(8 commentaires)

  1. Comme le disait Didier Lombard Pdt de France Telecom : les handicapés ? une valeur qui roule !!!
    Merci de ne pas oublier la réalité qui se cache chez personnes agées et leurs enfants qui doivent assumer, derrière la phrase :
    « Aujourd’hui, 850.000 personnes de plus de 60 ans sont dépendantes physiquement et, d’ici 2040, la France comptera 1,2 million de personnes âgées dépendantes », a souligné le groupe dans un communiqué.
    Ce genre de phrase,utilsé comme argument pour une rentrée en bourse me fait absolument frémir … 🙁
    D’un cynisme absolu … 🙁

  2. C’est vrai que l’on oublie parfois la réalité des choses…
    Positionné comme investisseur, cette phrase laisse malheuresement enthousiaste mais lorsque l’on pense aux réelles conséquences…
    Malgré tout, c’est je pense un argument de taille pour justifier le développement de groupes tels que Orpéa ou Korian, car ces personnes dépendantes auront ainsi, le moment venu, les moyens de trouver une structure adaptée pour les accueillir.

  3. Il ne faut pas se leurrer. Les personnes nées après 1945 arriveront bientôt à la l’age de la retraite et l’allongement du durée de la vie nécessitera davantage de structure d’accueil. C’est un marché dont la croissance est très prédictible et qui nécessitera de gros investissements dans les années à venir.
    On peut aussi se poser la question sur le devenir de l’argent du lundi de la Pentecôte qui est désormais travaillé et qui devait aider les personnes dépendantes et les handicapés : 85% de l’argent récolté en 2005 ne fut pas reversé par le gouvernement soit près de 1.7 Milliards d’euros.

  4. En gros , on a interet à investir dedans comme notre propre assurance retraite ..
    car ces structures coutent tres chers.
    Pourquoi pas proposer carrément le système alors, investir dans notre propre logement qui hébergera nos vieux jours ?

  5. En gros , on a interet à investir dedans comme notre propre assurance retraite ..
    car ces structures coutent tres chers.
    Pourquoi pas proposer carrément le système alors, investir dans notre propre logement qui hébergera nos vieux jours ?

  6. Il y a pire dans le cynisme: les pompes funèbres !
    Voyons plutôt cela comme une chance de donner les moyens à une société de nous accueillir quand nous en aurons besoin.

  7. ZOOM Korian gagne 2,84% à son premier jour de cotation
    PARIS, 24 nov 2006 (AFP)
    L’action du groupe de maisons de retraite médicalisées Korian, anciennement Suren, en cours de fusion avec son ex-concurrent Medidep, repartait en hausse, après avoir d’abord affiché un léger repli vendredi au premier jour de sa cotation en Bourse.
    A 10H55 (9H55 GMT), l’action gagnait 2,84% à 35,48 euros, dans un marché en recul de 0,91%.
    Le prix de 34,50 euros par action, proposé lors du placement correspond au haut de la fourchette annoncée le 14 novembre et à une capitalisation boursière de 940 millions d’euros.
    L’opération d’un montant de 137 millions d’euros, comportait l’émission pour 87 millions d’euros d’actions nouvelles, montant qui pourra être porté jusqu’à 100 millions d’euros en cas d’exercice d’ici le 22 décembre 2006 de l’option de sur-allocation.
    Cette introduction en Bourse « scelle la fusion définitive de Medidep et Korian qui deviendra effective à compter du règlement-livraison le 28 novembre », indique Korian.
    Le 14 novembre, le groupe avait annoncé vouloir investir environ 500 millions d’euros sur la période 2007-2009. Après avoir réalisé 478 millions d’euros de chiffre d’affaires pro forma en 2005, il compte afficher en 2006 plus de 515 millions de ventes « sur la base du périmètre actuel ».
    Korian, qui compte 13.798 lits, ambitionne d’en exploiter « au moins 5.000 supplémentaires d’ici 2009 » en France, en Belgique, en Allemagne et en Italie.
    Le groupe emploie 9.500 personnes dans 170 établissements en France et deux en Belgique.
    Cette entrée en Bourse réussie « reflète l’extraordinaire attrait du secteur. La nouvelle est également positive pour les acteurs déjà cotés car « le haut niveau des cours généré par l’opération « permet une base de comparaison plus facile en particulier pour le plus ancien du secteur, Orpéa », commentent les analystes de Raymond James.

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