Arcelor a échoué dans son projet d’achat de 20,5% du groupe turc Erdemir, le principal actionnaire de ce dernier, le fonds de pension turc OYAK, ayant annoncé mercredi la rupture de l’accord d’exclusivité de vente, signé en décembre, qui prévoyait l’achat des parts par Arcelor, pour un 1,03 milliard d’euros.
La dénonciation de l’accord viserait à accélérer l’avancement du dossier de reprise d’Erdemir. L’autorité de la concurrence en Turquie n’est en effet pas parvenue à ce jour à prendre une décision sur un éventuel partenariat, susceptible de donner au joint-venture une position dominante sur le marché. Du coup, le fonds de pension n’a pas souhaité mettre en danger sa prise de contrôle effective d’Erdemir, qui doit avoir lieu avant le 6 mars. Oyak a fait savoir qu’il n’excluait pas de reprendre contact avec Arcelor une fois qu’il aura mené à bien l’acquisition du sidérurgiste turc.
Comme évoqué dans un précédent article, Arcelor a néanmoins d’autres projets d’acquisition en vue notamment avec le chinois LAIWU.
Parallèlement, Mittal Steel remettra lundi à Thierry Breton, les grandes lignes de son plan industriel pour Arcelor. Les autorités françaises avaient jusqu’alors dénoncé à plusieurs reprises le caractère hostile de l’offre et reproché à Mittal Steel de ne pas avoir fait connaître son projet industriel.
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TOKYO (Reuters) – Le sidérurgiste japonais Nippon Steel indique que son alliance avec Arcelor, visé par une offre non sollicitée de 22 milliards de dollars de Mittal Steel, comprend une clause de rupture de contrat en cas de changement de contrôle.
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Le directeur général délégué de Nippon Steel, Akio Mimura, a confirmé les informations de presse selon lesquelles le groupe japonais était en mesure de refuser à Arcelor les technologies qu’il lui fournit actuellement si le numéro un européen de l’acier venait à être racheté.
Il a toutefois précisé que Nippon n’avait pour l’heure arrêté aucune décision sur l’exécution de cette clause.
« La technologie est un actif important pour nous », a déclaré Mimura lors d’une conférence de presse. « Nous déciderons si nous appliquons cette clause après avoir minutieusement étudié les avantages pour notre société. »
Guy Dollé regrette l’échec en Turquie
Ph.Law. Libre belgique – Mis en ligne le 23/02/2006
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Mais il compte y poursuivre l’expansion d’Arcelor au départ de sa filiale Borcelik.
Il entame une tournée dès lundi pour démonter l’offre de Mittal auprès des actionnaires.
Certains développements viennent perturber l’assurance des dirigeants d’Arcelor. Il s’agit notamment du revers essuyé en Turquie dans leur tentative de rachat de 20,5pc du groupe Erdemir et ce, malgré un accord conclu avec le fonds de pension turc Oyak pour un milliard d’euros.
Embêtant? Oui, concède M. Dollé, mais s’étonne-t-il, «il est surprenant de constater que la Turquie qui veut intégrer l’Europe regarde comme seul marché émergent la Turquie. L’accord avec Erdemir ne pourra pas être réalisé en l’absence d’autorisation des autorités turques, mais il faut faire avec. Nous continuerons notre développement en Turquie au départ de notre filiale Borcelik ». Mittal estime que l’échec turc démontre une «certaine confusion et un manque d’expérience (d’Arcelor) en matière de fonctionnement des marchés émergents». En attendant, la Chine est la priorité actuelle d’Arcelor, avant l’Inde où «il faut être en 2015 et non en 2006».
Arcelor: EDF a intérêt à rester actionnaire (Dollé)
CH
je suis pour des petits ht fourneaux familiaux come ça se faisait en chine pour recycler par l’ecoconception tous les vehicules polluants de la planéte c’est à dire tous …..
je suis pour faire un pont pour agv -tgv
entre la corse et la sardaigne et faire le caNal ghor de la paix en palestine et celui entre la mer caspienne et la mer morte jusqu’à la mediterrannée pour faire de l’eau potable et l’irrigation de ces zones +++++
et celui entre la russie et les usa au detroit de ?