(25 commentaires)

  1. On en reparle au plsu tot !
    La rupture d’un gazoduc russe menace l’approvisionnement de l’Arménie
    On ignore ce qui a pu endommagé le pipeline qui tranporte le gaz russe vers l’Arménie via la Géorgie. Un incident qui n’est pas sans rappeler l’explosion de ce même gazoduc l’année dernière, dans des conditions qui restent encore inexpliquées. A l’époque Tbilissi avait accusé Moscou d’avoir « saboté » le pipeline. Les deux pays continuent à se livrer, aujourd’hui encore, une véritable bataille politique et énergétique

  2. c’est une avalanche qui a endommagé lundi le gazoduc.
    l’Arménie n’a pas reçu ses volumes de gaz russe pendant deux jours. Actuellement 30 % du gaz sont fournis en Arménie par le pipeline. Erevan couvre ses demandes de gaz par des approvisionnements dans ses réserves souterraines.
    Mais aujourd’hui Tbilissi déclare avoir réparé la canalisation selon Alexandre Khetaguri de la compagnie GOGC

  3. d’autres articles sont plus circonspects sur la raison de la coupure
    en tout état de cause, je fais le point tout à l’heure
    car le sujet est très important
    PS : le pere Noel m’a apporté une mappemonde , indispensable par les temps qui courent 😉

  4. TBILISI, December 20 (Itar-Tass) – Georgian specialists have completed repair works at a pipeline section in north-eastern Georgia damaged by an avalanche on Sunday, an official at the Georgian international oil and gas corporation on Wednesday.
    The pipeline carries Russian gas to different regions of Georgia and Armenia.

  5. Des nouvelles intéressantes.
    EREVAN, 29 janvier – RIA Novosti. Le géant gazier russe Gazprom pourrait construire une raffinerie de pétrole en Arménie, a confirmé lundi devant la presse le porte-parole du président arménien, Victor Sogomonian.
    Le projet de construction d’une raffinerie à Megri, à la frontière entre l’Arménie et l’Iran, a été examiné au cours de la récente visite du numéro un arménien à Moscou, selon lui. Mais l’examen du projet ne fait encore que commencer, a-t-il souligné.
    La semaine dernière, le président arménien Robert Kotcharian a effectué une visite de travail en Russie. Les compagnies russes Vympelkom, RusAl et Gazprom augmenteront les investissements dans l’économie arménienne des 800 millions de dollars actuels jusqu’à 1,5 milliard, a indiqué le président russe, Vladimir Poutine, à l’issue des pourparlers.

  6. Iran- Arménie : le gazoduc prêt au premier ou au second trimestre 2007
    Le ministre des affaires étrangères arménien, Vardan Oskanian, n

  7. L’article arrive mais j’ai du repecher une depeche en anglais sur l’uranium , plus aucune depeche en français , ou plutot LA seule depeche AFP parue dans le Monde désormais evaporée en dehors des deux 1ers lignes .. et je ne la retrouve plus dans mes archives 🙁

  8. Inauguration d’un gazoduc reliant l’Arménie à l’Iran
    Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad et son homologue arménien Robert Kotcharian ont inauguré lundi un gazoduc reliant leurs deux pays et réduisant la dépendance de l’Arménie envers le gaz russe.
    Les deux présidents ont officiellement ouvert ce gazoduc dans la ville arménienne d’Agarak, proche de la frontière iranienne.
    « C’est un événement historique, qui initie une nouvelle ère dans les relations entre l’Iran et l’Arménie », a déclaré M. Kotcharian lors de la cérémonie. Celle-ci a commencé avec retard en raison du brouillard qui a empêché l’hélicoptère du président iranien de décoller.
    « Nos relations se sont approfondies au cours des 15 dernières années et mon intention est de continuer à les développer », a dit M. Ahmadinejad. Il a notamment évoqué la coopération des deux pays en matière d’électricité, d’énergie, d’eau et de communications.
    L’Arménie devrait recevoir 36 milliards de mètres cubes de gaz au cours des 20 années à venir, selon les termes du contrat. Les livraisons devraient progressivement augmenter pour atteindre un rythme de 2,3 milliards de mètres cubes par an. Le gazoduc court sur 150 kilomètres, alors que le projet initial était de 141 kilomètres.
    Il fait suite à un projet signé en 1992 pour un coût de 200 millions de dollars (150 M EUR), mais dont les travaux n’ont finalement débuté qu’en 2004. L’Arménie prévoit d’échanger le gaz iranien contre de l’électricité produite par sa centrale nucléaire, qui date de l’époque soviétique.
    La construction du gazoduc avait reçu un coup d’accélérateur l’an dernier suite à la forte augmentation du prix du gaz russe.
    L’Arménie fait actuellement face à un embargo économique de la part de deux de ses voisins, l’Azerbaïdjan et la Turquie, en raison du conflit autour de l’enclave azerbaïdjanaise à majorité arménienne du Nagorny Karabakh et cherche à resserrer ses liens avec l’Iran afin de réduire son isolement.
    Un haut responsable iranien avait indiqué lors d’une visite à Erevan en septembre que son pays envisageait la construction d’un deuxième gazoduc vers l’Arménie.

  9. Oui, je fais synthèse tout à l’heure ,
    enn tenant compte de la crainte de l’Arménie d’une attaque Us contre l’iran et de l’installation d’ABM dans le Caucase…. bcp de choses à dire
    egalement bien sûr,le Bourgas Alexandropoulis inauguré la semaine dernière + annonce sur Nabbucco
    Les annonces sur pipe pleuvent en ce moment

  10. oui aussi !! effectivement
    bcp de choses !
    la Russie l’annonce pour faite tandis que Khelil semble désormais d’accord

  11. Cette opep du gaz est une affaire qui se traite entre chefs d’états, et Chakib Khelil (malgrés son influence) n’est qu’un ministre de l’énergie, et apparement Bouteflika trouve un malin plaisir à la contredire publiquement.
    Mais le plus intéressant ça sera la réaction des pays consommateurs 🙂
    J’aimerais bien savoir quel est le plus grand consommateur du gaz au monde et quel est le principal fournisseur du gaz pour les Etats Unis, et quelle sera la monnaie(ou les monnaies) acceptés par cette opep du gaz ?

  12. La monnaie, eh oui, très interessant comme question ! je creuse 😉
    On parle également depuis quelques temps d’un départ de Khelil , est ce le cas ?

  13. Apparement comme le cartel du pétrole est fédéré par l’Arabie Saoudite alliée n° 1 des Etats-Unis, le futur cartel du gaz sera fédéré par la Russie rivale des Etats-Unis.
    Deux opeps l’une pour emmerder l’autre 🙂
    Concernant Khelil, on lui reproche d’etre trés libéral et pro-américain, d’ailleurs c’était lui qui a confectionné la loi qui ouvre entièrement le secteur pétrolier algérien à la concurrence au grand bénéfice des pétroliers américains.
    Mais le président a annulé ça à la dernière minute.
    La présence de Khelil dans le gouvrement est un gage pour certains puissances dans le monde, et je ne pense pas que son départ est envisagable.

  14. Oui exactement BRC est une entreprise viable et performante, mais l’Etat algérien lui reproche « officiellement » les surfacturations des marchés qu’elle a obtenus de grés à grés avec la complicité de Khelil.
    Donc Sonatrach est évidement interessée par l’aquisition de tout le capital de cette entreprise.

  15. L’ambassadeur de Russie à l’ONU, Vitaly Churkin, a démenti, mardi 20 mars, une information parue le même jour dans le New York Times, selon laquelle Moscou avait lancé un ultimatum à l’Iran à cause de son refus de suspendre son programme d’enrichissement d’uranium, comme l’exigent les Nations unies.
    M. Churkin a soutenu qu’il s’agissait d’une « fausse nouvelle. » Il a insisté : « Il n’y a eu aucune sorte d’ultimatum imposé par la Russie à l’Iran. […] Notre marché avec les Iraniens est sur la bonne voie. »
    D’après le New York Times, qui cite des sources diplomatiques américaines, iraniennes et européennes s’exprimant sous le couvert de l’anonymat, la Russie refuserait de livrer du combustible nucléaire à l’Iran pour sa centrale nucléaire pratiquement achevée de Bouchehr, si Téhéran ne suspendait pas son programme d’enrichissement d’uranium.
    Le chantier de cette centrale, auquel participent les Russes, a pris du retard après que Moscou a annoncé, fin février, son intention de ralentir sa coopération avec l’Iran au nom de retards de paiements. Mais au même moment, le ministre des affaires étrangères russes, Sergueï Lavrov, confiait à des diplomates européens que le geste de Moscou était avant tout politique.
    « LES RUSSES NE VEULENT PAS D’UN IRAN NUCL

  16. Bcp d’articles à ce sujet sur Ria Novosti depuis 1 semaine , cela ressemble au jeu du chat et de la souris …

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