2. Diagramme prix/nombre de transactions à Paris
Ce diagramme, qui lie les prix au nombre de ventes immobilières à Paris, montre le phénomène d
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2. Diagramme prix/nombre de transactions à Paris
Ce diagramme, qui lie les prix au nombre de ventes immobilières à Paris, montre le phénomène d
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Bravo Marie !
on peut pas avoir le reste de la courbe ?
si les prix se stabilisent et si l’histoire se répète, on dégage sur la gauche (baisse des transactions) puis
crac !
Bonjour,
Y aurait-il un spécialiste qui pourrait expliquer ce graphique, en particulier ce qui permet de dire que la situation est pire qu’en 1990 ?
au fait et le papier sur le rôle d’Internet en accélerateur de tendance ?
tu le gardes pour le monde ? ou pour capital ?
ou pour google news ? ou pour yahoo news ?
😉
ce qui monte doit redescendre
simple:
en 90 prix tres élevé nombre de transactions élevé
en 91: prix se maintiennent les transactions chutent
de 92 à 98: les prix se cassent la gueule pour revenir a ceux de 87
apres 98: les transactions reaugmentent et les prix aussi pour arriver à la situation d’aujourd’hui.
On voit qu’en 2005 les prix sont bien bien superieux a ceux de 90 pour un nombre de transactions inferieures: on peut imaginer que si l’histoire se repete la courbe va d’abord se decaler sur la droite avant de chuter a l verticale.
sur la gauche
oui pardon je confonds toujours la gauche et la droite 🙂
Merci, Bagal, pour les explications ! Je comprends mieux.
Attendons la suite des évènements, et espérons que nous verrons bientôt cette chute des prix.
si je comprend bien comment ça marche,
quand tu la vois à un niveau, tu peux déjà négocier plus bas que le niveau en cours
c’est cool
Excellente info, merci Marie
ce graphique montre tout l’intérêt de connaître en même temps que le prix le NOMBRE DE TRANSACTIONS !
forment un binôme
qui est, avec les taux (financement/solvabilité), la boussole de tout acheteur.
Il manque un point cardinal à cet instrument de vol :
le pigeon bien sûr ! MDR
pas étonnant que le lobby ne communique pas sur ce point
(le nombre de transactions),
et s’arrange même pour qu’il demeure inconnu pendant une certaine durée, juste le temps de tondre
consciencieusement 😉
les derniers moutons de la bande à Panurge !
Peut-être aurait-il fallu donner les prix en euros 2006 et non en euros 1984 ?
3318 Euros au m2 n’est vraiment pas cher pour Paris.
De plus, on voit que le maximum de transaction a eu lieu en 1999-2000 à un moment où les taux d’intérêt était considéré comme très bas pour l’époque (4.5%) et la bulle boursière n’avait pas encore explosé.
Il serait utile d’afficher un graphique avec les taux d’intérêt et le CAC 40 car à partir de 1995 les taux d’intérêt ont fortement baissé et le CAC a commencé a s’envolé.
http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/NS156-31-38_cle611482.pdf
Pour le CAC 40 :
http://cbernand.free.fr/bourse/graphs/CAC_LT.gif
Depuis le début 2006, les gestionnaires de fonds on arrêté d’investir dans les supports immobilier résidentiels. Ils préfèrent désormais l’immobilier de bureau ou les boutiques. C’est quand même significatif d’une perception du risque accrue pour l’immobilier résidentiel.
vu sur boursorama, reminar3
si ça c’est pas une baisse du nombre de transactions !
Je suis surpris par le prix moyen de 3300 euros ca me semble faible…c’est le meme prix voir plus dans certains quartiers à lyon
En euro constant, ça veut dire hors inflation, non ?
Personnellement, je comprends :
(prix moyen actuel) – (22 années d’inflation) = 3300 euros