocks on an international bid, but he said in October that only 17 blocks out of 24 were finalised.
    ‘The advertisement of tender of those 17 blocks will be published in some newspapers from tomorrow,’ IRNA quoted Mohaddes as saying. ‘Interested parties can purchase tender documents from today to June 13 (2007).’
    Mohaddes also said that the deadline to receive the offers would be June 20. He estimated the minimum investment for exploration of the 17 blocks to be 460 million euros ($608 million).
    A seminar will be held on Feb 1 and 2 in Vienna to explain the conditions of the tenders to international oil companies, he added.
    IRNA reported that the tender would be held in the framework of Iran’s modified oil contracts, known as exploration and development.
    Iran has modified its standard energy development contracts, known as buy backs, as part of a review process aimed at making them more attractive for foreign investors, which are reluctant to come forward because of the high capital risk on the blocks.
    Under buy backs, investment in developing a field is rewarded with a share of production for a short period before the state repurchases the field. Foreign firms often complain that the compensation period is too short.
    Mohaddes said that, in the new contracts, the NIOC has reduced its expected profit to 20 percent from the current 30 per cent and the oil field commercial evaluation index has been extended to 20 years from 15 years.
    To make the contracts additionally attractive for investors, Mohaddes said that the bond for the bid had been lowered to 150,000 euros ($198,000) from $300,000.
    Iran’s conservative-dominated parliament has in the past opposed opening up to foreign investment in Iran, the world’s fourth-largest oil exporter with the second-largest reserves after Saudi Arabia.
    The UN Security Council passed a resolution calling for sanctions on Iran after Iran failed to convince the West that its nuclear technology was only aimed at producing energy, not nuclear weapons.
    Analysts said the sanctions might further hinder foreign investment in Iran.
    Reuters

  4. Iran: les projets gaziers touchés par les pressions américaines
    TEHERAN, 27 déc 2006 (AFP)
    Les projets gaziers iraniens sont affectés par les pressions américaines sur des banques privées pour cesser leurs prêts à l’Iran, forçant ce dernier à piocher dans un fonds de réserve pour les financer, selon un responsable iranien du secteur.
    « Malheureusement la plupart des banques étrangères ont une vision plus politique que commerciale et nous imposent des restrictions en conséquence », a déclaré Akbar Torkan, directeur de Pars Oil and Gas company, la société d’Etat gérant le champ pétrolier et gazier de Pars.
    « Nous avons alloué quatre milliards de dollars du Fonds de stabilisation pétrolier (OSF) pour les projets confrontés à des problèmes financiers », a dit ce responsable, cité par le quotidien Sarmayeh.
    Les Etats-Unis ont engagé depuis plusieurs mois une campagne visant à convaincre de grands établissements bancaires privés de cesser leurs transactions avec l’Iran.
    Washington entend punir ainsi un pays qu’il accuse de financer le terrorisme international et de chercher à se doter de l’arme nucléaire, ce qu’a démenti la république islamique.
    M. Torkan a notamment mentionné les problèmes de financement touchant l’exploration et le développement du champ gazier géant de South-Pars.
    « Les accords de financement avec une banque étrangère pour les phases 17 et 18 de South-Pars ne sont pas encore entrés en vigueur et il y a eu des perturbations dans la procédure de financement des phases 9 et 10 », a-t-il dit.
    « Ces restrictions sont injustes et il nous reste seulement deux choix, soit abandonner, soit appliquer des stratégies de substitution », a dit M. Torkan, sans autres détails.
    Le fonds de stabilisation pétrolier, qui recueille les surplus budgétaires résultant des exportations de pétrole, est destiné entre autres à financer des projets de développement énergétique.
    Le secrétaire d’Etat adjoint américain pour les Affaires politiques Nicholas Burns avait rappelé la semaine dernière que les Etats-Unis ont lancé une campagne « pour convaincre certaines institutions internationales de prêts et des banques privées d’arrêter de prêter de l’argent à l’Iran ».
    « Il est intéressant de noter que le Crédit Suisse, le Crédit Lyonnais et HSBC ont toutes arrêté de prêter à l’Iran au cours des derniers mois », avait ajouté le responsable.
    Le ministre iranien du Pétrole Kazem Vaziri Hamaneh a indiqué mardi que l’industrie pétrolière iranienne était handicapée selon lui par les pressions américaines sur les établissements financiers étrangers.

  5. Ria Novosti
    Lukoïl a toutes les chances de s’implanter plus solidement en Iran. Le directeur exécutif de la National Iranian Oil Company (NIOC), Gholam Hossein Nozari, a annoncé que l’Iran négociait avec les Russes un accord concernant la mise en valeur du champ pétrolifère d’Azadegan-nord.
    La partie iranienne espère que Lukoil soumettra bientôt un plan général d’exploitation de ce gisement. Au sein de Lukoil on se refuse à tout commentaire tout en confirmant que la société portait de l’intérêt au projet « Azadegan-nord ».
    A la mi-novembre le premier vice-président de Lukoïl, Ravil Maganov, avait déclaré qu’il souhaitait travailler en Iran, y compris dans le cadre du projet « Azadegan ». Selon lui, ce gisement séduit surtout par son importance. A l’époque Ravil Maganov avait dit qu’Andreï Kouziaev, le patron de Lukoil Overseas, une filiale à 100% de Lukoil, s’était déjà rendu en Iran à ce sujet. Cependant, la société ne devait plus évoquer la chose.
    Il y a deux ans, Lukoil avait pris part sans succès à un appel d’offres concernant la mise en valeur de trois secteurs dans le sud de l’Iran: Azadegan-nord, Kushk et Hosseineih. Cette année l’Iran a laissé entendre à plusieurs reprises qu’il était disposé à coopérer avec des sociétés russes, notamment avec Lukoil, bien que cette dernière ait l’américain ConocoPhillips pour partenaire et actionnaire stratégique.
    A la mi-décembre, au cours d’un déplacement de travail en Iran, le vice-ministre russe de l’Industrie et de l’Energie, Ivan Materov, avait déclaré aux journalistes que l’Iran était prêt à autoriser la compagnie russe à prospecter 17 secteurs pétrogaziers. La situation de Lukoil dans ce pays est devenue plus prometteuse depuis la découverte, l’été dernier, en association avec le norvégien Hydro, du gisement Azar dans le bloc d’Anaran, dont les réserves sont évaluées à près de 2 milliards de barils de brut (285,7 millions de tonnes).
    Pour les experts, l’Iran possède un immense potentiel pétrolier, fermé au marché mondial, et actuellement de nombreuses sociétés d’origine non américaine cherchent à s’implanter dans ce pays pour utiliser l’expérience engrangée quand la situation politique se sera plus ou moins stabilisée et quand les investissements et les projets pétroliers ne seront plus aussi risqués. Surtout que pour le moment l’Iran fait appel aux sociétés étrangères en qualité de dispensateurs de services.

  6. Ca m’aurait étonné …
    d’autant plus que la contrepartie doit être le financement de la Centrale de Bouchehr … sur laquelle l’Iran tarde de payer , faute de budget ?

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