(21 commentaires)

  1. beaucoup d’humour La Depeche : l’info classée dans les « Faits Divers » … tout de même, il fallait oser .;)

  2. Il est étonnant de constater qu’une énorme entreprise comme Total avec un avocat « gros calibre » comme Me Soulez Larivière ai dû mettre 5 ans pour obtenir une première étape dans l’éviction de la thèse chimique du DCCNa depuis longtemps dénoncée par nombre de scientifiques et qui pourtant a mis jusqu’à 13 personnes en examen !
    Pourquoi un tel retard… pourquoi autant de complaisance de la part de la justice vis à vis de ce collège d’experts menés par M. Van Schendel et Didier Bergues qui ont osé écrire autant d’âneries dans leur rapports sans éveiller le moindre doute chez les Procureurs successifs et même chez les politiques dont certains ont eu formation scientifique de polytechnicien tout à fait solide ?
    Me Soulez Larivière est d’une duplicité extrême dans cette affaire. Son cabinet, contrairement à ce que beaucoup affirment devant le retard de l’enquête, n’a pas réellement opposé d’arguments très solides pour que la justice explore les autres pistes. Ceux-ci existent bien et sont d’une facture beaucoup plus sérieuse que le rapport des RG accusant en vain quelques employés d’origine maghrébine et repris en coeur dans les premiers moins par les média.
    Ces arguments sont constitués d’une quantité impressionnante de témoignages décrivant les deux explosions très audibles, la présence de faisceaux lumineux rectilignes géants à différents endroits quelques secondes avant l’explosion du hangar 221, l’apparition de pertubations purement électromagnétiques dans la minute précédent l’explosion d’AZf mais ces arguments sont également des pans entiers de données d’enregistrements inexploitées ou carrément absentes du dossier.
    Pourquoi Total a t-il évité d’exploiter de manière poussée, avec ses ressources technologiques impressionnantes, les données sismiques du réseau public RéNaSS, pourquoi n’avoir pas alerté la justice de l’ENORME DISSIMULATION des données sismiques du CEA militaire qui a fourni des gribouillis très loin des données exploitables à la place de sismogrammes ultra précis et enregistrés en continu… ?
    Aujourd’hui Me Soulez se réjouit de l’écoulement progressif de cette thèse chimique débile soutenue sans aucun argument scientifique sérieux pendant 5 ans par les experts mais Me Soulez évite de mentionner ces étranges bizarreries sur les données manquantes (sismiques, historiques télécom, historique électrique complet EDF-RTE et Régie Municipale, etc…).
    Total est impliquée dans l’origine de la catastrophe à un niveau extérieur aux bâtiments de l’usine mais bien au niveau de ses terrains enveloppant les ballastières actuellement en grande partie revendue à l’armée.
    Cette zone déserte a connu dès le 20 Septembre 2001 et dans toute la matinée du 21 Septembre 2001 des préparatifs particulier qui ont monopolisé entre autre les anciennes conduites d’eau de ce secteur.
    Les faisceaux lumineux géants rectilignes ont été aperçus à deux reprises à 10H18’00 et 10H18’25 émergeant quasiment verticalement de ce secteur qui appartenait à Grande Paroisse. Cette zone boisée et déserte ignorée des exploitants de l’usine ne l’était pas des dirigeants de Total !
    Total a accepté, dans les premières heures de la catastrophe un deal sur l’établissement du mensonge chimique avec le gouvernement Jospin et avec le président de la République car son implication au niveau de l’utilisation de ces terrains était réelle.
    Ces faisceaux en revanche ont eu pour but de rejoindre la zone Nord de l’ancienne pourdrerie sur l’île du Ramier uniquement en passant au-dessus de tout le site de la SNPE sous forme d’un arc très élevé comme un « U » renversé.
    Cette expérience dont les dirigeants de la SNPE-Toulouse devaient forcément l’existence a donc été connue des deux sociétés mais à un niveau hiérarchique des plus élevées et mettant en jeu des secteurs indépendants des batiments industriels.
    Les images satellitaires enregistrées dans les secondes précédant l’explosion du Hangar 221, et encore jamais communiquées à la justice car elles font parties de données probablement détenues par la CIA, mettent parfaitement en évidence l’apparition ultra-rapide d’un énorme trait blanc coupant la SNPE en deux du Sud au Nord. Il s’agit de la trace de cet arc-éclair vu du ciel et est l’élément rectiligne lumineux le plus complet de ces images qui montrent également d’autres traces rectilignes, parties visibles de faisceaux électromagnétiques traversant horizontalement et accidentellement le site industriel depuis les côteaux de Pech David.
    Me Soulez Larivière est enclin aujourd’hui a favoriser les autres pistes mais jamais il n’acceptera que toutes les données scientifiques encore inexploitées le soient enfin. La piste des gaz UDMH lancés par VA est un « nuage » très peu crédible et très peu vérifiable qui s’ajoute à la thèse de l’attentat.
    Quel est le lien entre les faisceaux aperçus au Nord d’AZF, près de Brossette, au-dessus de la Tour de prilling, au nord des ballastières etc… ? Ce lien, c’est la ville de Toulouse qui le cache : il s’agit de l’ancien réseau d’eau géré par la SAUR dans les années 90 en connexion avec le site des ballastières, avec l’ancien réseau d’eau du rectorat, avec les réservoirs de Pech David et avec l’ancienne usine de traitement des eaux de 1932 qui a laissé place au nouveau complexe de la CGE en 1981.
    La source électromagnétique de cet arc-éclair a été installé sous la colline de Pech David entre les deux hôpitaux Rangueil et Larrey. A plusieurs reprise j’ai montré sur internet la preuve du calcul de l’épicentre souterrain mettant en évidence l’existence d’une base dissimulée même au niveau des corps d’armées et en liaison avec le site de tir (zone nord des ballastières) par l’ancien réseau d’eau qui a servi tout bonnement de guide d’onde géant !
    Ces essais ne sont pas des choses délirantes et inédites. Déjà depuis 1994, l’île de la Réunion avait l’objet de tests de transfert d’énergie par ce type de faisceau électromagnétique ultra-dirigé sur une petite échelle et avec comme exploitant le CNES. Début Octobre 2001, le salon de l’espace de Toulouse devait parler dans un grand colloque de ce projet futuriste (cf programme su salon incluant les « SPS ») permettant l’alimentation de la terre par des stations solaires spatiales via des faisceaux rectilignes électromagnétiques… hors ce sujet a été complètement escamoté après la catastrophe alors qu’il est toujours décrit sur le site du CEA.
    L’absence TOTALE de recherche sur les témoignages nombreux des faisceaux lumineux dans ce dossier judiciaire ont même poussé le SRPJ de Toulouse a FILTRER des témoignages même après déclenchement d’enquête par la justice. Ce sujet des faisceaux qui pour beaucoup de toulousains se sont résumé à l’impression d’un flash géant au-dessus du pôle chimique a pourtant été décrit de manières très précise par des témoins « aux premières loges ». Tous ces témoignages ont été inexploités, et, également par Total et son avocat très axé pendant des années sur l’explication des deux explosions audibles avec les attentats.
    Les enregistrements sonores du dossier judiciaire font converger la première explosion vers l’extrême Nord-Est de la SNPE, dans la Garonne, au pied de l’ancienne de Traitement des eaux de 1932… pourquoi ?
    Trois des faisceaux lumineux aperçus par les témoins semblent provenir de ce secteur,… pourquoi ?
    La communication du plan de l’ancien réseau d’eau géré par la Ville de Toulouse permettrait de compléter ce que l’on trouve déjà sur le terrain : les conduites débouchant sur les côteaux de Pech David sont dans l’axe de ces faisceaux… elles ne sont pas nombreuses pourtant et le préfêt de Haute Garonne, en Juin 2002, a interdit le survol de ces côteaux par l’hélico de mesure des traces électromagnétiques assuré par la société FUGRO pour les besoins de la justice. Cette interdiction de survol surprenante de ce secteur très fréquemment survolé par les hélicos des hôpitaux n’avait AUCUNE justification si ce n’est justement de cacher la présence de ces débouchés du réseau d’eau !!!
    Total n’a rien trouvé à redire devant l’opinion devant les limitations successives de ces mesures héliportées dénoncées par les scientifiques (côteaux de Pech David, postes EDF-RTE, SNPE…) qui ont réduit l’exploration à l’usine AZF et aux terrains des bus de la SEMVAT… que d’étranges CENSURES de la part de l’Etat et des gouvernement de gauche comme de droite !
    Les données, rien que les données… et la vérité sera tellement visible !

  3. Monsieur Grésillaud, merci de – aussi – penser à cela :
    Israel/Liban: la guerre se transmet aux réseaux

  4. J’y pense aussi et j’étais sur la place du Capitole vendredi soir dernier lors de la veillée pour les victimes civiles.
    Mais j’ai aussi pensé à autre chose concernant le Liban : le 22 Septembre 2001, l’ancien premier ministre libanais M. Hariri a été reçu par Jacques Chirac à midi. Si j’avais quelques joujous électromagéntiques ultra-moderne moins meurtriers que les bombes à proposer pour les années à venir pour de futurs clients amis solvables, j’aurais eu peut-être un petit mot « militaire » à M. Hariri sur de nouvelles armes EM…!
    Politique fiction que tout cela…? peut-être pas à voir la « guerre des antennes » actuelle que vous mentionnez très à propos !

  5. Décidement PC et réseaux toulousains ont du mal en ce moment (pour ma part pb de claviers sur PC portable et fixe)
    JC Tirat/ Valeurs Actuelles ne peut poster des commentaires sur le blog comme il le souhaiterait, etant confronté à des attaques virales et pb reseau.
    Comble de malchance , plusieurs personnes de son équipe ont même type de pb, une personne étant même coupé du réseau, en étant certes éloignée dans la campagne.

  6. C’est pas grave , il nous reste le tam tam …. et je fais du djembe depuis maintenant 4 ans !!!

  7. Elisabeth,
    M. Tirat a vécu ce que plusieurs « fouineurs » privés ont déjà connu depuis qu’ils s’occupent de l’affaire AZF.
    J’ai déjà à plusieurs reprises dû tout réinstaller sur mon PC, remettre tous les logiciels, recopier la sauvegarde la plus récente etc…
    Mais M. Tirat, s’est renseigné auprès de la gendarmerie nationale d’après un message à son nom sur le forum de Stéphane Gros et celle-ci a apparemment illico-presto trouvé les deux auteurs de cette charge virale, auteurs qui seraient en action sur le forum de Stéphane Gros… étrange message que celui de M. Tirat…!
    Mais hier, c’est tout autre chose qui est arrivé à Montpellier et Paris : une dizaine de Garde à vue…! rien que cela avec perquisition à domicile ! Je fais partie des personnes visées et je suis ressorti hier soir à 23H00 sans mon matériel sous scellé…! Mon entourage proche a subi également des perquisitions et des contrôles de disques durs. Le fameux Brésilien Carlos Campos dont un membre de la famille travaillait à la SNPE et qui détenait en Juillet 2001 l’ensemble des instructions de services de la SNPE a lui aussi été très méchamment inquiété dans son entourage et a vu lui aussi son matériel saisi.
    Ces méthodes qui n’empêcheront pas le dossier judiciaire du juge Perriquet d’être extériosable, sont une nouvelle vague d’intimidation qui avait déjà commencé à mon domicile le 15 Février 2006.
    Le motif est le même : on nous soupçonne d’être en relation avec le groupe AZF qui fait des menaces sur les groupes alimentaires et ils ont réussi à coller un peu plus de monde avec cette affaire de lettres de menaces d’empoisonnement le jour même où le commissariat de 4ème arrondissement de Paris enregistrait une plainte de ma part pour détournement de mon gsm et harcellement d’un inconnu qui voulait vendre des photos de la SNPE du 21-9-2001. Cette association événementielle fut un motif suffisamment pour soupçonner une manip de ma part… ! Portez plainte avec des éléments concernant AZF et vous verrez les retours de bâtons… !
    Les services de l’OCRB ont-ils fait un travail sérieux pour l’enquête ?
    Bien sur que non, ils n’ont même pas vérifier les différentes sources de mémoires actuellement disponibles en informatique et indépendante des ordinateurs… ! Même le filtrage AZF-Toulouse sur ces disque lui est fait car la recherche des mots clés dans cette affaire a été étendu à des photos et à internet…!
    Pour une enquête sur cette affaire de groupe alimentaire menacé d’empoisonnement, on a l’impression que les méthodes de ce service ne sont pas au point ou alors ils n’ont vraiment personnes de sérieux à perquisitionner et ils font cela pur le « fun »… mais quel fun lorsqu’il retombe bizarrement sur l’affaire d’AZF-Toulouse !
    La seule explication possible est que cette affaire AZF3 est une mascarade organisée par la très haute hiérarchie avec des envois de lettres hyper facile à réaliser pour inquiéter toute une série de personnes qui les dérangent sur AZF-Toulouse. Ca chauffe en ce moment pour les experts officiels et le petit changement d’attitude du juge Perriquet… il va falloir bientôt le débarquer si nécessaire ce juge qui n’obeit pas totalement au procureur et au ministre Clément…! Mais discerner les double ou triple jeux dans tout ce fratras formel est bien loin de ce que le terrain sur AZF-Toulouse fournit. L’information est sur ce champ pas dans les manigances des administrations sous pressions hiérarchique grave.
    La position extrêmement partiale du procureur de Toulouse Paul Michel encore aujourd’hui est assez impressionnante et dire que ce monsieur a osé me téléphoné à mon domicile en Février 2006 pour savoir d’où venait mes infos !
    Des méthodes de voyous pour cacher l’essentiel : les faits sur l’événement du 21-9-2001.

  8. Monsieur Grésillaud affirme connaître une photo satellite détenue par la CIA. Monsieur Grésillaud serait-il membre de cette compagnie ?
    Monsieur Grésillaud dit que j’ai affirmé sur un forum que la Gendarmerie aurait identifié les auteurs du virus qui a planté mon ordinateur. Ceci est faux, ce sont d’excellents spécialistes de mon matériel qui l’ont identifié. C’est un matériel trés rare et jusqu’à ce jour il n’y avait jamais eu d’attaques contre ce type d’équipement.J’admets cependant qu’ayant tapé ce message à partir d’un ordinateur qui m’était inconnu, je ne m’étais pas assez clairement exprimé. L’erreur de Grésillaud est donc involontaire.
    Je suis daccord avec monsieur Grésillaud pour soupconner une manip dans l’affaire AZF3, pouvant permettre d’inquiéter des gens qui s’intéressent de trop près à la catastrophe de Toulouse. Mais ce n’est là qu’une hypothèse.
    JC Tirat
    Correspondant de Valeurs Actuelles

  9. Jean-Christian Tirat,
    oui j’affirme que des images satellitaires existent bien au moment de la catastrophe et qu’elles ont fait en partie l’objet de toute cette mascarade de l’OCRB à Montpellier, Paris et Toulouse.
    Connaissant le canal par lesquelles ces images sont parvenus en France, je n’ai pas été étonné que ce soit l’OCRB qui centralise encore aujourd’hui à travers l’affaire bidon d’AZF3 toutes ces manipulations dont les officiers de police ne prennent pas encore la dimension.
    Pour des raisons de sécurité, ces informations ont été annoncées et confirmées par mes soins à l’Ambassade des Etats-unis à Paris début Juin 2006.
    Une autre partie des informations concernant la piste du Vernet a été également communiquée au Consulat de Grande Bretagne de Paris en Mars 2006.
    Les agitations tracées de l’OCRB, l’implication très stupéfiante du maire du Vernet dans cette mascarade, les pressions exercées sur quelques personnes complètement indépendantes de toutes les affaires AZF pour essayer d’étouffer le rôle des services d’écoute français… tout ceci prendra forme médiatiquement quand les deux propriétaires de votre hebdomadaire commenceront à réellement parler des pièces du dossier judiciaire d’AZF niées par les autorités et de toutes les carences accumulées au cours de cette enquête,… telle une sorte de reprise de l’ancien travail du journaliste Thierry Deransart ! C’est un souhait que je crois encore réel de la part de VA qui ne pourra éternellement danser à côté du chat sans le réveiller !
    Pour bien me faire comprendre auprès de ces officiers de l’OCRB, j’ai dû indiquer de qui provenait le dossier judiciaire qui se trouvait sur mes disques durs et pourquoi c’était bien le juge Thierry Perriquet qui était à l’initiative de ce ballon d’essai en 2004.
    M. Tirat, comme vous êtes un des rares journalistes à mentionner autre chose que les sornettes bréardiennes dans ces média français complètement noyautés par les responsables et les complices de la catastrophe, vous serez nécessairement le premier, si vous avez conscience qu’il faut être beaucoup plus rigoureux scientifiquement, à pouvoir expliquer tout ce qu’il y a derrière ce dossier judiciaire et ces documents « SNPE » pas encore intégrés au dossier !
    Si votre rédacteur en chef et les propriétaires pensent encore que la France peut continuer son petit nettoyage mensonger sans sourciller au milieu de quelques pistes secondaires qui ne mangent pas de pain mais qui n’ont aucune valeur sérieuse avec nombre de pièces du dossier, il n’est jamais trop tard.
    C’est appel concerne également l’Est-Républicain et le Midi-Libre.
    Mais je ne suis pas fou, il faudra, hélas, effectivement que le scandale arrive par des canaux internationaux mille fois plus libres que les média français pour que tout ceci apparaisse.
    Au mois d’Août, à part la guerre du Liban, marche pied à la guerre programmée des USA contre l’Iran, l’actualité française est si endormie…!

  10. A noter que Sud-Radio ne mentionne pas la demande de non-lieu de Total mais en parle qd cette demande est rejetée.

  11. à l’attention de m. Degresillaud
    Cher Monsieur,
    Désolé mon livre : AZF Story les deux affaires, nest qu’un roman, donc une fiction, comme écrit sur la première page. Je ne crois pas à la théorie de tir électromagnétique à énergie dirigée.
    Ceci est ma première et dernière communication sur le sujet,merci d’avoir lu ce roman, j’ai au moins un lecteur.

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