L’énergie éolienne remise en question par un rapport parlementaire

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Vents contraires pour l’énergie éolienne.

 

Alors que depuis quelques temps déjà, sa rentabilité avait été mise en cause par des détracteurs laissant entendre que les systèmes d’aides faussaient le calcul, un rapport parlementaire français dénonce les « dispendieux effets d’aubaine » de l’énergie éolienne.

Selon le document dont le Figaro cite quelques extraites, les installations éoliennes se feraient au dépend « d’importants surcoûts« .

Le rapport piloté par Patrick Ollier, le président de la commission des affaires économiques de l’Assemblée, précise ainsi la nécessité « d’évaluer à intervalles réguliers, à quels coûts et pour quels avantages sont accordées les aides sur fonds publics ou encore supportés par le consommateur final ».

Ne nous leurrons pas, alors que la taxe carbone vient d’être abandonnée, l’Elysée pourrait être tentée de trouver d’autres sources de fianncement à son budget (en bien mauvais état) …. en plombant les espoirs de l’énergie éolienne, l’objectif final pouvant être de diminuer le montant global des sommes octroyées par l’Etat.

Car comme les députés le font souligner, « l’éolien est à l’évidence une bonne affaire » mais au détriment des finances publiques. Et ce, même si le tarif de rachat de l’électricité éolienne en France est « l’un des plus bas d’Europe« , selon Le Figaro.

L’éolien,

c’est rentable … du moment qu’il est « subventionné » par les contribuables. C’est en effet en substance le constat que faisait d’ores et déjà l’Institut Montaigne dans une étude rendue publique en juillet 2008.

Le développement de l’éolien en France suivant les objectifs du Grenelle de l’environnement induirait un surcoût pour la collectivité de 1 milliard d’euros par an durant la période 2008-2020, affirmait alors ainsi l’Institut.

L’étude publiée par ce cercle de réflexion réunissant universitaires et dirigeants d’entreprise indiquait alors que l’énergie éolienne « n’est pas la solution économique la plus appropriée » pour limiter les émissions de gaz à effet de serre en France.

« L’objectif de 25.000 mégawatts (MW) affiché lors du Grenelle de l’Environnement se traduirait, s’il était atteint, par un surcoût annuel moyen de 1 milliard d’euros (pendant) la période 2008-2020 et dépasserait les 2,5 milliards au-delà de 2020, » affirmait également l’étude, qui en déduisait un surcoût de 100 EUR par an et par foyer.

En juillet 2007,

une étude du cabinet Xerfi affirmait déjà que le rendement du parc éolien français serait « assez faible et aléatoire, compris entre 14% et 21% pour la période 2001 à 2006″.

Selon le cabinet, l’électricité produite à partir des aéromotrices aurait un coût de revient bien supérieur à celui des centrales nucléaires ou thermiques. Le secteur ne serait rentable actuellement que grâce au système de rachat, mis en place par les pouvoirs publics, de cette énergie par

l’électricien EDF à un prix garanti pendant 15 ans, supérieur au prix de marché.

(42 commentaires)

  1. Bravo pour l’article !
    > l’énergie éolienne « n’est pas la solution économique la plus appropriée » pour limiter les émissions de gaz à effet de serre en France
    Non seulement c’est exact, mais en plus l’émission de CO2 est un faux problème !
    Et rappelons au passage que la plus grosse partie de ce bénéfique effet de serre est dû à la vapeur d’eau.

    1. Hum, je ne suis pas du tout specialiste, mais apliuqper un FORT champ magnetique, ne changerait-il pas un temps soit peu l’orientation des molecules d’eau ? Un peu comme la limaille de fer suit les lignes des champs de force ?Si je me rappelle mes cours de terminale, la molecule d’eau est tel que elle est dissymetrique d’un point de vu magnetique (tout le monde se rappelle la forme en V d’une molecule d’eau), et du coup, elle reagit au champ magnetique, ce qui impliquerait a priori un positionnement different par rapport a un environnement sans champ magnetique.Dans ce cas, la molecule d’eau etant un element essentiel dans toute les reactions chimique du vivant (elle sert de solvant /de milieu propice au reaction), le fait de changer l’orientation ne devrait-il pas creer des problemes d’ordre biologique !?Genre reactions chimique qui ne se produise plus, ou pas aussi souvent que il devrait etc

  2. Bonjour Elisabeth,
    Mon lien vers l’éditeur d’article ne fonctionne plus. Peux-tu me donner celui que tu utilises par mail ?
    Pour ceux qui attendent mon analyse du marché, et en attendant que je puisse de nouveau publier, vous pouvez la retrouver sur fenetre-sur-cours.com

  3. Pour Michel
    tu remplaces l’adresse IP par « www.leblogfinance.com » dans l’url que tu avais auparavant
    bon courage !

  4. L’électricité du nucléaire coréen coûtera deux fois moins cher que celle l’EPR français, selon l’Agence internationale de l’énergie.
    Selon une étude publiée hier par l’Agence internationale de l’énergie (AIE) et l’Agence pour l’énergie nucléaire (AEN), qui dépend de l’OCDE, l’électricité produite par l’EPR construit à Flamanville par EDF coûtera entre 56 et 92 dollars par mégawattheure (MWh) en fonction du coût du capital, contre une fourchette de 29 à 42 dollars par MWh pour le réacteur construit en Corée par Kepco. Selon cette étude, plusieurs autres réacteurs sont d’ailleurs plus compétitifs que celui conçu par Areva. C’est le cas du CPR-1000 chinois, basé sur un ancien modèle français, dont l’électricité revient entre 30 et 44 dollars le MWh. Le réacteur russe VVER-1150 affiche un coût de 43,5 à 68,1 dollars le MWh.
    Dans les pays de l’OCDE, l’électricité nucléaire coûte entre 59 et 99 dollars par MWh, contre 65 à 80 dollars pour le charbon, 62 à 90 dollars pour le charbon avec technologie de captage et stockage ou 86 à 92 dollars pour le gaz.
    Cette étude a rassemblé 21 pays, et compacté les coûts de plus de 190 centrales. Conclusion : si le coût du crédit est faible (5%), le nucléaire est le plus compétitif pour la production en base, sauf là où le charbon est bon marché. Si le coût du crédit est élevé (10%), c

  5. Quand on se ballade de millau à Rodez…on a des paysages magnifiques, puis on grimpe sur des colines ou l’on a une vue à 365 degrés avant de redescendre sur le pont de salaars et le lac de pareloup.
    Il y a 2/3 ans ces colines du Rouergues ont été érigés d’éoliennes gigantesques.
    Des semis remorques ont apportés les structures, les pales….
    Il ne s’agit pas de gentilleries altermondialiste mais d’une industrie à part entière, avec des capitaux bien réels.
    la Campagne est défigurée…quelques petits écolos de brousse ont mis quelques pancarte pour dénoncer ces éoliennes monumentales, mais la région est plutôt déserte. le problème est le même au nord de Carcassonne même si la région a un charme plus rude.
    Si en plus on se rends compte que ce n’est pas efficace, et qu’il s’agit là en fait d’une escroquerie à grande échelle destinée à refiler du blé à quelques notables du coin… ça ne va pas nous plaire.

  6. Attention les articles de La Depeche sont toujours tres « orientés » …
    La Depeche appartient à la famille Baylet, PDT du CG82 et fortement lié à la ville « Rose » à double titre désormais.
    A noter également que le Tarn et Garonne (82) abrite la centrale nucléaire de Golfech ….
    Donc OK, il y a une bien problématique taxe professionnelle / Eéolienne mais à prendre avec des pincettes.

  7. Une étude menée par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) révèle que la multiplication des parcs éoliens terrestres pourrait faire augmenter la température de la planète. Une tendance qui s’inverse avec les éoliennes installées en mer.
    Des chercheurs du MIT ont réalisé une modélisation climatique qui leur a permis d’analyser l’impact de millions d’éoliennes sur le climat. Leur découverte est surprenante : développés pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et enrayer le réchauffement climatique, les parcs éoliens à grande échelle pourraient paradoxalement entraîner une augmentation de la température de la Terre.
    Alors que les experts du climat recommandent de limiter ce réchauffement à 2°C pour éviter les pires scénarios, la température globale de la planète pourrait augmenter d’environ 1°C lorsque les éoliennes terrestres permettront de fournir 10% de la demande énergétique mondiale. Dans les régions où seront installées de nombreuses éoliennes, c’est de 0,15°C que la température augmentera.
    Cet effet est inversé avec les éoliennes offshores. Les chercheurs estiment en effet qu’une même densité de turbines installées en mer engendrerait une baisse de la température de 1°C.
    Les scientifiques expliquent qu’un trop grand nombre d’éoliennes réduirait la turbulence du vent et l’évacuation de la chaleur hors de la zone environnante, entraînant ainsi des changements de température. Toutefois, le MIT insiste sur un point : cette découverte ne doit pas devenir un argument anti-éolien, d’autant plus que ces recherches n’en sont qu’à leurs premiers balbutiements. « Nous ne sommes pas pessimistes quant à la technologie éolienne », assure Ron Prinn, professeur de sciences atmosphériques. Et d’ajouter : « Nous n’avons absolument pas prouvé cet effet, et nous préférons attendre que d’autres équipes réalisent des études plus poussées ».
    source:http://www.maxisciences.com/%e9olienne/les-parcs-eoliens-feraient-monter-la-temperature-de-la-planete_art6569.html.

  8. Une étude menée par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) révèle que la multiplication des parcs éoliens terrestres pourrait faire augmenter la température de la planète. Une tendance qui s’inverse avec les éoliennes installées en mer.
    Des chercheurs du MIT ont réalisé une modélisation climatique qui leur a permis d’analyser l’impact de millions d’éoliennes sur le climat. Leur découverte est surprenante : développés pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et enrayer le réchauffement climatique, les parcs éoliens à grande échelle pourraient paradoxalement entraîner une augmentation de la température de la Terre.
    Alors que les experts du climat recommandent de limiter ce réchauffement à 2°C pour éviter les pires scénarios, la température globale de la planète pourrait augmenter d’environ 1°C lorsque les éoliennes terrestres permettront de fournir 10% de la demande énergétique mondiale. Dans les régions où seront installées de nombreuses éoliennes, c’est de 0,15°C que la température augmentera.
    Cet effet est inversé avec les éoliennes offshores. Les chercheurs estiment en effet qu’une même densité de turbines installées en mer engendrerait une baisse de la température de 1°C.
    Les scientifiques expliquent qu’un trop grand nombre d’éoliennes réduirait la turbulence du vent et l’évacuation de la chaleur hors de la zone environnante, entraînant ainsi des changements de température. Toutefois, le MIT insiste sur un point : cette découverte ne doit pas devenir un argument anti-éolien, d’autant plus que ces recherches n’en sont qu’à leurs premiers balbutiements. « Nous ne sommes pas pessimistes quant à la technologie éolienne », assure Ron Prinn, professeur de sciences atmosphériques. Et d’ajouter : « Nous n’avons absolument pas prouvé cet effet, et nous préférons attendre que d’autres équipes réalisent des études plus poussées ».
    source:http://www.maxisciences.com/%e9olienne/les-parcs-eoliens-feraient-monter-la-temperature-de-la-planete_art6569.html.

  9. Cette Commission parlementaire semble oublier que l’électricité d’origine photovoltaïque est également rachetée par EDF, our une maison particulière, à un prix nettement supérieur à celui du kw. Cette électricité est rachetée par EDF actuellement à 0.58

  10. Pour rappel, l’électricité (éolien ou photovoltaique) rachetée par EDF est refacturée au client final au nom de la contribution au service publique d’électricité (CSPE) qui couvre aussi bien d’autres choses dont le montant est bien plus important et ne coûte rien à EDF (sauf si on considère qu’EDF perd de l’argent en arrêtant sa propre production pour racheter l’électricité ce qui est déjà le cas avec d’autres fournisseurs si ils sont moins cher qu’EDF).
    Le montant de la CSPE (qui est la différence entre tarif de rachat et prix du marché) payé par EDF et refacturé aux consommateurs finaux était estimé à 93 millions d’euros en 2009 en métropole pour les énergies renouvelables en raison de la forte hausse du prix de l’électricité sur les marchés.
    Le prix moyen pondéré prévisionnel de l’électricité en 2009 était estimé à 77,8

  11. Votre facture électrique a frôlé le coup de soleil
    Le gouvernement a dû intervenir pour stopper la bulle spéculative qui s’est formée dans la production d’électricité solaire. Elle aurait pu entraîner une explosion des tarifs.
    « L’Etat a désamorcé une bombe », affiche en Une le quotidien Economique les Echos qui évoque « un enjeu à 56 milliards ». Le gouvernement a annoncé mercredi des mesures pour résorber la bulle spéculative qui s’est formée dans la production d’électricité solaire et qui aurait pu entraîner à terme une hausse des tarifs de l’électricité. L’installation de panneaux solaires s’est beaucoup développée à la faveur d’un décret de 2006 obligeant Electricité de France (EDF) à acheter à un tarif préférentiel l’électricité produite par des panneaux solaires installés sur les toitures (« intégrés au bâti », selon les termes du décret).
    EDF doit l’acheter au prix de 58 centimes par kilowattheure (KWh) au lieu de 31,4 centimes pour les autres installations solaires. Pour profiter de ce tarif, de nombreux investisseurs se sont mis à construire des bâtiments vides, sans autre but que la production d’électricité solaire.
    Le gouvernement a publié mercredi de nouvelles règles, plus restrictives, afin de réduire l' »effet d’aubaine » que représentaient les anciennes. Les projets déposés après le 1er novembre 2009 et n’ayant pas fait l’objet d’une demande complète de raccordement au réseau électrique seront recalés. Ils « devront faire l’objet d’une nouvelle demande d’achat de l’électricité aux nouvelles conditions tarifaires » publiées mercredi, indique le ministère de l’Energie dans un communiqué présentant les nouveaux tarifs d’achat. Ce phénomène a pris une ampleur exceptionnelle à partir de novembre quand le gouvernement a annoncé son intention de réviser les tarifs.
    3000 dossiers par jour !
    Alors que mi-2009 EDF enregistrait chaque mois environ 5.000 demandes de contrat d’achat, elles avoisinent aujourd’hui 3.000 par jour. Dans un avis rendu début décembre, la Commission de régulation de l’Energie (CRE) avait pointé du doigt cette bulle spéculative aboutissant à la construction de bâtiments sans utilité sociale. « Le choix se porte généralement sur des bâtiments réputés à usage agricole, qui bénéficient du privilège de pouvoir s’implanter dans des zones rurales non-constructibles », soulignait le gendarme de l’énergie.
    Outre ces serres s’étendant à perte de vue, il peut aussi s’agir d’ombrières installées sur des parkings de supermarché. Cette envolée, si elle s’était poursuivie, aurait pu coûter cher aux consommateurs qui financent le rachat de l’énergie photovoltaïque par le biais de la Contribution au service public de l’électricité (CSPE). « Cela aurait coûté 56 milliards d’euros sur 20 ans, soit 2,8 milliards d’euros par an. Il aurait fallu augmenter de 10% la facture d’électricité des Français », explique-t-on au ministère de l’Energie.
    Tarif « le plus élevé au monde »
    Comme annoncé en septembre, ces tarifs restent toutefois globalement inchangés. Mais le tarif de 58 centimes/kWh, présenté comme « le plus élevé au monde », est désormais réservé aux « bâtiments existants » d’habitation, d’enseignement ou de santé, et bénéficiant d’une conception architecturale et esthétique particulière. Pour les autres bâtiments existants (bureaux, industries, commerces, bâtiments agricoles), le tarif est fixé à 50 centimes/kWh. Enfin, pour les bâtiments qui ne peuvent bénéficier de ces deux premiers tarifs, un tarif avec « intégration simplifiée au bâti » est créé à 42 centimes/kWh. Les panneaux solaires installés à même le sol pourront toujours bénéficier du tarif de 31,4 centimes/kWh. Ce tarif montera à 37,7 centimes pour les régions les moins ensoleillées, afin de permettre « une meilleure répartition des centrales solaires sur le territoire national ».
    Début décembre, la CRE avait jugé ces tarifs trop élevés au vu de la baisse très forte du prix des panneaux solaires depuis un an, qui atteint 30% à 50% selon les technologies. Le ministère estime au contraire que ces tarifs assurent « une rentabilité appropriée des investissements solaires », dans son communiqué. Il rappelle en outre avoir pour objectif de développer « une véritable filière industrielle en France » dans le domaine du photovoltaïque. Une filière très rentables pour certains…
    http://lci.tf1.fr/economie/consommation/2010-01/votre-facture-electrique-a-frole-le-coup-de-soleil-5635085.html

  12. el gringo maîtrise bien le sujet, et ce qu’il écrit n’est pas sans fondement, mais il faut savoir que la CESR 2009 n’a pas suffit à couvrir les différentiels 2008.
    D’autre par les installateurs considérés comme sérieux n’ont aucune connaissance, selon eux, de la décroissance du prix de rachat de l’énergie par EDF en fonction des années d’installation, et c’est pourquoi actuellement ils insistent plus sur l’aspect placement financier rentable à ne pas manquer et sur la valorisation du bien immobilier que sur l’aspect écologique. Ils estiment que c’est en ce moment un rendement voisin de 8% et précisent que si les versements d’EDF sont à déclarer, ils ne sont pas imposables.
    Pour ce qui est de l’éolien, il faut savoir que certains membres de la Commission parlementaire ont donné leur démission, jugeant le rapport trop partial, car si la part de l’éolien s’affaisse l’objectif de 20 à 25% d’énergie propre contracté à Kyoto deviendrait totalement utopique, et puis maintenant Quid de l’avenir des stations éoliennes à très haute altitude, là où les vents sont constants ? Certains s’évertuent peut être à discréditer les énergies nouvelles, même si le dispositif financier n’est pas irréprochable, pour nous faire comprendre que sans EPR, il n’y a pas d’avenir.

  13. Concernant le photovoltaïque, la baisse des tarifs des panneaux solaires devraient continuer dans les années qui viennent rendant cette source d’énergie compétitive dès 2013 selon HSBC au lieu de 2020 comme prévu il y a quelques années. Il ne restera plus qu’à régler le problème du stockage qui a aussi connu d’importants progrès ces dernières années.
    Vers une nouvelle baisse du prix du silicium
    Après avoir déjà chuté de près de 50% en un an, les prix du silicium, le matériau de base des cellules photovoltaïques classiques, devraient encore chuter de 20% l’an prochain, toujours sous le poids de la surproduction mondiale. Ce qui au final favorisera les comptes des groupes solaires, selon une étude de la banque HSBC.
    Pour l

  14. Pour revenir sur la taxe professionnelle, l’éolien était assujetti à une taxe professionnelle d’environ 4000 euros/MW par an alors que les autres sources d’énergie ne payait qu’un forfait de 2.913 euros/MW et par an. La réforme de la taxe professionnelle aura au moins eu pour effet d’aligner la fiscalité des producteurs d’électricité.
    « Bonne nouvelle pour l

  15. Ne laissons pas défigurer la France par ces machines monstrueuses – quel prix à payer pour profiter à des intérêts financiers privés qui se gavent sur le dos de l’utilisateur. Et pourquoi imposer une pollution visuelle permanente (y compris dans de nombreux sites remarquables) pour des machines qui ne fonctionnent que 25% du temps et doivent être relayées par des centrales classiques produisant du CO2. Bon courage aux offices de tourisme pour promouvoir la beauté et la diversité des paysages français …

  16. EDF obtient cinq ans de plus pour financer le démantèlement des centrales nucléaires
    EDF devrait disposer de cinq ans de plus pour financer le démantèlement de ses centrales nucléaires. Selon la loi Birraux de 2006, l’entreprise avait jusqu’en juin 2011 pour se constituer un portefeuille d’actifs dédiés, dont la vente progressive doit permettre de payer la déconstruction des centrales, le stockage définitif des déchets atomiques, et la gestion du combustible usé. A fin de 2009, ce portefeuille composé d’actions et d’obligations valait 11,4 milliards d’euros. A comparer à un coût total de démantèlement évalué en 2008 à 16,9 milliards d’euros.
    Initialement, EDF pensait atteindre le montant cible dès la fin de 2010. Mais la crise financière a fait chuter la valeur de son portefeuille et a incité la direction à suspendre les versements de septembre 2008 à juin 2009. Si bien qu’aujourd’hui, malgré la remontée de la Bourse, EDF devrait encore consacrer 5,5 milliards en un an et demi pour respecter ses obligations actuelles. Un montant lourd pour un groupe endetté, et qui a d’autres projets à financer. Le gouvernement a donc accepté de faire un geste, et de repousser l’échéance au mois de juin 2016. L’Etat estime qu’EDF a déjà couvert une bonne partie des dépenses futures, et que les marchés restant « volatils et incertains », cela « plaide pour une stratégie de placement prudente et progressive », selon l’exposé des motifs du projet de loi.
    http://www.lesechos.fr/info/energie/020443534348-edf-obtient-cinq-ans-de-plus-pour-financer-le-demantelement-des-centrales-nucleaires.htm
    Les 16,9 milliards d’euros dont deux tiers sont pourvus est en effet bien inférieur à l’estimation à 68 Md

  17. A quelle bonne nouvelle que ce rapport parlementaire. Enfin une étude complète et sérieuse sur la « gabgie » de l’éolien.

  18. Je suis d’accord avec certain ici.
    Les éoliennes c’est très bien mais il ne faut pas défigurer les paysages.
    C’est ce qui se passe un peu partout malheureusement.
    On peut les envoyer loin en mer.. : loin = à peine visible de la côte, Et ces champs d’éoliennes maritimes pourraient aussi devenir des réserves marines pour la faune.
    Il existe d’autres techniques que les éoliennes: les serpents qui crées de l »énergie en ondulant sur les vagues de la mer, les usines marémotrices, les turbines à vagues.
    Sans parler du solaire, de la géothermie, de la biomasse etc….
    Il serait temps qu’une vraie politique sur les énergies nouvelles se mette en place.
    Favoriser l’éolien et le photovoltaïque uniquement est idiot.
    Le photovoltaïque devrait être favorisé dans le sud surtout et l’éolien sur les côtes et dans les endroits venteux.
    Pourtant elle a l’air sympa la petite Jouano, mais à part ses pas de danse, elle décide quoi ?
    Marre de ce président incompétent qui n’est là que pour ses copains.

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