Si nombreux sont ceux qui voient dans la construction d’un mur entre Mexique et Etats-Unis un projet difficilement acceptable, certains s’en frottent déjà les mains.
Une société israélienne de sécurité s’est dite en effet prête à aider Donald Trump pour la réalisation de l’une de ses promesses de campagne les plus controversées : la construction d’un mur le long de la frontière entre les États-Unis et le Mexique.
Mieux encore, la société israélienne – Magal Security Systems – met en avant son expérience dans le domaine, rappelant qu’elle a établi des “barrières intelligentes” autour de la bande de Gaza et le long des frontières avec l’Egypte, la Jordanie et les territoires de Cisjordanie. Cette société allie les clôtures barbelées avec des systèmes vidéos, des capteurs et de la surveillance par satellite. De quoi faire également le bonheur de sociétés high-tech et d’armement alors que le lobby militaire US n’a pas jamais caché ses accointances avec Donald Trump.
Possédant des activités aux États-Unis et en Israël, la société examine une possible participation pour la sécurisation de la frontière longue de plus de 3200 kilomètres. “Le marché de la frontière était en berne, puis sont arrivés l’État islamique et le conflit syrien,” a admis auprès de Bloomberg le directeur général de Magal, Saar Koursch, laissant ainsi entrevoir ce que les nouveaux conflits planétaires offraient comme opportunités à son entreprise. “Le monde change et les frontières font un retour fracassant” a-t-il même ajouté.
Benjamin Netanyahou loue régulièrement les récentes barrières de protection construites par Israël. Il fait également référence à l’efficacité de ces barrières dans la diminution de la vague de migration africaine en provenance de la péninsule du Sinaï vers le sud d’Israël.
Si la proposition quant à la frontière avec le Mexique paraît irréaliste pour certains, Saar Koursch a déclaré qu’il prenait le projet très au sérieux en estimant que Magal avait l’expérience nécessaire. “N’importe qui peut vous faire une très jolie présentation PowerPoint, mais rares sont ceux qui peuvent présenter un projet aussi complexe que celui de Gaza, qui est d’ailleurs constamment mis à l’épreuve”.
La bourse ne s’y est pas trompé, les actions enregistrant une hausse de 6 % après la victoire de Donald Trump.
Sources : Mangal, Israël Valley, Bloomberg
Elisabeth Studer – 11 janvier 2017 – www.leblogfinance.com
Franchement qui peut aujourd’hui sans rire se vanter de murs alors que la terre entière est murée comme un camp de concentration nazi géant. Voir Calais !! Où ces crétins d’Anglais nous imposent un mur sur notre sol, pour retenir entre autre des mineurs qui veulent rejoindre leurs parents.
Envoyons leur Kouchner avec ses équipes de boatpeople,
Le Mexique « bien entendu, ne paiera pas le mur » (Nieto)
Mexico – Le Mexique, « bien entendu, ne paiera pas le mur » frontalier que le nouveau président américain Donald Trump veut construire, a déclaré mercredi le président Enrique Peña Nieto, tout en assurant vouloir oeuvrer à une « bonne relation » avec les Etats-Unis.
« Il est évident que nous avons quelques divergences avec le prochain gouvernement des Etats-Unis, comme au sujet du mur que, bien entendu, le Mexique ne paiera pas », a-t-il déclaré.
Quelques heures plus tôt, M. Trump avait une nouvelle fois assuré que les contribuables américains financeraient le budget de construction de ce mur, mais que Mexico rembourserait ensuite.
« D’une manière ou d’une autre, et il y a plusieurs façons, le Mexique nous remboursera (…), que ce soit à travers une taxe ou un paiement, c’est moins probable que ce soit un paiement », avait affirmé le président américain élu lors de sa première conférence de presse avant son entrée en fonction le 20 janvier.
Le président mexicain, qui s’exprimait devant les ambassadeurs mexicains réunis au palais national, a affirmé qu’il n’accepterait pas une décision « qui va contre notre pays et notre dignité en tant que Mexicains ».
« Ce que je peux vous assurer c’est que nous oeuvrons pour avoir une bonne relation avec les Etats-Unis et son président » a-t-il ajouté.
Concernant l’accord de libre-échange Aléna, que M. Trump s’est engagé à renégocier, voire abroger, Peña Nieto a affirmé que son pays chercherait un accord permettant de donner des garanties aux investissements.
Il a renouvelé sa demande adressée au gouvernement américain de stopper le trafic illégal d’armes provenant des Etats-Unis ainsi que les flux d’argent d’origine criminelle qui alimentent les cartels au Mexique.
(©AFP / 12 janvier 2017 00h58)
Le mur sera-il-construit par des internés d’un camp géant style Guantanamo, voir mieux style allemand 1933 / 45 ? Comme pourrait dire Fabius: « Guantanamo ne mérite pas d’être de ce monde » ???
Plus fort encore : des Cubains exilés au Mexique puis aux USA ?
http://www.leparisien.fr/informations/au-mexique-des-migrants-cubains-revent-des-etats-unis-05-11-2015-5250365.php
et pourtant, ils en revent encore !
Trump va -t-il aussi faire un mur entre USA et Cuba ?
http://rue89.nouvelobs.com/2016/04/09/alejandro-a-quitte-cuba-les-usa-raconte-periple-facebook-263619
Alors que 6 000 migrants cubains ont été récemment transférés vers les États-Unis depuis l’Amérique centrale
Il n’y a pas que les Mexicains qui vont être stoppés …
Mais Trump aura du mal à lutter contre :
http://www.itele.fr/monde/video/il-y-a-desormais-plus-dhispanophones-aux-etats-unis-quen-espagne-130135
Les États-Unis, deuxième pays où l’espagnol est le plus parlé
Un rapport indique que d’ici à 2050 les États-Unis pourraient être le pays comptant le plus d’hispanophones, devant le Mexique et l’Espagne.
PAR SIXTINE LYS
Les États-Unis sont-ils en passe de devenir le premier pays hispanophone ? Le Mexique, 121 millions d’habitants parlant l’espagnol, occupe toujours la première place du classement, mais il pourrait bien être détrôné, révèle El Mundo. L’Institut Cervantes, organisation culturelle indépendante, rapporte que les États-Unis ont désormais plus de locuteurs espagnols que la Colombie ou l’Espagne. Ainsi, parmi les 319 millions d’Américains, 41 millions ont pour langue natale l’espagnol et près de 12 millions sont bilingues. « Si nous avions ajouté les 9,7 millions d’immigrants en situation irrégulière, le nombre de potentiels hispanophones aux États-Unis atteindrait environ 62 millions », déclare l’Institut Cervantes.
L’Institut estime à 559 millions la population d’hispanophones dans le monde, dont 470 millions de natifs. Selon le Bureau de recensement américain, le pays pourrait comptabiliser plus de 138 millions d’hispanophones – soit un tiers de sa population – en 2050, si la croissance de la communauté latino-américaine continue à augmenter à ce rythme. Les États-Unis dépasseraient alors le Mexique.
Une préférence pour l’anglais
Cela fait de nombreuses années que les États-Unis connaissent un flux migratoire massif depuis le Mexique. Pour preuve, la moitié des habitants du Nouveau-Mexique, l’un des États américains voisins de la frontière, parlent l’espagnol. La prédiction du Bureau de recensement n’est cependant plus aussi certaine. La population latino-américaine augmente toujours, mais nombre d’entre eux s’expriment couramment en anglais, dévoile le site Quartz. L’usage de leur langue natale dans la vie quotidienne tend à diminuer. Le think tank américain Pew Research Center montre d’ailleurs que les jeunes Latinos préfèrent regarder les nouvelles et les programmes de divertissement en anglais.
Il y a belle lurette qu’en zappant sur la télé à L.A. on ne tombe que sur des hispanophones !!
Les USA ont des moyens de lutter contre le nationalisme économique des états d’Amérique latine: C’est la corruption totale.
Exemple il a été décidé dans un état que pour chaque adjudication, il fallait au moins une entreprise locale pour 50%, on retrouve presque toujours une famille locale avec des autorisation d’émigration légale aux USA, voir des citoyens USA et une « entreprise US
quand on parle du loup :
Fin du régime spécial d’immigration aux USA pour les Cubains: La Havane salue « un pas important »
La Havane – Les autorités cubaines ont qualifié jeudi d’étape « importante » la fin du régime spécial d’immigration américain qui accorde depuis un demi-siècle un permis de séjour aux immigrants clandestins cubains arrivés aux Etats-Unis.
Cet accord migratoire pour « une migration régulière sûre et ordonnée », signé jeudi avec effet immédiat, « abroge la politique connue sous le nom de +pieds secs/pieds mouillés+ » selon laquelle les autorités américaines acceptent les immigrants qui touchent terre et renvoient à Cuba ceux qui sont trouvés en mer, a salué le gouvernement cubain dans un communiqué.
« Au terme de près d’un an de négociations (…) cet engagement doit contribuer à la normalisation des relations migratoires, marquées depuis la victoire de la révolution (castriste en 1959) par l’application de politiques agressives par les administrations américaines successives, qui ont encouragé la violence, la migration clandestine et le trafic de personnes, provoquant de nombreuses morts d’innocents », ajoute le texte.
« Nous traitons désormais les immigrants cubains de la même façon que les immigrants d’autres pays », avait assuré peu auparavant le président américain Barack Obama, en annonçant cette mesure réclamée de longue date par La Havane.
Depuis la « Loi d’ajustement cubain » entrée en vigueur en 1966 en pleine Guerre froide, les émigrants cubains se voyaient offrir des facilités d’installation aux Etats-Unis avec la possibilité d’obtenir une résidence permanente au bout d’un an.
En 1995, avait été mise en place la politique de « pieds secs, pieds mouillés ».
La Havane, qui s’est de son côté engagée à « ajuster sa politique migratoire » après cet accord, a aussi jugé jeudi qu’il était « nécessaire » que le Congrès « abroge totalement la loi de 1966 ».
Depuis la révolution castriste de 1959, environ deux millions de Cubains ont pris le chemin de l’exil aux Etats-Unis. La plupart résident en Floride (sud-est).
(©AFP / 13 janvier 2017 01h34)
Les constructeurs de murs vont laisser leur culotte ( et certainement +) sur les barbelés de leurs installations.
Ils ne faut pas avoir peur on ne connait pas une seule chose, c’est ce qui va servir de détonateur à cette gigantesque machine à vapeur !!
Trump et le président mexicain tentent de faire baisser la pression bilatérale
Mexico – Les présidents américain et mexicain Donald Trump et Enrique Pena Nieto ont cherché vendredi à faire baisser la tension diplomatique au sujet du projet de mur à la frontière, tout en reconnaissant leurs divergences lors d’un entretien téléphonique.
La discussion est intervenue au lendemain de l’annulation par M. Pena Nieto de son voyage à Washington, initialement programmé le 31 janvier, où il devait rencontrer le nouveau locataire de la Maison Blanche qui a réaffirmé son intention de construire le mur pour stopper l’immigration illégale vers les Etats-Unis et d’en faire payer le coût au Mexique.
Les deux chefs d’Etat se sont parlé durant une heure et ont constaté leurs divergences « très claires et très publiques » sur ce « sujet sensible », selon les deux gouvernements, qui ont qualifié la discussion de « productive et constructive » dans leur communiqué respectif.
Selon les autorités mexicaines, les deux chefs d’Etat ont convenu « de ne plus parler publiquement » pour le moment du sujet polémique, mais la Maison Blanche n’a pas fait mention de cet engagement de Donald Trump.
« Ce fut une conversation très, très amicale » a indiqué Trump durant une conférence de presse conjointe avec la Première ministre britannique Theresa May.
« Comme tout le monde le sait, le Mexique a mieux négocié » et nous « a tournés en ridicule » car le déficit commercial des Etats-Unis envers le Mexique s’élève à 60 milliards par an, a-t-il ajouté.
Le sujet du déficit commercial américain a également été abordé lors de la discussion avec le président mexicain. Les deux gouvernements ont également convenu de travailler ensemble pour lutter « contre le trafic de drogue et le flux illégal d’armes ».
– ‘Dans une impasse ‘ –
Donald Trump souhaite renégocier l’accord de libre-échange nord-américain, vieux de 23 ans, et avait enfoncé le clou tôt vendredi sur Twitter en accusant « le Mexique de profiter des Etats-Unis depuis trop longtemps ».
« Des déficits commerciaux massifs et très peu d’aide sur la frontière poreuse, cela doit changer maintenant! », a écrit le 45e président des Etats-Unis dans l’un de ses tweets matinaux qu’il affectionne.
Jeudi, le porte-parole de la Maison Blanche, Sean Spicer, avait évoqué la possible mise en place d’une taxe de 20% sur les produits mexicains pour financer la construction d’un mur à la frontière, promesse de campagne emblématique du magnat de l’immobilier.
Selon plusieurs analystes, la discorde diplomatique est la plus grave depuis des décennies.
La dernière crise majeure remonte à 1985, lorsqu’un cartel de drogue avait torturé et tué un fonctionnaire américain de l’agence américaine anti-drogue (DEA) provoquant en représailles une brève fermeture de la frontière.
« C’est pire maintenant » commente à l’AFP Jesus Velasco, expert en relations américano-mexicaines à l’université de Tarleton au Texas.
« Trump met dos au mur l’administration Pena Nieto à tel point qu’il n’y a plus d’espace pour les négociations, » a-t-il commenté.
Le ministre mexicain de l’Economie Ildefonso Guajardo, qui a rencontré des responsables américains cette semaine à Washington, avait indiqué vendredi – avant le coup de fil entre les deux présidents – que les deux pays étaient « dans une impasse ».
Mais la ligne de communication reste ouverte, maintenant « la possibilité de trouver une solution » a-t-il ajouté.
(©AFP / 27 janvier 2017 21h48)
Le président iranien critique Trump, affirme que l’époque des murs est « révolue »
Téhéran – Le président iranien Hassan Rohani a critiqué samedi, sans le nommer, le président américain Donald Trump, affirmant que l’époque de la construction de murs entre les pays était « révolue ».
Il n’a toutefois pas réagi directement à la décision du président Trump d’interdire pendant trois mois l’entrée de ressortissants de plusieurs pays musulmans, dont les Iraniens, aux Etats-Unis.
« Aujourd’hui, on n’est plus à une époque où on construit des murs entre les nations. Ils (les dirigeants américains, ndlr) ont oublié qu’il y a quelques années le mur de Berlin s’est effondré », a déclaré M. Rohani lors d’un discours retransmis à la télévision d’Etat.
« Il faut supprimer les murs entre les peuples. Le monde d’aujourd’hui n’est pas un monde où l’on renforce les écarts entre les nations », a-t-il ajouté.
M. Trump a signé mercredi un décret donnant le coup d’envoi au projet de construction d’un mur le long de l’immense frontière entre les Etats-Unis et le Mexique, sa promesse de campagne la plus emblématique.
Vendredi, il a signé un autre décret pour interdire pendant trois mois l’entrée aux Etats-Unis de ressortissants de sept pays musulmans: Irak, Iran, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen. A l’exception de ressortissants détenteurs de visas diplomatiques et officiels et qui travaillent pour des institutions internationales.
Le président Rohani s’est gardé de réagir à ce décret.
L’Iran et les Etats-Unis n’ont plus de relations diplomatiques depuis plus de 37 ans, mais environ un million d’Iraniens vivent aux Etats-Unis, selon les estimations officielles iraniennes. Il s’agit de la plus forte communauté iranienne vivant à l’étranger. De nombreux Iraniens se rendent également chaque année aux Etats-Unis pour voir leur famille.
M. Rohani, qui intervenait lors d’un conférence internationale sur le tourisme, a affirmé que depuis l’accord nucléaire avec les grandes puissance conclu en juillet 2015, l’Iran avait lui « ouvert ses portes aux touristes étrangers ».
Jeudi, avant que le président américain ne signe son décret, l’actrice iranienne Taraneh Alidousti, 33 ans, à l’affiche du film « Le client » nommé aux Oscars, avait annoncé qu’elle boycotterait la cérémonie prévue en février à Hollywood.
« L’interdiction de visa portée par Trump contre les Iraniens est raciste. Qu’elle s’applique ou non à un événement culturel, je n’assisterai pas aux #AcademyAwards 2017 en signe de protestation », avait-elle écrit sur son compte Twitter.
Interrogé par l’AFP, Moshen Najari, un habitant de Téhéran de 33 ans, a noté que « les Américains eux-mêmes sont en majorité des immigrants ». »Désigner quelques pays en les qualifiant de terroristes n’est pas logique », a-t-il ajouté.
Sima, jeune femme de 27 ans, affirme elle que cette décision du président américain « n’a rien à voir avec le terrorisme ». « Les Etats-Unis ont de bonnes relations avec l’Arabie saoudite et ils se moquent de savoir combien de terroristes viennent » de ce pays, grand rival de l’Iran dans la région, ajoute-t-elle.
(©AFP / 28 janvier 2017 10h01)
Business ! 🙁
Netanyahu salue la décision de Trump de construire un mur à la frontière avec le Mexique
Jérusalem – Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a salué samedi dans un message sur Twitter l’annonce cette semaine par le nouveau président américain Donald Trump de la construction d’un mur à la frontière avec le Mexique.
Le nouveau président républicain a signé mercredi un décret fixant comme objectif de « sécuriser la frontière sud des Etats-Unis grâce à la construction immédiate d’un mur ».
Dans une interview à la chaîne de télévision américaine Fox News jeudi, il a justifié sa décision en se servant notamment de l’exemple d’Israël qui, selon lui, a réussi à « stopper à 99,9% » l’immigration illégale en construisant un mur.
Il faisait allusion à la barrière de plus de 240 km qu’Israël a achevé de construire en 2014 à sa frontière avec l’Egypte et qui était empruntée par de nombreux migrants clandestins africains et trafiquants.
« Le Président Trump a raison. J’ai construit un mur le long de la frontière sud d’Israël. Cela a stoppé toute l’immigration illégale. Grand succès. Idée formidable », a tweeté samedi M. Netanyahu, terminant son message par les deux drapeaux, israélien et américain côte à côte.
Quelques heures plus tard, le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères, Emmanuel Nahshon, a précisé dans un tweet que M. Netanyahu faisait « référence à notre expérience spécifique dans le domaine de la sécurité, que nous sommes désireux de partager ».
« Nous n’exprimons pas de position sur les relations entre les Etats-Unis et le Mexique », a-t-il ajouté.
M. Netanyahu, à la tête de l’un des gouvernements les plus à droite de l’histoire d’Israël, n’a pas caché sa satisfaction après l’élection de Donald Trump. Ses alliés les plus nationalistes voient dans l’accession de M. Trump à la présidence une chance unique de poursuivre la colonisation en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, –territoires palestiniens occupés–, voire d’annexer la plus grande partie la Cisjordanie.
Par ailleurs, Israël a commencé en 2002 la construction d’un mur de séparation autour de la Cisjordanie occupée pour empêcher les attentats palestiniens. Cette barrière, qui atteint parfois 9 m de haut, est dénoncée par ses détracteurs comme un moyen de confisquer des terres et d’établir une frontière de facto.
(©AFP / 28 janvier 2017 21h42)
Le Mexique veut des excuses d’Israël pour son soutien au mur de Trump
Mexico – Le Mexique a demandé lundi des excuses à Israël pour son soutien au mur que le président américain Donald Trump veut construire à sa frontière sud, jugeant « peu acceptables » les explications fournies jusqu’ici par les autorités israéliennes.
« Nous attendons une clarification, une rectification. Je crois que des excuses seraient appropriées dans ce cas », a déclaré le ministre mexicain des Affaires étrangères, Luis Videgaray, sur la chaîne Televisa.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avait affiché samedi son soutien au projet de mur de Trump dans un tweet enthousiaste.
« Le président Trump a raison. J’ai construit un mur le long de la frontière sud d’Israël. Cela a stoppé toute l’immigration illégale. Grand succès. Idée formidable », avait-il écrit dans un message se terminant avec les drapeaux israélien et américain côte à côte.
Benjamin Netanyahu s’est défendu lundi d’avoir blessé les Mexicains en louant l’idée de mur frontalier de Donald Trump, accusant les médias d’avoir lancé une « campagne bolchévique » contre lui. Il a assuré n’avoir fait que répondre à M. Trump qui avait cité en exemple la barrière israélienne avec l’Egypte.
« Maintenant (les médias) viennent me dire: +Vous avez blessé le Mexique, vous avez ruiné les relations avec eux. Mais qui a parlé du Mexique ici ? Nous avons de bonnes relations avec eux, et cela va continuer », s’est-il défendu à Jérusalem lors d’une réunion de son parti.
« Les médias gauchistes sont lancés dans une campagne bolchévique de tir à vue, de lavage de cerveau et de calomnie contre moi et ma famille », a-t-il ajouté.
– Le mur critiqué par les juifs mexicains –
En réaction à son tweet, le ministère mexicain des Affaires étrangères avait exprimé dimanche « sa profonde surprise, sa réprobation et sa déception ». Le Comité central de la communauté juive mexicaine avait lui aussi critiqué ce soutien au projet de mur controversé.
Jonathan Peled, ambassadeur d’Israël au Mexique, s’est efforcé lundi de faire baisser la pression, déclarant sur Radio Formula que les deux situations n’étaient « comparables en aucun point » et qu’Israël avait construit un mur « pour freiner les terribles vagues du terrorisme ».
Mais cette explication « nous paraît peu acceptable », a rétorqué M. Videgaray, rappelant que le Mexique avait soutenu Israël dans plusieurs réunions internationales et avait même modifié ses votes à la demande de Tel Aviv.
M. Peled a indiqué qu’il rencontrerait dans la journée des membres du gouvernement « pour tenter de calmer et clarifier la situation », sans préciser s’il avait été convoqué pour les autorités mexicaines.
A la question de savoir si Israël fera ses excuses, il s’est contenté de dire qu’il était « en contact avec le gouvernement » et pourrait rencontrer M. Videgaray.
« Un tweet ne devrait pas affecter cette très bonne relation (…) Je crois qu’avec bonne foi, avec dialogue et avec amitié nous allons surmonter, disons, ce petit sujet », a-t-il ajouté.
Le message de M. Netanyahu avait été envoyé à l’issue d’une semaine de forte tension diplomatique entre le Mexique et les Etats-Unis, qui avait abouti à l’annulation d’un voyage prévu à Washington par le président mexicain Enrique Pena Nieto pour y rencontrer son homologue américain.
Donald Trump avait signé mercredi le décret lançant le projet de construction du mur le long des 3.200 kilomètres de frontière qui séparent les deux pays et réitéré son intention de le faire financer par le Mexique.
(©AFP / 30 janvier 2017 21h01)
Le problème actuel fait rire jaune quand on le compare à ce qui a été fait dans la période précédente !! 🙁 🙁
Des états on du lutter contre le système combiné propagande/blocus économique mis en place par les anglosaxons et ont cru que faire des murs était la solution (sauf les chinois qui sont plus pragmatiques ).
Inutile de dire que si l’on compare les murs actuels avec le « rideau de fer » la machine mise en place dans la période de la guerre froide est totalement emballée et tourne maintenant contre ses initiateurs !!
Qui ne veut pas sa place dans la « Caverne d’Ali Baba » Anglosaxonne !!
Dans cette caverne depuis toujours le prétexte « religieux » est toujours mis en avant.
Nous n’avons rien de commun avec toutes ces équipes de criminels de guerre, qui se cachent derrière des paravents puants.
Ils voulaient des boat peoples pour leur propagande, qu’on leur en fournisse !! Surtout pour aller chez les Anglais !!
Trump promet de faire baisser « considérablement » le coût du mur avec le Mexique
AFP11/02/2017
Donald Trump a promis samedi de faire baisser « considérablement » le coût du mur qu’il veut construire à la frontière avec le Mexique et dont les estimations se chiffrent en dizaines de milliards de dollars.
« Je ne me suis pas encore impliqué dans le design ou les négociations. Quand je le ferai, comme avec l’avion de combat F-35 ou le programme Air Force One, le prix va baisser CONSIDÉRABLEMENT! », a tweeté samedi le président américain, mettant en avant ses talents d’homme d’affaire auxquels il attribue le rabais accordé au Pentagone par Lockheed Martin sur l’avion de combat furtif et par Boeing pour la construction de nouveaux avions présidentiels.
Donald Trump réagissait à de récentes estimations d’experts selon lesquelles le coût de ce mur sur les 3.200 kilomètres de frontière avec le Mexique pourrait largement dépasser les 20 milliards de dollars.
Pendant la campagne, Donald Trump avait chiffré ce chantier à un coût estimé entre 8 milliards et 12 milliards de dollars.
Le président républicain de la Chambre des représentants, Paul Ryan, a de son côté avancé le chiffre de 15 milliards de dollars, le mois dernier.
Le MIT Technology Review estimait, dans un article daté du mois d’octobre, que la facture serait bien plus salée, jusqu’à 40 milliards de dollars.
Donald Trump a signé le 25 janvier un décret lançant le projet de construction de ce mur renforcé le long de la frontière qui séparent les deux pays.
Le président américain a affirmé à de multiples reprises son intention de le faire financer par le Mexique, ce que Mexico a catégoriquement refusé.
Pour obtenir un prix compétitif le petit Adolf à moustaches avait une méthode !!! Trump peut aussi envisager de faire travailler des Mexicains pour faire baisser les coûts.
40 milliards c’est si on fait construire par l’entreprise Trump !!
en plus les Mexicains n’ont pas le vertige !! 🙂
du pouvoir ? 😉
Lafarge prêt à vendre son ciment pour la construction du mur de Trump
Le géant franco-suisse LafargeHolcim est prêt à vendre son ciment pour le mur anti-clandestins promis par le président Donald Trump et va annoncer d' »importantes » créations d’emplois aux Etats-Unis, assure son PDG dans un entretien à l’AFP.
« Nous sommes prêts à fournir nos matériaux de construction pour tous types de projets d?infrastructures aux Etats-Unis », déclare Eric Olsen, interrogé sur sa possible participation à ce chantier controversé à la frontière américano-mexicaine.
« Nous sommes le premier cimentier aux Etats-Unis (…) Nous sommes ici pour soutenir la construction et le développement du pays », justifie, en anglais, le dirigeant, récusant tout positionnement partisan.
« Nous sommes ici (aux Etats-Unis) pour servir nos clients et répondre à leurs besoins. Nous ne sommes pas une organisation politique », défend le grand patron, refusant par ailleurs de s’exprimer sur le financement « indirect » que Lafarge a reconnu avoir fourni à des groupes rebelles en Syrie en 2013 et 2014 pour maintenir en activité une de ses usines.
Le géant né en 2015 de la fusion entre les cimentiers français Lafarge et suisse Holcim se distingue ainsi de son rival irlandais CRH qui a fait savoir qu’il ne fournirait pas de matériaux pour la construction du mur du président Trump, au coeur d’une crise diplomatique avec le Mexique.
L’entreprise, qui a renoué avec les bénéfices en 2016, admet vouloir être un des grands gagnants du programme d’investissements de 1.000 milliards de dollars promis par Donald Trump pour rénover les infrastructures américaines (ponts, tunnels, routes, aéroports).
« Il va y avoir une hausse importante des dépenses d’infrastructures », anticipe d’ores et déjà Eric Olsen, « Nous sommes bien placés pour tirer profit de ces investissements ».
Le dirigeant promet d’ailleurs de futures créations d’emplois aux Etats-Unis, un geste susceptible d’attirer les faveurs de l’administration Trump. « Je ne peux pas donner de chiffre exact mais ce sera important », avance Eric Olsen.
Autre élément qui pourrait séduire M. Trump, élu sur la promesse de ramener emplois et usines aux Etats-Unis, LafargeHolcim dispose de sites de production au Texas et des opérations dans le Nouveau Mexique et en Arizona, soit trois des quatre Etats américains frontaliers du Mexique.
Le groupe vient par ailleurs de construire deux nouvelles usines dans le Maryland et l’Oklahoma et ouvert de nouvelles capacités dans les Etats de New York et du Missouri en prévision du redressement en cours du secteur de la construction américain.
On a déjà connu dans la période 1933/45 des entreprises qui ne voulant pas perdre des parts de marché avec le petit moustachu de Berlin ont fait dans le genre recherche sur les gaz des monstruosités !!
Ceci dit, je pense que depuis cette date, les criminels groupés autour des USA ont fait pire, c’est une chose de dire plus jamais ça alors que l’on reprendre plus belle sur le terrain !!
Pour ce qui est des débordements venus du Sud, il serait certainement plus sage de bien diffuser leurs causes !! La Libye devenue un Sarkoland, ou la Syrie un Fabiusland, ou l’Irak devenus un Bushland, ou la Yougoslavie un Kouchnerland sont des illustrations parfaites de l’origine des déplacements massifs de populations.
Chercher a faire une différence entre les crimes actuels de ces pingouins et les crimes nazis est une tromperie !! 🙁 🙁
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